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Mr cinetok
259 abonnés
320 critiques
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4,5
Publiée le 11 juillet 2019
je suis sorti de la salle heureux, je ne comprend pas les critiques horribles de la presse, pour moi il est même mieux que Nikita déjà culte dans le genre, c'est pour dire, du John Wick au féminin, plein de rebondissement jusqu'à la dernière minute. j'ai vraiment adoré...merci Besson ça c'est du divertissement.
Sous couvert de matriochkas et autres clichés bien lourdingues sur la Russie, Luc Besson ne nous aurait-il pas pris pour des idiots en nous refourguant secrètement mais sûrement, un banal remake de son classique Nikita (1990) ?
Scénario faussement alambiqué avec sa timelime aussi chiante qu'incompréhensible & anachronismes à la pelle (!) Intrigue grotesque et têtes d'affiches aussi inutiles que gênantes.
Quid de son interprète principale ? Bien que je n'ai pas pu m'empêcher de tomber sous son charme, il faut bien admettre qu'il est extrêmement difficile de rendre crédible le rôle de Sasha Luss.
Cette mannequin qui doit peser 45kg toute mouillée et qui vous retourne des russkofs en un claquement de doigts !? heu... comment dire... ça prête à sourire.
Certes, elle envoie du pâté et sa présence à fait que j'ai moins regretté le déplacement, mais pour ce qui est du reste, le film s'avère bien trop sage pour pleinement séduire.
Visiblement Luc Besson semble être dans l'incapacité de faire dans l'originalité et préfère se contenter de nous resservir une énième histoire de femme fatale badass (Nikita ,Lucie, ...), tel un vieux rabat-joie qui ne jurerait que par ça.
Manque de bol, son film s'est planté au box-office. Après Valerian (2017), ça doit commencer à piquer un peu du côté de la banque.
Luc un conseil, raccroche les gants et passe à autre chose.
Superbe ! Plus poussé que Nikita, ce film est parfaitement ficelé et garde un rythme haltant tout le long, tant par le scénario que par les mouvements de caméra. Un film qui n’a pas eu la promotion qu’il mérite...
Au delà de l'accumulation de tous les clichés du genre, d'un jeu d'acteur plus que médiocre et de dialogues catastrophiques, on se demande à qui s'adresse ce film. Rien ne nous est épargné, y compris des incohérences et des anachronismes frappants. Besson était parvenu à toucher le fond avec Lucy et Valérian. Force est de constater qu'il est parvenu à creuser plus profond encore avec Anna.
Une fois posé le concept de "poupées russes", qui ponctuera le déroulé balourd (et le montage imperméable à la moindre fluidité...), en fil rouge pathétique, on s'ennuie déjà. Au bout de presque deux heures de "péripéties" lourdingues, grand-guignolesques, et mises en scène à la truelle, on se dit que Besson, avec cette grosse machine quincaille et sans imagination, ne nous aura même pas divertis ! Il se parodie quasiment, mais involontairement - on l'imagine. Ce très médiocre "Anna" est le Nikita du pauvre, aussi bien côté histoire, effets spéciaux, réalisation en général et... casting. Dans le rôle-titre, la décorative (mais nettement moins qu'une Milla Jovovich, par exemple) Sasha Luss brille. Par son absence de talent, et de charisme ! L'excellente (ordinairement) Anglaise Helen Mirren est sous-employée spoiler: en espionne soviétique sur le retour côté "service action", mais débordant d'ambition.... féministe , et le Gallois bodybuildé Luke Evans, lui aussi requis en Russe, est quasiment grotesque. L'Irlandais Cillian Murphy ("Peaky Blinders") est à peine plus crédible en espion américain. Un joli... ratage, en somme....
Dans la serie des heros badass, Nikita Leon Lucy, on me pouvait pas etre surpris par ce dernier Opus de Luc Besson. Mais le resultat est la. Un film efficace et diverstissant. Depuis des décennies ce realisateur a, su exporter le cinema francais et indirectement des realisateurs, talentueux. Je n'ai pas été déçu.
