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Mauvais.
Je scénario est bien trop prévisible, dès la première scène j'ai compris qui tromper qui, franchement la note des spectacles est incompréhensible.
Je ne parle pas de l'humour, je m'attendais à au moins avoir quelques rires, mais malheureusement pas un rebondissements marrant, rien.
Je ne comprends pas comparaison au prénom
si vous souhaitez passer un bon moment passer votre chemin.
Film d'un ennui redoutable.
Je scénario est bien trop prévisible, dès la première scène j'ai compris qui tromper qui, franchement la note des spectacles est incompréhensible.
Je ne parle pas de l'humour, je m'attendais à au moins avoir quelques rires, mais malheureusement pas un rebondissements marrant, rien.
Je ne comprends pas comparaison au prénom
si vous souhaitez passer un bon moment passer votre chemin.
Film d'un ennui redoutable.
L'un des films les plus remakés de l'histoire arrive sur le sol français avec son concept reconnu par le monde entier comme étant génial, et à juste titre, le jeu en question obligeant les personnages à dévoiler leurs secrets les plus enfouis et aux conflits d'exploser toujours plus fort à mesure que les messages compromettants soient découverts. Et pourtant, même avec une idée si bonne que l'excellence semble être inéluctable, le tâcheron Fred Cavayé réussi quand même à tout faire foirer. Ce qui aurait pu être une crise inexorable où seul le pardon se présente comme l'unique solution se transforme en une descente morale dans laquelle aucun des joueurs n'est fichu de faire ou dire quoi que ce soit sans se révéler inapte à capter la moindre sympathie tant les secrets en question les révèlent comme des individus véritablement immondes, puisque selon Cavayé, on ne cache des choses pour soi que si l'on a des bombes atomiques dans nos portables et si l'on est suffisamment hypocrites pour taxer ses proches de mensonges. Le concept aurait pu être bien exploité si les personnages étaient mis sur un pied d'égalité. Stéphane de Groodt et Rochdy Zem sont les seuls à s'en sortir un peu honorablement, l'un étant un ange (comme c'est pratique) et l'autre assumant un secret qui n'est pas le sien suite à un quiproquo (à la différence de son ami qui le laisse tout prendre à sa place), n'ayant pour eux un peu de sympathie seulement parce que les autres sont pires. Bérénice Béjo est méprisable, Grégory Gadebois est un lâche et Suzanne Clément est à baffer. Comment un incompétent peut-il bien conclure une histoire qui n'a été capable que de rabaisser ses personnages ? Il ne peut pas. Seule issue possible, dire que rien ne s'est produit, achever sur un aveu d'échec exprimant une morale de comptoir : C'est bien d'avoir ses secrets...quand bien même les personnages n'ont rien résolu de leurs problèmes. A oublier sur le champ.
En lisant le résumé du film, on se dit qu'on va retrouver avec plaisir tout le succès des bons films de ce genre : un rythme haletant, des surprises, des dialogues bien écrit et surtout un scénario original comme pour "Le Prénom" par exemple, ou moins éclatant, mais tout à fait bon "le code a changé".... il n'en est rien ! On s'ennuie, tout est prévisible, le film peine à décoller (spoiler : il ne décolle jamais !), il n'y a pas de rythme, le dialogue sont insipide et en plus les acteurs jouent mal ! La copie est à revoir, peut être faut il voir le film originel italien ?
Le fait que ce film soit classé dans la catégorie comédie alors qu'il n'y a aucune blague à une ou deux exceptions près en une heure et trente minutes et je ne veux pas dire qu'il y a des blagues qui ne m'ont pas fait rire je veux dire qu'il n'y a pas de blagues du tout. La seule façon dont je pourrais penser que quelqu'un pourrait rire avec ce film c'est qu'il rapporte les incidents du film à lui-même. A mon avis la comédie sous le titre devrait être enlevée. Quoi qu'il en soit Le Jeu avait un certain potentiel mais j'ai l'impression qu'il a pris un virage à gauche quelque part. Il commence bien et il est en fait plein de suspense aux trois quarts du film mais la fin me laisse pantois. J'ai eu l'impression que 30 minutes de plus et une meilleure écriture l'auraient vraiment amélioré. Ce n'est pas un film impossible à regarder mais je ne le recommanderais à personne car cela a était une perte de temps totale pour moi...
Roub E.
