Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Pas un film facile, évident, ni un film radical, mais une expérience qui hante quelques jours durant. On n’en ressort pas en hurlant au chef-d’œuvre – cet horrible mot. Mais, deux jours plus tard, on finit par se dire : j’ai vu quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Une multiplicité de motifs qui questionnent, sans jamais tenter de l’élucider, le mystère Onoda, et laissent un sentiment de vertige particulièrement tenace après la projection.
A travers l’histoire vraie d’un Japonais qui, sur une île philippine, a continué de se battre pendant trente ans après la Seconde Guerre mondiale, Arthur Harari signe le biopic magnifique d’un homme qui ne voulait ni la paix ni mourir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Loin d’une simple transposition factuelle, l’œuvre s’approprie la matière autobiographique pour lui communiquer une ampleur rarement vue dans un cinéma français que l’on n’avait pas connu aussi ambitieux dans son appréhension de l’épopée et son lyrisme sec.
Après avoir revisité brillamment le film noir avec Diamant noir, Arthur Harari prend des chemins de traverse pour s’attaquer au film de guerre. Ou plutôt au fantôme du film de guerre. Et le résultat est somptueux.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Presque maniériste dans sa mise en scène, célébrant les formes d’un classicisme revisité avec grâce, le film flotte un peu dans une première partie qui peine à dérouler les tumultes de l’histoire, avant de trouver sa propre mesure dans une vie méditative au rythme des saisons et des moussons.
Avec Onoda : 10 000 nuits dans la jungle, Arthur Harari réalise un tour de force magistral en offrant une œuvre exigeante, accomplie et admirable. Jamais dépassé par son grand sujet et l’aspect monumental de son projet, le réalisateur français est concrètement en passe d’être l’une des grandes figures d’un cinéma hexagonal, partagé entre la question du genre populaire et la beauté de l’art avec un grand A.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Tantôt organique, la mise en scène d’Arthur Harari sait parfois se faire plus onirique, restituant avec un certain sens de la poésie naturaliste l’enfermement mental d’un homme dévoué à sa cause au point de nier les évidences, de ne pouvoir physiquement abdiquer.
L’aventure humaine se mue en fable sur la guerre, sa folie, puis en réflexion sur l’existence dans une nature immuable qu’Harari filme comme le(s) visage(s) d’Onoda (interprété par Yûya Endô et Kanji Tsuda) : avec humilité et fascination.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le réalisateur français surprend à nouveau avec un grand film d’aventures métaphysique sur l’histoire vraie d’un soldat japonais réfugié pendant trente ans sur une île du Pacifique dans l’ignorance de la fin de la guerre.
De cette folle histoire vraie d'un militaire japonais menant sa guerre sur une île des Philippines malgré la reddition du Japon, le cinéaste tire une oeuvre brillante sur l'aveuglement, la croyance et l'obsession, qui fait écho à deux autres épopées récentes, Silence de Martin Scorsese et Ad Astra de James Gray, dont il pourrait être le contrechamp.
Le pari est donc gagné pour ce projet fou (tournage au Cambodge, dans une langue étrangère) qui a osé s’élancer à mille lieues de l’habituel confort naturaliste du cinéma français.
Après le très réussi « Diamant noir », le jeune cinéaste français Arthur Harari confirme au-delà des espérances avec « Onoda - 10000 nuits dans la jungle », « survival » de guerre métaphysique qui convoque Samuel Fuller et Lav Diaz, Kon Ichikawa et Clint Eastwood.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Un film d'aventures et de survie, inspiré de l'histoire vraie d'un soldat japonais refusant de croire à la fin de la guerre du Pacifique. Un vrai choc.
De ce qui peut amener un être humain à se fondre ainsi dans la jungle, nous n’en saurons pas plus à la fin qu’au début du film. Du cinéma d’Arthur Harari non plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Une aventure intérieure démente !
CinemaTeaser
Un très grand film.
Culturopoing.com
Pas un film facile, évident, ni un film radical, mais une expérience qui hante quelques jours durant. On n’en ressort pas en hurlant au chef-d’œuvre – cet horrible mot. Mais, deux jours plus tard, on finit par se dire : j’ai vu quelque chose.
Le Point
Tout est là, intense, humide, dément et sauvage.
Les Echos
Un projet hors norme. L'un des trésors du Festival de Cannes 2021.
Les Fiches du Cinéma
Un second long métrage très audacieux, dont le panache assez héroïque n’exclut pas une sensibilité vibrante et délicate.
Les Inrockuptibles
Une multiplicité de motifs qui questionnent, sans jamais tenter de l’élucider, le mystère Onoda, et laissent un sentiment de vertige particulièrement tenace après la projection.
