Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Closer
par J.B.
Grace aux performances intenses et magnétiques de Dakota Johnson et Sean Penn, cette comédie dramatique nous offre un trajet palpitant autant qu'un subtil voyage intérieur.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Si l'on accepte ce parti pris (évidemment à l'opposé d'un cinéma d'action), on s'installe volontiers avec eux, dans l'humanité de leur échange.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une odyssée urbaine et nocturne douce-amère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Pour son premier film, Christy Hall joue malicieusement de ce topos cinéphilique et sociologique, et pourquoi pas s'il fait effet de réel en même temps que rêver ? Nous jouons aussi le jeu, avec les deux acteurs, au mieux de leur charme.
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Centré sur des questions finalement morales (l’adultère, la confiance, l’engagement, l’emprise amoureuse...) le scénario déploie avec intelligence ses dialogues calculés pour mieux déstabiliser le spectateur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Mélange de huis clos et de road movie invitant au voyage vers l’autre et ajoutant sa pierre à l’édifice des films de taxi, "Daddio" séduit par la qualité de son écriture, l’alchimie évidente entre ses deux comédiens et son atmosphère enveloppante, à la limite de l’onirisme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Tribune Dimanche
par Charlotte Langrand
Un dialogue charmant sur les vertus des échanges et de l’écoute mutuelle.
Le Figaro
par C. J.
Christy Hall saisit à merveille le processus d’abandon qui mène à autant de confidences avec un étranger : l’effet hypnotique de la route, les allures de divan psy d’une plage arrière où seul le dos de votre interlocuteur émerge. Chaque angle, chaque reflet de rétroviseur est étudié. Jamais la lassitude ne s’installe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Cette minutie de l’écriture permet à Daddio de trouver ce nécessaire juste milieu entre théâtralité et naturalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] le pari narratif accuse quelques baisses de tension. Néanmoins, ce trajet un rien freudien se révèle très plaisant dans sa façon de faire sauter, peu à peu, à travers les seuls dialogues, nos préjugés sur les personnages, joliment incarnés.
Version Femina
par Hadrien Machart
Pour son premier long-métrage, Christy Hall s'est lancé le défi de n'user comme seul décor que l'habitacle d'une voiture, en s'appuyant sur des dialogues ciselés et le talent de deux acteurs accomplis pour tenir en haleine le spectateur. Pari (presque) réussi.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Huis-clos dans un taxi plutôt réussi, porté par un duo d’acteurs exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Pour son premier long-métrage, Christy Hall fait à la fois simple et compliqué. Une voiture, deux personnages : difficile d’imaginer cadre plus serré. Mais rien de ce qui sera dit n’échappera à l’empire de la métaphore et de la signification.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Mais c’est surtout l’ennui qui guette le spectateur au cours de cet interminable et peu passionnant dialogue – le film n’a rien de coquin ou de scandaleux comme on a voulu nous le faire croire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Camille Brun
Dakota Johnson et Sean Penn forment un duo attachant, point fort de ce film atypique, mais qui aurait gagné à être raccourci.
Télérama
par Jacques Morice
Entre la philosophie de comptoir et le gentil badinage pimenté d’un zeste de sexe, le film déroule sagement son programme d’introspection, ultra classique pour ne pas dire rétrograde – la réalisatrice et scénariste, pourtant jeune, a clairement raté le train #MeToo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le vertige existentiel nous conduit plutôt dans un tunnel de banalités. On se dit même que dans la vraie vie, devant la lourdeur faussement complice du chauffeur psychanalyste, une femme aurait changé de taxi au bout de cinq minutes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
D'emblée, on ne croit pas à cette situation de départ : la complicité soi-disant naturelle entre la cliente à l'arrière et le conducteur à l'avant est totalement artificielle [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Frédéric Foubert
Censé être un « véhicule » pour ses interprètes (comme disent les Anglo-Saxons pour parler d’une partition sur mesure), Daddio reste au point mort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Closer
Grace aux performances intenses et magnétiques de Dakota Johnson et Sean Penn, cette comédie dramatique nous offre un trajet palpitant autant qu'un subtil voyage intérieur.