J’avais trouvé les thrillers de Fred Cavayé plutôt bien fait. Force est de constater qu’il est beaucoup moins doué pour la comédie. Premièrement et c’est le principal cela ne m’a jamais fait rire. Le film essai de jouer sur le malaise et ça ne fonctionne pas. Autre problème la bande d’amis ne paraît pas crédible. On ne croit pas que ces personnages puissent rester amis (malgré leurs mensonges) et surtout qu’ils aient pu l’être un jour. Tout paraît forcé, exagéré et sans rythme. Honnêtement il m’a paru interminable pour un film d’une heure et demie.
Ce n'est qu'une très mauvaise copie du film "le prénom" où tout est plagié jusqu'à la personnalité de chaque personnage. La tournure du film est strictement la même, en complètement raté. Vraiment nul.
Je suis sortie rapidement de ce jeu car il ne m'apportait que de l'ennui. Je n'ai pas adhéré au scénario que j'ai trouvé lourd, très téléphoné. Dommage car de bons acteurs à l'affiche.
Le concept est très sympa, normal que le film original ait déjà fait l'objet de plusieurs adaptations. Mais le "jeu" des acteurs français pique les yeux et les oreilles. C'est surjoué à la limite du grotesque. Mieux vaut regarder une version anglo saxonne s'il en existe une. Cette pauvre Bérénice bejo ne sait même pas mimer la tristesse. Affligeant. Exception culturelle, oui oui...
Fêtons le cinéma
Encore un jeu où l’on ne joue pas ! À moins de se délecter des vacheries dégradantes que cette fausse bande d’amis se lance à tout bout de champ. Car de l’amitié Le Jeu ne dit rien, sinon qu’il s’agit là d’une escroquerie supplémentaire dans un monde pourri ; de l’amour, n’en parlons pas ; et de l’art, encore moins. Visuellement nul et techniquement peu inspiré, le film enchaîne les blagues peu drôles comme un travailleur voit se succéder sur une chaîne de montage les produits agroalimentaires soumis à son contrôle : tout glisse, se suit et se ressemble, ne percute jamais un spectateur qui n’a que faire des insultes prononcées à l’égard des absents – ils ont toujours tort, n’est-ce pas ? –, des adultères à la pelle qui prouvent que le mariage n’a décidément plus la cote, des secrets tous plus vides de sens et d’intérêt les uns que les autres. Les acteurs échouent à infuser dans leur personnage une profondeur : ils ne sont pas convaincus et de leur relation ne se dégage aucune alchimie. Chacun fait sa tambouille de son côté, donne l’impression de forcer ses émotions et son jeu pour en finir au plus vite. Pauvre Suzanne Clément, qui resplendissait devant la caméra de Xavier Dolan et que l’on enferme ici dans un rôle qui l’étouffe ! Le Jeu est à l’image de la bouteille de vin qu’il faut secouer avant d’ouvrir : ça s’agite dans tous les sens, et pourtant ça ne pétille jamais.
Franchement quasi aucun moments drôles, un dialogue émouvant au milieu,. Pour le reste le scénario est creux, et le twist final pas convainquant. On a perdu notre temps
Un film qui a pour titre le jeu et qui n'est pas amusant c'est un comble . Film a aucun moment drôle et super mal écrit seul Vincent elbaz réussie vraiment à remonter le niveaux par sont jeux ainsi que Doria Tillier par sa joie de vivre et le faite qu'elle soit rayonnante quand au reste du casting ? Berenice Bejo elle même on se demande ce qu'elle fait dans cette galère cela ce vois dans sa façon de jouer et même sur son visage elle a l'impression de pas être à l'aise dans le film . Un film qui partir pourtant d'une bonne idée et qui aurait pu faire une bonne comédie mais non ils a fallu en faire un film dramatique alors que une comédie aurait était plus approprié pour ce thème et on aurait passer un non moment que la on se dit souvent que le film est un peu lourd malgré la bonne idée.
