Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Besson revisite le film d'espionnage avec son sens du spectaculaire. On en prend plein les yeux, et jusqu'à la toute fin, tout peu changer. Une histoire bien troussée.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Et le rythme crépite d’autant plus que, agent simple, agent double, agent triple - car elle ne fait pas dans l’économie -, Anna a une virtuosité qui s’adapte avec la plus parfaite souplesse à la façon également virtuose dont Luc Besson mène son récit.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Un Besson réussi, c'est-à-dire conforme au cahier des charges, dans ses qualités comme dans ses défauts.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec la découverte de Sasha Luss (Anna) dans une performance très physique, et son action constante, le film vaut surtout par la présence de Helen Mirren.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Geek
par La Rédaction
Un film que les amateurs du genre vont certainement apprécier, mais qui ne laissera pas un souvenir impérissable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Michel Valentin
Un thriller efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Inoffensif pour les neurones, cet « énorme » divertissement fait néanmoins preuve d’une incontestable savoir-faire dans le registre pétaradant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Bernard Génin
[...] Luc Besson retourne aux recettes qui l'ont fait champion du box-office : action musclée et jolie héroïne invincible experte en arts martiaux.
Télérama
par Frédéric Strauss
Toute la tension est centrée sur celle qui l’interprète : avec son physique parfait, la top-modèle russe Sasha Luss semble un simple cliché. Mais Luc Besson voit en elle une actrice et, sous nos yeux, elle en devient une. C’est aussi ce qui fait le charme d’Anna.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Les fans de l'univers de Luc Besson accueilleront avec plus de bienveillance cette petite cousine recyclée de Nikita et de Lucy.
Ecran Large
par Simon Riaux
Misogyne jusqu'à la nausée, laid en diable, techniquement limité et rarement spectaculaire, Anna est un Z anachronique mais souvent hilarant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Le long-métrage, bourré de scènes d'action il est vrai maîtrisées, n'est que le pâle remake d'un film culte dont le réalisateur semble avoir perdu l'inspiration et le mojo.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Luc Besson revisite explicitement son film-culte qui remonte à 1990. Résultat : un ballet d’espions, une femme d’action, mais pas d’émotion...
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Nicole Vulser
Luc Besson livre une version plus contemporaine mais moins attachante de son film culte de 1990.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le cinéaste rejoue […] sa partition préférée : celle de "la femme forte" qui se sort de situations humiliantes. Le problème est qu’il le fait avec toute la balourdise du monde, arrivant après les similaires et infiniment plus aboutis Red Sparrow et Atomic Blonde. Tout ici est prévisible et ringard, pauvrement mis en scène (en particulier les scènes d’action).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si le film est solidement réalisé, comme toujours avec Besson, il tombe trop souvent dans le déjà-vu et l’autocitation (le personnage de Helen Mirren, copié-collé de celui de Jeanne Moreau dans « Nikita », prête même à sourire). Mais, surtout, le film, situé à l’orée des années 1990, multiplie les anachronismes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Si les séquences d’action s’avèrent assez molles, sauf la dernière demie-heure, le mannequin russe Sasha Luss, mutique et le regard sombre, ne démérite pas dans le rôle-titre.
Critikat.com
par Josué Morel
Anna est un film passéiste qui essaie en vain d’être actuel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Un film peut-il en cacher un autre ? Par-delà son inintérêt quasi total, Anna se transforme paradoxalement en un intrigant objet d’étude, résumant entre les lignes l’impasse dans laquelle est désormais prisonnier son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Anna, c’est la synthèse d’une carrière cinématographique. Malheureusement, c’est surtout la synthèse des clichés qui collent à la peau de Luc Besson. Certains ne sont « que » datés, d’autres sont carrément malsains à l’aune de l’actualité du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
Or Besson, piètre cinéaste, surligne tout et ne trompe personne, son scénario de BD pour ados attardés et sa mise en scène en pilotage automatique réussissant à être à la fois improbables et archi-prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Luc Besson recycle sans inspiration les femmes tueuses de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.J.
Le scénario, surjouant l’effet matriochka de la mystérieuse machine à tuer, finit par lasser à force de mélanger les époques pour justifier des rebondissements.
Les Fiches du Cinéma
par Venceslas Fouineteau
Entre Nikita et Red Sparrow, Anna ne fait que confirmer un peu plus la décroissance qualitative des films de Luc Besson. Avec ce long métrage, il atteint même un nouveau palier : celui du film purement et simplement oubliable à tous les niveaux.
Ouest France
par Thomas Baurez
On peut raisonnablement parler de naufrage artistique.
Première
par Thomas Baurez
Le cinéaste force à chaque fois le trait comme s’il avait peur de ne pas se faire comprendre. Toutes les péripéties s’accumulent sans véritable logique sinon celle d’en mettre plein la vue au spectateur. En vain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Besson revisite le film d'espionnage avec son sens du spectaculaire. On en prend plein les yeux, et jusqu'à la toute fin, tout peu changer. Une histoire bien troussée.
