Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
(...) un film aussi intelligent que glaçant.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Des femmes et des hommes vivent là. Beaucoup n’ont jamais franchi les frontières de l’État. Une station-service, des bars, toutes sortes d’intérieurs dans lesquels Claus Drexel va poser sa caméra en cadres impeccables qui permettent que résonnent les longs échos de ce qui vient s’y inscrire.
L'Obs
par François Forestier
Drexel ne les juge pas, ces barmen, ces fossoyeurs, ces vétérans, il les filme avec respect – et beaucoup de classe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Il n’y a rien de vraiment original dans ce portrait de l’Amérique des déclassés. Mais la splendeur des images de Sylvain Leser, inondées de cette lumière crue de l’Ouest américain, la musique subtile d’Ibrahim Maalouf et la bienveillance du regard porté par Claus Drexel sur ces gens qui vivent « au bord de l’Amérique », en font un film empreint de beaucoup de justesse et de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Claus Drexel signe d'étonnants portraits d'habitants de l'Arizona, à la veille de l'élection présidentielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Marine Quinchon
C’est beau et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un portrait ethnologique passionnant et troublant sur les complexités de l’âme.
Positif
par Alain Masson
Claus Drexel suggère ainsi, avec la même générosité et avec force, qu'on ne saurait juger la personne à la même aune qu'on juge ses opinions.
Première
par Damien Leblanc
C’est cette vulnérabilité face aux assauts du temps que saisit magistralement Claus Drexel dans ce bout d’Amérique qui devient le temps de 82 minutes le centre de toutes nos préoccupations.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
Avec un humour caustique, mais sans jamais s’ériger en juge, Drexel capte ainsi tout un pan de la réalité américaine, où règne d’abord la culture des armes à feu, sa banalisation même.
Télérama
par Pierre Murat
L’Amérique éternelle, celle des ex-pionniers et des derniers cow-boys, celle qui préférerait sûrement voir des profs armés que des élèves désarmés, est là. Fascinante et terrifiante…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre patriotisme et résignation, America trace le portrait d’une Amérique contrastée et finalement attachante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Des discours parfois fascinants, variés, choquants ou raisonnés, et images lissées mais très belles font du documentaire sociologique de Drexel un film très efficace.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
"America" se concentre sur une déclinaison des phobies : l’étranger, la guerre, l’extinction de l’espèce, l’économie et la société, l’absence de repères ou encore la perte de la foi.
La Voix du Nord
par C. P.
Filmés en plan fixe, dans leur environnement quotidien, Claus Drexel nous les montre à la fois fiers et désespérés, lucides sur leur situation de déclassés et aveuglés par leur patriotisme, attachés à leur communauté et à leurs armes. Ses entretiens captivants alternent avec des vues de paysages qu’il révèle eux aussi dans leur beauté et leur désolation.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un constat sans complaisance, édifiant et glaçant.
Paris Match
par Yannick Vely
La forme du documentaire est un peu répétitive mais l'écrin superbe grâce à la photo de Sylvain Leser et ce format en 14 mm qui rend hommage à la nature sublime de cette Amérique de carte postale et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Devant cette caméra, ces sans-grades – d’aucuns, sous d’autres climats, auraient osé avancer “sans dents” – s’expriment librement, assurés de ne pas être jugés, ni même interrompus. Leur dureté, leur quotidien souvent désabusé, deviennent alors le fil rouge d’un documentaire à leur image : sec, rude, tranchant, sans détours, quoi qu’on en dise, quoi qu’on en pense, en “hauts lieux” ou ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Le portrait de l’Amérique construit à mesure qu’avance le film ne parvient pas à dépasser franchement ce que, depuis la France, il nous est déjà donné de questionner des États-Unis.
Le Monde
par Murielle Joudet
Claus Drexel présente le visage d’une Amérique plongée dans le passé, sans pour autant nous apprendre plus que tout ce qui a déjà été dit.
L'Express
(...) un film aussi intelligent que glaçant.
