Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
C'est un impressionnant poème visuel que déploie le réalisateur Ziad Kalthoum à travers ce premier film.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
"Taste of Cement" est une proposition cinématographique capitale pour ce qui est de la représentation de l’esclavage moderne. (...) Il incarne un cinéma poétique enflammé et authentiquement politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Indispensable à tous points de vue, témoignage d'une rare puissance doublé d'une maîtrise formelle éblouissante, "Taste of Cement" propulse le cinéma documentaire dans une dimension artistique rarement atteinte.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Ici, pas de témoignages face caméra mais des abstractions silencieuses, des digressions oniriques et des scènes d’« action » très cinématographiques qui racontent une histoire forte et émouvante.
Libération
par Luc Chessel
Alternant vies de Syriens exilés sur des chantiers au Liban et images de guerre, le superbe docu de Ziad Khaltoum édifie une boucle vertigineuse, entre constructions et destructions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
L’enfermement social, historique, physique et mental trouve donc ici une sidérante incarnation plastique, où l’horizon des rêves s’avère constamment menacé par le spectre de l’effondrement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Que se passera-t-il une fois résolue la crise syrienne ? Qui construira la maison de qui ? Quel peuple chassé de chez lui viendra aider les habitants d'Alep, de Homs, de Damas, à reconstruire leur chez-soi ? Tout cela, le documentaire de Ziad Khaltoum l'exprime sans emphase, sans misérabilisme.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Si cette distance esthétique est parfois presque trop nettement fabriquée, elle est aussi l’artifice nécessaire qui rend regardables, « pensives », des images insoutenables (celles de corps emprisonnés sous les décombres) : un geste de cinéma qui nous rapproche de la Syrie.
Télérama
par Nicolas Didier
Le sens du cadrage du réalisateur est indéniable. Obnubilé par les belles images (de grues, de scies circulaires et autres bétonnières), il en oublie de filmer ses protagonistes. Et reconduit maladroitement, avec ce documentaire, ce qu’il entend dénoncer : l’avalement du corps humain par le ciment et l’acier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
C'est un impressionnant poème visuel que déploie le réalisateur Ziad Kalthoum à travers ce premier film.
Critikat.com
"Taste of Cement" est une proposition cinématographique capitale pour ce qui est de la représentation de l’esclavage moderne. (...) Il incarne un cinéma poétique enflammé et authentiquement politique.
Culturopoing.com
Indispensable à tous points de vue, témoignage d'une rare puissance doublé d'une maîtrise formelle éblouissante, "Taste of Cement" propulse le cinéma documentaire dans une dimension artistique rarement atteinte.
Le Journal du Dimanche
Ici, pas de témoignages face caméra mais des abstractions silencieuses, des digressions oniriques et des scènes d’« action » très cinématographiques qui racontent une histoire forte et émouvante.
Libération
Alternant vies de Syriens exilés sur des chantiers au Liban et images de guerre, le superbe docu de Ziad Khaltoum édifie une boucle vertigineuse, entre constructions et destructions.
Première
L’enfermement social, historique, physique et mental trouve donc ici une sidérante incarnation plastique, où l’horizon des rêves s’avère constamment menacé par le spectre de l’effondrement.
Transfuge
Que se passera-t-il une fois résolue la crise syrienne ? Qui construira la maison de qui ? Quel peuple chassé de chez lui viendra aider les habitants d'Alep, de Homs, de Damas, à reconstruire leur chez-soi ? Tout cela, le documentaire de Ziad Khaltoum l'exprime sans emphase, sans misérabilisme.
Cahiers du Cinéma
Si cette distance esthétique est parfois presque trop nettement fabriquée, elle est aussi l’artifice nécessaire qui rend regardables, « pensives », des images insoutenables (celles de corps emprisonnés sous les décombres) : un geste de cinéma qui nous rapproche de la Syrie.
Télérama
Le sens du cadrage du réalisateur est indéniable. Obnubilé par les belles images (de grues, de scies circulaires et autres bétonnières), il en oublie de filmer ses protagonistes. Et reconduit maladroitement, avec ce documentaire, ce qu’il entend dénoncer : l’avalement du corps humain par le ciment et l’acier.