Libération
A travers l’histoire vraie d’un Japonais qui, sur une île philippine, a continué de se battre pendant trente ans après la Seconde Guerre mondiale, Arthur Harari signe le biopic magnifique d’un homme qui ne voulait ni la paix ni mourir.
Ouest France
Une histoire vraie et hors du commun pour un film qui détonne dans le cinéma français.
Positif
Loin d’une simple transposition factuelle, l’œuvre s’approprie la matière autobiographique pour lui communiquer une ampleur rarement vue dans un cinéma français que l’on n’avait pas connu aussi ambitieux dans son appréhension de l’épopée et son lyrisme sec.
Transfuge
Après avoir revisité brillamment le film noir avec Diamant noir, Arthur Harari prend des chemins de traverse pour s’attaquer au film de guerre. Ou plutôt au fantôme du film de guerre. Et le résultat est somptueux.
Voici
Une histoire incroyable pour un film qui ne l'est pas moins.
20 Minutes
Le réalisateur français en a fait un film d’aventures, plus qu’un film de guerre, avec un suspense qui distille ses effets de surprise pendant 2h45.
Cahiers du Cinéma
Presque maniériste dans sa mise en scène, célébrant les formes d’un classicisme revisité avec grâce, le film flotte un peu dans une première partie qui peine à dérouler les tumultes de l’histoire, avant de trouver sa propre mesure dans une vie méditative au rythme des saisons et des moussons.
Ecran Large
Avec Onoda : 10 000 nuits dans la jungle, Arthur Harari réalise un tour de force magistral en offrant une œuvre exigeante, accomplie et admirable. Jamais dépassé par son grand sujet et l’aspect monumental de son projet, le réalisateur français est concrètement en passe d’être l’une des grandes figures d’un cinéma hexagonal, partagé entre la question du genre populaire et la beauté de l’art avec un grand A.
L'Humanité
Tantôt organique, la mise en scène d’Arthur Harari sait parfois se faire plus onirique, restituant avec un certain sens de la poésie naturaliste l’enfermement mental d’un homme dévoué à sa cause au point de nier les évidences, de ne pouvoir physiquement abdiquer.
L'Obs
L’aventure humaine se mue en fable sur la guerre, sa folie, puis en réflexion sur l’existence dans une nature immuable qu’Harari filme comme le(s) visage(s) d’Onoda (interprété par Yûya Endô et Kanji Tsuda) : avec humilité et fascination.
La Croix
Le réalisateur français surprend à nouveau avec un grand film d’aventures métaphysique sur l’histoire vraie d’un soldat japonais réfugié pendant trente ans sur une île du Pacifique dans l’ignorance de la fin de la guerre.
La Septième Obsession
De cette folle histoire vraie d'un militaire japonais menant sa guerre sur une île des Philippines malgré la reddition du Japon, le cinéaste tire une oeuvre brillante sur l'aveuglement, la croyance et l'obsession, qui fait écho à deux autres épopées récentes, Silence de Martin Scorsese et Ad Astra de James Gray, dont il pourrait être le contrechamp.
Le Journal du Dimanche
Un huis clos à ciel ouvert captivant en dépit de son rythme lent, qui éblouit par l’ampleur de sa mise en scène.
Le Monde
Arthur Haraki s'empare magnifiquement de l'histoire vraie d'un japonais resté trente ans sur son île.
Mad Movies
Le pari est donc gagné pour ce projet fou (tournage au Cambodge, dans une langue étrangère) qui a osé s’élancer à mille lieues de l’habituel confort naturaliste du cinéma français.
Paris Match
Après le très réussi « Diamant noir », le jeune cinéaste français Arthur Harari confirme au-delà des espérances avec « Onoda - 10000 nuits dans la jungle », « survival » de guerre métaphysique qui convoque Samuel Fuller et Lav Diaz, Kon Ichikawa et Clint Eastwood.
Première
Un film d'aventures et de survie, inspiré de l'histoire vraie d'un soldat japonais refusant de croire à la fin de la guerre du Pacifique. Un vrai choc.
Télérama
L’histoire d’une folie, sobrement mise en scène.
aVoir-aLire.com
En ouverture de la section "Un Certain Regard", Onoda a de quoi séduire, avec une atmosphère joliment travaillée et un récit-fleuve envoûtant.
Critikat.com
De ce qui peut amener un être humain à se fondre ainsi dans la jungle, nous n’en saurons pas plus à la fin qu’au début du film. Du cinéma d’Arthur Harari non plus.