L'Humanité
Des femmes et des hommes vivent là. Beaucoup n’ont jamais franchi les frontières de l’État. Une station-service, des bars, toutes sortes d’intérieurs dans lesquels Claus Drexel va poser sa caméra en cadres impeccables qui permettent que résonnent les longs échos de ce qui vient s’y inscrire.
L'Obs
Drexel ne les juge pas, ces barmen, ces fossoyeurs, ces vétérans, il les filme avec respect – et beaucoup de classe.
La Croix
Il n’y a rien de vraiment original dans ce portrait de l’Amérique des déclassés. Mais la splendeur des images de Sylvain Leser, inondées de cette lumière crue de l’Ouest américain, la musique subtile d’Ibrahim Maalouf et la bienveillance du regard porté par Claus Drexel sur ces gens qui vivent « au bord de l’Amérique », en font un film empreint de beaucoup de justesse et de sensibilité.
Le Figaro
Claus Drexel signe d'étonnants portraits d'habitants de l'Arizona, à la veille de l'élection présidentielle.
Le Parisien
C’est beau et passionnant.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait ethnologique passionnant et troublant sur les complexités de l’âme.
Positif
Claus Drexel suggère ainsi, avec la même générosité et avec force, qu'on ne saurait juger la personne à la même aune qu'on juge ses opinions.
Première
C’est cette vulnérabilité face aux assauts du temps que saisit magistralement Claus Drexel dans ce bout d’Amérique qui devient le temps de 82 minutes le centre de toutes nos préoccupations.
Transfuge
Avec un humour caustique, mais sans jamais s’ériger en juge, Drexel capte ainsi tout un pan de la réalité américaine, où règne d’abord la culture des armes à feu, sa banalisation même.
Télérama
L’Amérique éternelle, celle des ex-pionniers et des derniers cow-boys, celle qui préférerait sûrement voir des profs armés que des élèves désarmés, est là. Fascinante et terrifiante…
aVoir-aLire.com
Entre patriotisme et résignation, America trace le portrait d’une Amérique contrastée et finalement attachante.
Bande à part
Des discours parfois fascinants, variés, choquants ou raisonnés, et images lissées mais très belles font du documentaire sociologique de Drexel un film très efficace.
La Septième Obsession
"America" se concentre sur une déclinaison des phobies : l’étranger, la guerre, l’extinction de l’espèce, l’économie et la société, l’absence de repères ou encore la perte de la foi.
La Voix du Nord
Filmés en plan fixe, dans leur environnement quotidien, Claus Drexel nous les montre à la fois fiers et désespérés, lucides sur leur situation de déclassés et aveuglés par leur patriotisme, attachés à leur communauté et à leurs armes. Ses entretiens captivants alternent avec des vues de paysages qu’il révèle eux aussi dans leur beauté et leur désolation.
Le Journal du Dimanche
Un constat sans complaisance, édifiant et glaçant.
Paris Match
La forme du documentaire est un peu répétitive mais l'écrin superbe grâce à la photo de Sylvain Leser et ce format en 14 mm qui rend hommage à la nature sublime de cette Amérique de carte postale et de cinéma.
Rolling Stone
Devant cette caméra, ces sans-grades – d’aucuns, sous d’autres climats, auraient osé avancer “sans dents” – s’expriment librement, assurés de ne pas être jugés, ni même interrompus. Leur dureté, leur quotidien souvent désabusé, deviennent alors le fil rouge d’un documentaire à leur image : sec, rude, tranchant, sans détours, quoi qu’on en dise, quoi qu’on en pense, en “hauts lieux” ou ailleurs.
Cahiers du Cinéma
Le portrait de l’Amérique construit à mesure qu’avance le film ne parvient pas à dépasser franchement ce que, depuis la France, il nous est déjà donné de questionner des États-Unis.
Le Monde
Claus Drexel présente le visage d’une Amérique plongée dans le passé, sans pour autant nous apprendre plus que tout ce qui a déjà été dit.