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Fabienne
8 abonnés
77 critiques
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5,0
Publiée le 6 août 2024
Mémorable, remarquable, digne d'awards. Une histoire somme toute simple, presque banale, entre un chauffeur de taxi et une cliente. Mais les dialogues sont réels, forts, subtiles, intelligents. Les jeux d'acteur sont époustouflants. La musique et la construction de l’image donnent une identité authentique et non copiable, et un rythme propre à la vie, avec ses cadeaux et ses murs. Tout simplement inoubliable. Pour ceux qui aiment les émotions humaines et la psychologie dans les films : à avoir dans sa vidéothèque.
Un huit-clos se déroulant dans un taxi, entre une passagère et un chauffeur de taxi. Pendant tout le film, nous suivons l'échange de ces deux personnes, qui commence doucement et qui se révèle de plus en plus intime, comme une sorte de thérapie entre elles. J'ai eu un peu de mal à me mettre dedans durant la première partie du film, mais la seconde partie est un peu plus intéressante et touchante. Pas de coup de cœur, mais non désagréable.
Je n'ai pas apprécié ce film. Vous prenez deux acteurs,qui heureusement ne sont pas mauvais et un taxi, cela vous fait un film. Si vous voulez une leçon de morale sur le fait que vous avez une relation avec un homme marié alors je vous conseille ce film.
À l’aéroport JFK de New York, un soir, une jeune femme monte dans un taxi. S’engage alors, une conversation troublante et passionnée entre le chauffeur et sa passagère…
15 jours seulement (!) après Le Choix (2024) de Gilles Bourdos, où l’on se retrouvait enfermé dans une voiture pendant 80min aux côtés de Vincent Lindon, on a droit à un énième huis clos, dans un taxi cette fois-ci. Si le concept est exactement le même, il faut avouer qu’ici, le casting est plus… sexy.
Pour son premier long-métrage, Christy Hall ne vise pas la facilité en situant l’action de son film intégralement dans l’habitacle d’un taxi, surtout lorsque celui-ci dure plus de 90min. C’est bien là le problème, comme toujours avec ce type de film, basé sur une seule et même unité de lieu et de temps, au bout d’un certain moment, on finit par trouver le temps long au point de s’ennuyer ferme.
Daddio (2024) se plante en beauté, le film avait été pensé (au départ) pour le théâtre, cela aurait dû le rester ainsi. La réalisatrice peine à y insuffler un dynamisme et surtout, un intérêt. Les dialogues sont lourdingues de bêtises et de banalités, entre ce chauffeur de taxi buriné par la vie, qui se la joue psychanalyste et cette charmante jeune femme indécise, qui vide son sac devant le premier venu.
On s'ennuie terriblement et ce, malgré la complicité évidente entre les comédiens. Le film ne cesse de brasser continuellement du vent, à l’image de ses dialogues. Malgré de bons interprètes, le film s’oubliera aussitôt (en dehors de garder en mémoire le joli minois de Dakota Johnson).
La forme impressionne, le fond questionne, et même si cela est un peu long, il faut avouer que l'œuvre de HALL offre un moment de cinéma prenant et touchant, mais également très justement interprété
Ce film se passe dans un taxi entre une jolie comédienne Dakota Johnson ( Cinquante nuances de Grey ) et le plus beau mec au monde à mes yeux, Sean Penn. Ce sont des dialogues entre un homme mûr et une jolie jeune femme,intéressant. .
« Daddio », le premier film de la réalisatrice Christy Hall, est une discussion entre une cliente et son chauffeur de taxi qui se transforme en séance chez un psy pour le plus grand plaisir du spectateur qui ne voit pas le temps passer. Les deux personnages, filmés en gros plan, montrent toute la palette de leur jeu et donnent l’impression, fausse, d’un dialogue ininterrompu. Personnellement, j’ai pris le taxi à 3 reprises à New York et à chaque fois avec des chauffeurs de taxi qui ne parlaient pas ou peu anglais. J’espère que la prochaine fois, j’aurai Sean Penn comme chauffeur…
Très intéressant 1er film de Christy Hall que ce huit-clos dans un taxi , à condition d'accepter ce parti pris à l'opposé d'un cinéma d'action , avec des dialogues ciselés et le talent de deux acteurs accomplis qui semblent avoir une alchimie évidente !
sa vous tente de voir Dakota Johnson parler de ses daddy issues pendant 100 minutes à sean penn ? si c'est votre kiffe cous aller adorer. pour faire simple, daddio c'est vide, vide à en crever. après 40 minutes le film est une boucle infernale qui ne se termine jamais, qui ne sait que se répéter sans jamais avancer. au mieux c'est divertissant, au pire c'est grossier. visuellement c'est pas mauvais mais sa manque de plan en dehors de la bagnole, et si l'histoire tient c'est en grosse partie grâce à d'excellent acteurs. sean penn je pense sauve une grosse partie du film. le plus gros problème reste l'originalité, car elle est inexistante, c'est de l'analyse et de la "psychologie" de bas étages qui est par moment consternant. daddio au mieux c'est passable, au pire c'est grotesque.
