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C’est bien parce qu’elle est incroyablement présente, dans toute son humidité ou incandescence, froideur ou ardeur, et dans toutes ses nuances de couleurs, et non parce que cela a été décrété par un scénario ou construit de toutes pièces par un esthète, que la nature peut ici véritablement redevenir une énigme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Aidé du chef opérateur Mauro Herce, Oliver Laxe filme le passage du temps et des saisons, sublime le moindre geste de Benedicta et nous rend sensible à la beauté intemporelle de la Galice.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
À la fois modeste et ambitieux, dépouillé et spectaculaire, documentaire et légendaire, laissant finalement plus de questions que de réponses, "Viendra le feu" détonne par sa singularité.
L’apparente simplicité avec laquelle le film alterne l’imposant et le banal, le monumental et l’infime, signe une assurance du regard que la précédente fiction de Laxe, le beau Mimosas, ne laissait pas attendre.
Le jaillissement de la flamme, vécu comme l’extension d’une forme de colère projetée sur le monde, résume parfaitement le mouvement du film d’Oliver Laxe : la recherche d’une correspondance cinématographique entre l’âme et le monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La force de ce troisième long-métrage (prix du jury à Un certain regard) est de nous montrer l’intimité de gens modestes, l’âpreté et la beauté de leurs vies, et d’en faire des fictions palpitantes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Pour être sincère, on admettra que si le début lénifie un peu avec sa mélancolie campagnarde, les séquences documentaires du feu de forêt, d’une proximité et d’une précision rares, emportent le morceau en sortant la chronique de ses demi-teintes pour entrer dans le vif du sujet… incandescent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Dans ce conte d’une beauté aride et envoûtante, tourné dans les montagnes galiciennes, le réalisateur confronte, à travers le destin d’un supposé pyromane, l’homme à une nature souveraine et vengeresse. Ce film à la beauté singulière a été couronné par le Prix du jury Un certain Regard au festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dans ce conte mystique et champêtre, doux et enfiévré, soumission et résistance sont intimement liées. Laxe met en scène dans sa plus exacte et sensible vérité aussi bien les restes fragiles d’un monde familier prêt à disparaître (et plus largement une façon de vivre, d’être) que l’aveu de fabrication d’un jeune cinéaste ascétique.
L’ennui gagne, on entend « Suzanne » de Leonard Cohen sur le gros plan d’une vache de retour de chez le vétérinaire, c’est beau et vain ; c’est de l’art bovin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce récit contemplatif est plombé par son rythme languissant, un manque d’enjeu et même d’empathie pour un personnage dont on n’apprend finalement rien.
Sur le terrain de la chronique campagnarde, Oliver Laxe ne parvient pas à aller audelà d’un certain nombre de passages obligés, liés au genre bien établi et quadrillé du film rural et arty. A ce jeu-là, le réalisateur n’est pas dépourvu d’un certain talent, mais ne réussit pas à contourner les clichés (...).
Libération
C’est bien parce qu’elle est incroyablement présente, dans toute son humidité ou incandescence, froideur ou ardeur, et dans toutes ses nuances de couleurs, et non parce que cela a été décrété par un scénario ou construit de toutes pièces par un esthète, que la nature peut ici véritablement redevenir une énigme.
Paris Match
Aidé du chef opérateur Mauro Herce, Oliver Laxe filme le passage du temps et des saisons, sublime le moindre geste de Benedicta et nous rend sensible à la beauté intemporelle de la Galice.
Transfuge
À la fois modeste et ambitieux, dépouillé et spectaculaire, documentaire et légendaire, laissant finalement plus de questions que de réponses, "Viendra le feu" détonne par sa singularité.
Cahiers du Cinéma
L’apparente simplicité avec laquelle le film alterne l’imposant et le banal, le monumental et l’infime, signe une assurance du regard que la précédente fiction de Laxe, le beau Mimosas, ne laissait pas attendre.
Critikat.com
Le jaillissement de la flamme, vécu comme l’extension d’une forme de colère projetée sur le monde, résume parfaitement le mouvement du film d’Oliver Laxe : la recherche d’une correspondance cinématographique entre l’âme et le monde.
Première
Puissant.
Sud Ouest
La force de ce troisième long-métrage (prix du jury à Un certain regard) est de nous montrer l’intimité de gens modestes, l’âpreté et la beauté de leurs vies, et d’en faire des fictions palpitantes.
Télérama
Un film-poème incandescent.
L'Humanité
Pour être sincère, on admettra que si le début lénifie un peu avec sa mélancolie campagnarde, les séquences documentaires du feu de forêt, d’une proximité et d’une précision rares, emportent le morceau en sortant la chronique de ses demi-teintes pour entrer dans le vif du sujet… incandescent.
La Croix
Dans ce conte d’une beauté aride et envoûtante, tourné dans les montagnes galiciennes, le réalisateur confronte, à travers le destin d’un supposé pyromane, l’homme à une nature souveraine et vengeresse. Ce film à la beauté singulière a été couronné par le Prix du jury Un certain Regard au festival de Cannes.
La Septième Obsession
Olivier Laxe tresse une fable écologique et humaniste magistrale.
Les Fiches du Cinéma
Pour son deuxième long métrage, Oliver Laxe apparie avec bonheur une Galice détrempée et une mise en scène aride.
Les Inrockuptibles
Dans ce conte mystique et champêtre, doux et enfiévré, soumission et résistance sont intimement liées. Laxe met en scène dans sa plus exacte et sensible vérité aussi bien les restes fragiles d’un monde familier prêt à disparaître (et plus largement une façon de vivre, d’être) que l’aveu de fabrication d’un jeune cinéaste ascétique.
L'Obs
L’ennui gagne, on entend « Suzanne » de Leonard Cohen sur le gros plan d’une vache de retour de chez le vétérinaire, c’est beau et vain ; c’est de l’art bovin.
Le Journal du Dimanche
Ce récit contemplatif est plombé par son rythme languissant, un manque d’enjeu et même d’empathie pour un personnage dont on n’apprend finalement rien.
Le Monde
Sur le terrain de la chronique campagnarde, Oliver Laxe ne parvient pas à aller audelà d’un certain nombre de passages obligés, liés au genre bien établi et quadrillé du film rural et arty. A ce jeu-là, le réalisateur n’est pas dépourvu d’un certain talent, mais ne réussit pas à contourner les clichés (...).
Le Figaro
Une intrigue molle et sans surprise sur un pyromane qui sort de prison.
Ouest France
On peut aussi décrocher de cette chronique rurale et sombrer dans l'ennui.