Nikita, Milla, Mathilda........et maintenant ANNA, Luc Besson utilise encore et toujours les mêmes recettes !!! ANNA semble tout droit sorti d'on ne sait où, l'actrice est jolie mais ce n'est pas suffisant où alors il faut mettre de l'argent à l'écran, ce qui n'est pas du tout le cas, l'image est pauvre et la production toute autant que le scénario rafistoler à grands coups de flash-back et autres twists prévisibles........Le Mogul du cinéma Français s'est trouvé une nouvelle égérie mais elle n'est pas Anne Parillaud . Les images du film ne sont pas belles, certains diront que c'est voulu, d'autres auront l'impression d'avoir vu un épisode de Derrick (en plus glamour, je vous l accorde!!!). Ce film est un medley de scènes déjà vues dans Nikita, la série des transporteurs ou encore Léon et c'est bien dommage car ainsi il peine à trouver son identité propre. En rajoutant à cela le manque de charisme de l'actrice principale, seul Luke Evans et Helen Mirren sortent leur épingle du jeu, malheureusement insuffisant pour sauver ce (télé)film............
Le meilleur film de Besson depuis bien longtemps. un film d'action rafraîchissant comme on en voit plus beaucoup. les acteurs tous bien dans leur rôle. Un très bon moment. Le début fait planer le doute ( à cause des similitudes avec Nikita ) puis tout se met place... top.
Un authentique Besson qui figurera dans les films cultes du réalisateur. ce film sera vu et revu ! Je ne trouve pas péjoratifs les commentaires sur le style Besson mettant en scène une "encore" une héroïne : ils montrent qu'on est entré dans un film qui est déjà un classique. Une production Française Européenne, un réalisateur de renommée mondiale, un film réussi avec des nouveaux acteurs excellents ! Et certains font la fine bouche ! qu'ils aillent continuer à bouffer du ketchup !
La vraie grosse bonne surprise ! Je m'attendais encore à un film plat de Besson. C'est tout l'inverse.. scénario en béton et interprétation au summum. Bref vraiment trop fort ! courez y
Trés bon film d'action n'en déplaise aux critiques élitistes, on sent la signature Besson un bon moment passé au cinéma... Clin d'Œil à Nikita pour la scène du resto avec une chorégraphie à la Jet Li et un peu de Jhon Wood sur la fin.
À partir d’une structure empruntée pour l’essentiel aux poupées russes, le dix-huitième long-métrage de Luc Besson passe son temps à complexifier une intrigue empruntée à Nikita, à malmener une chronologie recopiée sur Red Sparrow, à insérer dans ce salmigondis de décors faux ou anachroniques des thématiques à la mode où homosexualité, féminisme et bestialité masculine vont bon train, à doper le vide en recourant à de la violence gratuite – le sang ne cesse d’entacher la caméra, explose des têtes, jaillit des corps poignardés à coups de fourchette dans un restaurant –, à habiller ses actrices (ou à les déshabiller) comme s’il jouait lui-même à la poupée. Anna, et cela dès son titre, appuie sa réversibilité, les deux dernières lettres constituant le reflet inversé des premières. Or, le film est à l’image de son titre : une longue et pénible désintégration de tout ce qui faisait ou pouvait faire la maestria de Besson metteur en scène. Nous errons dans un vaste musée de cires où les actrices apparaissent et disparaissent, changent de perruque ou d’accent, de lentilles oculaires aussi. Aucun souffle, aucune âme là-dedans, seulement l’impression de sauter de séquences loupées et fort laides en séquences loupées et fort laides, d’autant plus que la caméra est réduite à capter des reflets d’images, des mouvements tronqués, amputés ou falsifiés qui jettent sur la production dans son ensemble un je-ne-sais-quoi de suspect. La mode est abordée par le prisme des programmes beauté diffusés sur certaines chaînes de la TNT, l’action multiplie les chorégraphies improbables, l’exotisme de certains plans semble tiré des mauvais catalogues de guides touristiques. Anna est certainement le produit le plus faible et laborieux de son auteur, et l’un des pires films de l’année 2019.
Tous les ingrédients d'un bon film d'action et d'espionnage sont dans ce film. Des rebondissements inattendus et des acteurs performants. On reconnait la signature de Besson avec un peu de Nikita, un peu de Lucy et une once de Taxi.