Attention ! Ce film, l’air de rien, dénonce l’importance du portable dans nos vies et de son utilisation néfaste à travers les réseaux sociaux. Néfaste pour qui ? Après tout, tout dépend de l’individu. Tout dépend des besoins. Ce qui est néfaste pour l’un ne l’est pas nécessairement pour l’autre. Le portable comme une addiction, pourquoi pas ? « Le jeu » dénonce la place du portable dans le couple. C’est plus fort. Ça fait plus mal. Ce portable qui sonne en pleine conversation ; ce portable qui oblige son propriétaire à s’éloigner, à interrompre une discussion ; ce portable qu’on refuse de mettre en mode silencieux, qu’on refuse de brimer le temps d’une soirée ; ce portable qu’on sort comme un tic ; ce portable qui attise notre curiosité en nous informant de mails, de notifications alors qu’on vous tient compagnie ; ce portable sur qui on jette un oeil rapide tout en opinant de la tête comme pour prouver qu’on est à l’écoute. Esclave du portable ?! Oui, il y en a assez, faisons un jeu, déposons les portables au centre de la table et voyons si c’est si important que ça d’être constamment dérangé ! Prouver que ces perpétuelles interruptions ne valent pas la peine. Bizarre. Y a comme une gêne. Normal, même SI ON N’A RIEN A CACHER (surligné à gros traits) on n’a pas envie de partager, même le futile. Ça ne regarde personne. La peur d’être jugé ? Sans doute. Le portable est la garçonnière des temps modernes où l’homme ou la femme aime à s’y réfugier ; c’est la cabane en haut de l’arbre au fond du jardin ; c’est le journal intime ; un ami indéfectible sur qui on peut compter ; un transport virtuel qui vous téléporte pour des rencontres virtuelles synonymes de chair, de fantasmes, de jeux érotiques. Bref, voilà nos protagonistes lestés de leur portable. Et comme par hasard, tous ont quelque chose à cacher. Ce film aurait gagné en crédibilité si deux voire trois des protagonistes avaient été piégés. J’avoue avoir eu de l’intérêt quand Marco somme Ben d’échanger leur portable. J’avoue avoir eu de l’intérêt au moment du quiproquo. Seulement la table était ronde, les portables au centre, et comme un manège, tout le monde était concerné. Tout le monde avait QUELQUE CHOSE A CACHER !!! Sans blague. Il fallait mettre du piment à cette soirée. Malheureusement tout était sans saveur. Que ce film était lourd ! Il y avait vraiment un sujet sympa à développer avec trois invités. Mais comme les dialogues étaient d’une pauvreté affligeante, je peux supposer qu’il était impossible d’élever le niveau. La facilité était de concerner tous les invités. C’est répétitif, lourd pathétique et aussi indigeste que le foie gras au lait proposé par Vincent. Et le pompon du pompon, on a affaire à un Thomas nouvellement marié qui cumule infidélité et homophobie ! Et le pompon du pompon du pompon, l’éclipse va balayer cette soirée d’un simple revers de voile. Je n’en dirai pas plus. En soi le message de ce film imbuvable : cela aurait pu arriver si… Avec des « si » ce film aurait pu être d’une autre facture. Pour élever le niveau, je cite Jean Anouilh : « Il ne faut jamais dire la vérité, c’est elle le vrai désordre ». L'éclipse s'en est chargée.
Le film commence bien, on sourit pas mal au début, malheureusement, le film sombre doucement mais surement dans une ambiance mal aisante. Les personnages sont plus ou moins tous odieux, amoraux et antipathique.La morale et la conclusion de ce film sont vraiment déplaisante. Si vous voulez retrouver foi en l’amour et en l’amitié ne regardez pas.
Mauvaise copie du film italien Perfetti Sconosciuti : personnages, histoire, déroulé de l'action. La principale différence est que c'est très mal joué et complètement faux, on n'imagine pas du tout que ces gens sont des amis. Dans le film italien, on a vraiment l'impression d'être avec un groupe d'amis. Le film est fin, on nous explique qu'on a beau être en apparence les meilleurs amis du monde, on ignore peut-être beaucoup de choses d'eux. Rien à voir avec la copie française de mauvaise qualité.
C'est tout à son honneur, Fred Cavayé se diversifie. Sans doute un petit ras-le-bol des polars. "Le jeu" donc, succès surprise de l'année venant de s'écouler. Un succès difficilement explicable car malgré un sujet à haute tension, la banalité règne souvent. Des amis bourges qui se retrouvent le temps d'un dîner et qui voient leurs petites vies secouées, ça s'est déjà vu x fois par le passé. Je parlais de banalité, ce qui veut dire que le film souffre d'un mal maître du cinoche français : le manque d'audace. En effet, lorsque le terrain est un poil propice à une situation pouvait dégénérer définitivement, Cavayé en fait que dalle. Et l'on aboutit à un dénouement franchement scandaleux. Quand les cinéastes français vont-ils à nouveau assumer leur démarche jusqu'au bout ? Et l'on ne peut même pas compter sur les acteurs pour relever le niveau. Car tous sont mauvais. Oui, même Roschdy Zem. La palme revenant quand même à Bérénice Béjo, incroyablement fausse. Pas de quoi se relever la nuit.
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