Une femme sort de l'aéroport JFK et entre dans le taxi d'un homme pour sa dernière course de la soirée. Alors qu'elle pense à la réponse qu'elle doit donner à un message qu'elle a reçu, Clark entame la conversation... Des banalités pour commencer avant des discussions plus personnelles sur leur vie respective. Quand on fait un film aussi minimaliste, il ne faut pas se tromper sur le casting et Christy Hall ne fait pas d'erreur avec Dakota Johnson et Sean Penn. Les deux ont une superbe alchimie en plus d'être convaincants et très attachants. On passe du bon temps avec eux à les voir se confier l'un à l'autre avec parfois des échanges dignes d'une séance chez le psychologue avec Clark qui fait le vieux sage à donner des conseils, parfois datés, sur la vie basés sur sa propre expérience. Le personnage de Sean Penn est amusant en étant rentre-dedans, mais il se montre également lourd sur certains sujets. Cependant, ce sont leurs différences qui rendent ces échanges intéressants. Tout ne l'est pas avec une écriture parfois brouillonne et un impact émotionnel pas toujours au rendez-vous, mais le trajet est toujours agréable. Au final, "Daddio" est un film charmant porté par deux super acteurs.
Dakota Johnson et Sean Penn, c'est évidemment plus glamour que Line Renaud et Dany Boon mais Daddio et Une belle course partagent un point de départ voisin et force est de constater que le long métrage français est plus animé que l'américain, quoiqu'il soit difficile de prétendre que l'un est meilleur que l'autre. Reconnaissons tout de même à la réalisatrice de Daddio, Christy Hall, de ne jamais déroger à son concept originel, avec une conversation à bâtons rompus, sans sortir de l'habitacle, entre un chauffeur, forcément vieux et moralisateur, et sa passagère, sans surprise jeune, jolie et quelque peu perdue. Et tournent le compteur et les révélations de quelques secrets des deux protagonistes, que l'on confie plus aisément à un inconnu, pour un effet libératoire immédiat. C'est un tantinet répétitif, y compris dans l'interprétation, avec une psychologie un peu sommaire du plus âgé à l'encontre de la plus jeune, et la mise en scène ne peut pas faire de folies, dès lors qu'elle ne cadre que deux personnages. En revanche, la parole est libérée. Il est même chaud le taxi, comme si le film devait absolument verser dans une verdeur et crudité de langage, pour ne pas paraître trop mièvre. Pour des trajets en taxi bien plus palpitants, il est permis de se tourner vers Téhéran ou Sofia, par exemple, pour ne citer que des films relativement récents.
Une jeune femme (Dakota Johnson), de retour d’Oklahoma, monte à l’aéroport JFK de New York dans un taxi. Destination : le centre de Manhattan. La discussion s’engage entre la passagère et le conducteur du taxi (Sean Penn).
Un film nocturne tout entier tourné à l’intérieur d’un véhicule ? Vous avez l’impression que mon blog bégaie et que je vous en ai déjà parlé ? En effet ! Il y a quelques jours à peine, je chroniquais "Le Choix" avec Vincent Lindon, un film français qui suivait sa tête d’affiche, l’oreille collée à son portable pour essayer de faire de l’ordre dans sa vie, pendant un trajet automobile nocturne vers une destination inconnue.
Il n’y avait dans "Le Choix" qu’un seul protagoniste. Il y en a deux dans "Daddio", qui ne s’étaient jamais rencontrés avant que leurs chemins se croisent. La question qui se pose – et que je me suis posée pendant tout le film – est la crédibilité de leur rencontre ou, plutôt, celle de leur dialogue. Car qu’un conducteur de taxi rencontre une passagère, il n’y a à cela rien d’extraordinaire. Que la conversation s’engage, sur le temps qu’il fait, l’état du trafic ou les dernières actualités, pourquoi pas ? Mais avez-vous déjà raconté votre vie au conducteur de votre taxi ? vos amours, vos emmerdes, vos secrets les plus intimes ? et vous a-t-il en retour dispensé de sentencieux conseils ?
Car c’est de cela dont il s’agit dans "Daddio" – un titre que je n’ai pas compris (renvoie-t-il au surnom, scandaleusement incestueux ou délicieusement complice, dont l’héroïne a affublé son amant ?). Une passagère raconte sa vie amoureuse au chauffeur de son taxi. Pour épicer un peu l’intrigue, elle échange simultanément des sextos à l’amant susmentionné qui se languit d’elle. Comment la banquette arrière d’un Yellow Cab se transforme-t-elle en canapé freudien ? C’est le tour de passe-passe auquel le film voudrait nous faire croire.
J’ai beau savoir que les interactions aux Etats-Unis sont plus fluides qu’en France, je suis resté bloqué tout le long du film sur ce point-là : je n’ai pas cru une seconde à la possibilité d’un dialogue entre ces deux personnages. Dès lors, tout dans "Daddio" m’a semblé sonner faux.
Bon le film a visiblement été inspiré par le film de taxi avec Dany Boon et Lise Renaud, ( Une belle course, 2022) Je ferme la parenthèse cela n’a rien à voir ici….Sean Penn, prend Dakota Johnson pour aller de JFK à la 44 ème rue- ( accrochez vous 500 dollars la course)...Le film est une sorte de divan où l’on se raconte tout ( vie privée, histoires salaces, famille, passé, projets) même si certains passages auraient pu être censurés, je dois dire que le lien qui se crée entre le chauffeur de taxi et sa jeune et jolie passagère???Cela en devient touchant et même si c’est une psychanalyse de comptoir, le spectateur peut s’identifier aux personnages, à leurs vies…. en toile de fond New York comme si vous y étiez, Bref ce film remet les compteurs à zéro, et vous rappelle que peut tout se dire dans la Grande Pomme ;..l’impression d’y avoir passé l’après midi….Souvenirs...Je conseille ce film avec avertissement, c’est touchant mais très cru…...Reste New York, Une ville pleine d’énergie….
Vite lassant. Que du bavardage en voiture entre 2 personnes tout au long du film. Soit on rentre dans cette psychologie plus ou moins de bas étage , soit on reste indifférent et c'est l’ennuie qui gagne.