Femme Actuelle
Si l'on accepte ce parti pris (évidemment à l'opposé d'un cinéma d'action), on s'installe volontiers avec eux, dans l'humanité de leur échange.
Les Fiches du Cinéma
Une odyssée urbaine et nocturne douce-amère.
Positif
Pour son premier film, Christy Hall joue malicieusement de ce topos cinéphilique et sociologique, et pourquoi pas s'il fait effet de réel en même temps que rêver ? Nous jouons aussi le jeu, avec les deux acteurs, au mieux de leur charme.
Abus de Ciné
Centré sur des questions finalement morales (l’adultère, la confiance, l’engagement, l’emprise amoureuse...) le scénario déploie avec intelligence ses dialogues calculés pour mieux déstabiliser le spectateur lui-même.
Culturopoing.com
Mélange de huis clos et de road movie invitant au voyage vers l’autre et ajoutant sa pierre à l’édifice des films de taxi, "Daddio" séduit par la qualité de son écriture, l’alchimie évidente entre ses deux comédiens et son atmosphère enveloppante, à la limite de l’onirisme.
La Tribune Dimanche
Un dialogue charmant sur les vertus des échanges et de l’écoute mutuelle.
Le Figaro
Christy Hall saisit à merveille le processus d’abandon qui mène à autant de confidences avec un étranger : l’effet hypnotique de la route, les allures de divan psy d’une plage arrière où seul le dos de votre interlocuteur émerge. Chaque angle, chaque reflet de rétroviseur est étudié. Jamais la lassitude ne s’installe.
Le Monde
Cette minutie de l’écriture permet à Daddio de trouver ce nécessaire juste milieu entre théâtralité et naturalisme.
Télé 7 Jours
[...] le pari narratif accuse quelques baisses de tension. Néanmoins, ce trajet un rien freudien se révèle très plaisant dans sa façon de faire sauter, peu à peu, à travers les seuls dialogues, nos préjugés sur les personnages, joliment incarnés.
Version Femina
Pour son premier long-métrage, Christy Hall s'est lancé le défi de n'user comme seul décor que l'habitacle d'une voiture, en s'appuyant sur des dialogues ciselés et le talent de deux acteurs accomplis pour tenir en haleine le spectateur. Pari (presque) réussi.
aVoir-aLire.com
Huis-clos dans un taxi plutôt réussi, porté par un duo d’acteurs exceptionnels.
Cahiers du Cinéma
Pour son premier long-métrage, Christy Hall fait à la fois simple et compliqué. Une voiture, deux personnages : difficile d’imaginer cadre plus serré. Mais rien de ce qui sera dit n’échappera à l’empire de la métaphore et de la signification.
Le Parisien
Mais c’est surtout l’ennui qui guette le spectateur au cours de cet interminable et peu passionnant dialogue – le film n’a rien de coquin ou de scandaleux comme on a voulu nous le faire croire.
Télé Loisirs
Dakota Johnson et Sean Penn forment un duo attachant, point fort de ce film atypique, mais qui aurait gagné à être raccourci.
Télérama
Entre la philosophie de comptoir et le gentil badinage pimenté d’un zeste de sexe, le film déroule sagement son programme d’introspection, ultra classique pour ne pas dire rétrograde – la réalisatrice et scénariste, pourtant jeune, a clairement raté le train #MeToo.
La Voix du Nord
Le vertige existentiel nous conduit plutôt dans un tunnel de banalités. On se dit même que dans la vraie vie, devant la lourdeur faussement complice du chauffeur psychanalyste, une femme aurait changé de taxi au bout de cinq minutes.
Le Journal du Dimanche
D'emblée, on ne croit pas à cette situation de départ : la complicité soi-disant naturelle entre la cliente à l'arrière et le conducteur à l'avant est totalement artificielle [...].
Première
Censé être un « véhicule » pour ses interprètes (comme disent les Anglo-Saxons pour parler d’une partition sur mesure), Daddio reste au point mort.