Le Dauphiné Libéré
Et le rythme crépite d’autant plus que, agent simple, agent double, agent triple - car elle ne fait pas dans l’économie -, Anna a une virtuosité qui s’adapte avec la plus parfaite souplesse à la façon également virtuose dont Luc Besson mène son récit.
Bande à part
Un Besson réussi, c'est-à-dire conforme au cahier des charges, dans ses qualités comme dans ses défauts.
Franceinfo Culture
Avec la découverte de Sasha Luss (Anna) dans une performance très physique, et son action constante, le film vaut surtout par la présence de Helen Mirren.
Le Journal du Geek
Un film que les amateurs du genre vont certainement apprécier, mais qui ne laissera pas un souvenir impérissable.
Le Parisien
Un thriller efficace.
Marianne
Inoffensif pour les neurones, cet « énorme » divertissement fait néanmoins preuve d’une incontestable savoir-faire dans le registre pétaradant.
Positif
[...] Luc Besson retourne aux recettes qui l'ont fait champion du box-office : action musclée et jolie héroïne invincible experte en arts martiaux.
Télérama
Toute la tension est centrée sur celle qui l’interprète : avec son physique parfait, la top-modèle russe Sasha Luss semble un simple cliché. Mais Luc Besson voit en elle une actrice et, sous nos yeux, elle en devient une. C’est aussi ce qui fait le charme d’Anna.
Voici
Les fans de l'univers de Luc Besson accueilleront avec plus de bienveillance cette petite cousine recyclée de Nikita et de Lucy.
Ecran Large
Misogyne jusqu'à la nausée, laid en diable, techniquement limité et rarement spectaculaire, Anna est un Z anachronique mais souvent hilarant.
L'Express
Le long-métrage, bourré de scènes d'action il est vrai maîtrisées, n'est que le pâle remake d'un film culte dont le réalisateur semble avoir perdu l'inspiration et le mojo.
La Voix du Nord
Luc Besson revisite explicitement son film-culte qui remonte à 1990. Résultat : un ballet d’espions, une femme d’action, mais pas d’émotion...
Le Monde
Luc Besson livre une version plus contemporaine mais moins attachante de son film culte de 1990.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste rejoue […] sa partition préférée : celle de "la femme forte" qui se sort de situations humiliantes. Le problème est qu’il le fait avec toute la balourdise du monde, arrivant après les similaires et infiniment plus aboutis Red Sparrow et Atomic Blonde. Tout ici est prévisible et ringard, pauvrement mis en scène (en particulier les scènes d’action).
Paris Match
Si le film est solidement réalisé, comme toujours avec Besson, il tombe trop souvent dans le déjà-vu et l’autocitation (le personnage de Helen Mirren, copié-collé de celui de Jeanne Moreau dans « Nikita », prête même à sourire). Mais, surtout, le film, situé à l’orée des années 1990, multiplie les anachronismes.
Télé Loisirs
Si les séquences d’action s’avèrent assez molles, sauf la dernière demie-heure, le mannequin russe Sasha Luss, mutique et le regard sombre, ne démérite pas dans le rôle-titre.
Critikat.com
Anna est un film passéiste qui essaie en vain d’être actuel.
Culturopoing.com
Un film peut-il en cacher un autre ? Par-delà son inintérêt quasi total, Anna se transforme paradoxalement en un intrigant objet d’étude, résumant entre les lignes l’impasse dans laquelle est désormais prisonnier son auteur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Anna, c’est la synthèse d’une carrière cinématographique. Malheureusement, c’est surtout la synthèse des clichés qui collent à la peau de Luc Besson. Certains ne sont « que » datés, d’autres sont carrément malsains à l’aune de l’actualité du cinéaste.
L'Obs
Or Besson, piètre cinéaste, surligne tout et ne trompe personne, son scénario de BD pour ados attardés et sa mise en scène en pilotage automatique réussissant à être à la fois improbables et archi-prévisibles.
Le Figaro
Luc Besson recycle sans inspiration les femmes tueuses de son cinéma.
Le Journal du Dimanche
Le scénario, surjouant l’effet matriochka de la mystérieuse machine à tuer, finit par lasser à force de mélanger les époques pour justifier des rebondissements.
Les Fiches du Cinéma
Entre Nikita et Red Sparrow, Anna ne fait que confirmer un peu plus la décroissance qualitative des films de Luc Besson. Avec ce long métrage, il atteint même un nouveau palier : celui du film purement et simplement oubliable à tous les niveaux.
Ouest France
On peut raisonnablement parler de naufrage artistique.
Première
Le cinéaste force à chaque fois le trait comme s’il avait peur de ne pas se faire comprendre. Toutes les péripéties s’accumulent sans véritable logique sinon celle d’en mettre plein la vue au spectateur. En vain.