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    Yuli
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    3,9
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    52 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juillet 2019
    Ce film raconte une histoire vraie et même le danseur est interprété par lui-même (quand on le voit adulte à 40 ans, c'est lui).
    Le film est très bien réalisé et interprété.
    Même si on n'aime pas spécialement la danse, c'est une histoire belle et émouvante et ce film est très plaisant à regarder.
    Agl-Paris
    Agl-Paris

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2019
    J'ai tout aimé de ce film : la justesse, le juste équilibre, les danses et les danseurs, la pudeur, les sons et la photo et Cuba. Un vrai coup de cœur.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2019
    Adapté du propre livre de souvenirs du danseur étoile Carlos Acosta, Yuli raconte un destin prodigieux sans s'éloigner d'un certain classicisme mais avec un vrai talent narratif (grâce au scénariste Paul Laverty) qui se permet de larges ellipses pour mieux se concentrer sut trois périodes clés de l'existence de l'artiste. Plutôt que de recréer certains épisodes de sa vie, le film les livre sous forme de chorégraphie, avec la présence du véritable Acosta. Le résultat est surprenant mais séduisant, à la manière d'une comédie musicale qui fait progresser l'action par la symbolique de la danse. Ne refusant jamais l'émotion, Yuli s'attache aux pas d'un danseur malgré lui, la relation au père, violente et contrastée, constituant l'un des points forts du long-métrage. Passionnante également est la fidélité à la sensibilité cubaine que rend parfaitement la réalisatrice Iciar Bollain, à travers une histoire qui va de l'esclavage aux balseros jusqu'à la nostalgie que ressentent ceux qui ont quitté leur île, même s'ils n'avaient pas d'autre échappatoire. Carlos Acosta a dansé sa vie, du gosse récalcitrant et têtu à la star adulée qui n'a de cesse de vouloir transmettre son art, à La Havane même, là où tout a commencé. Il est évident que le film lui doit tout, non seulement son sujet, mais aussi toutes les thématiques qui le traversent y compris ce rapport organique avec Cuba et ses habitants. Cela passe par ce que certains qualifieront peut-être de sentimentalisme et quelques raccourcis dans le récit mais le plus important était de respecter Acosta, le danseur, mais surtout l'homme et le gamin des rues qu'il a été.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juillet 2019
    Avant de devenir danseur étoile au "Royal Ballet" de Londres, Carlos Acosta était un petit garçon farceur, élevé dans les quartiers pauvres de La Havane que rien, sinon l'ambition de son père, ne destinait à la danse.

    Carlos Acosta avait déjà raconté son parcours dans une autobiographie publiée en 2007. Il avait également monté à Cuba un ballet inspiré de sa propre vie. Ne manquait plus pour parachever le mausolée qu'un film. C'est chose faite avec ce biopic signé de la réalisatrice espagnole Icíar Bollaín dont le conjoint, Paul Laverty, a écrit le scénario.

    "Yuli" ne réserve guère de surprise. Le duo Bollaín-Laverty respecte scrupuleusement le cahier des charges au risque de sombrer dans le pathos : des personnages qui se réduisent à leur caricature (le gamin dilettante mais surdoué, le père sévère mais aimant…), l'exotisme des rues de La Havane, l'histoire du castrisme en arrière-plan (le socialisme triomphant, la crise des "balseros"…), quelques séquences émotion (l'exil de la grand-mère, la névrose de la sœur)… On veut nous vendre que le jeune Carlos, qui rêvait de football et de breakdance, est devenu danseur étoile contre son gré ; on peine à le croire. On veut aussi nous faire toucher du doigt son déchirement entre sa vie professionnelle qui l'oblige à s'expatrier en Europe et son attachement à sa famille et à son pays ; on peine à être ému.

    "Yuli" est ponctué de sublimes séquences de danse. Carlos Acosta y interprète son propre rôle. Il y danse avec une majesté qui en impose. C'est le seul intérêt de ce biopic trop académique pour surprendre, trop complaisant pour émouvoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 juillet 2019
    Absolument remarquable et tres beau.
    Les scenes de danse qui ponctuent le recis sont superbes. A voir!
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juin 2020
    La success story de Carlos Agosta, danseur étoile cubain. Un biopic attachant avec certaines scènes de danse très réussies, mais pas très captivant et sans véritable émotion.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2021
    Réalisé par Icíar Bollaín ("Même la pluie"), scénarisé par Paul Laverty, le scénariste de Ken Loach, d'après l'autobiographie du danseur cubain Carlos Acosta, comptant Carlos Acosta lui-même parmi ses interprètes tout au long de sa vie, "Yuli", surnom de Carlos donné par son père, un camionneur descendant d'esclaves, est un biopic qui peine à démarrer mais qui, petit à petit, devient de plus en plus intéressant et émouvant.
    Cineseba
    Cineseba

    44 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2019
    " Le film "Yuli" raconte le parcours étonnant de Carlos Acosta qui était un petit garçon élevé dans des quartiers pauvres, qui rêve devenir un footballeur comme Pélé, qui aimait jouer et danser au hip-hop avec les enfants et qui se voyait imposé par son père à devenir un danseur ! Malgré le talent inné, il ne veut pas danser ! Il est bien le contraire de Billy Elliot qui va en cachette en cours de danse alors que Carlos Acosta, lui en fuit ! Il deviendra plus tard le premier grand danseur étoile noir au Royal Ballet de Londres ... Ce qui est dommage dans le film, c'est que je n'ai réellement pas l'impression que le destin de Carlos Acosta est incroyable au point de dire que son parcours est l'unique au monde tant ce biopic est, je trouve, un peu trop professionnel ! C'est presque comme si on lit son C.V. , mmhh ! J'aurais privilégié davantage au récit, à la narration pour suivre l'évolution de Carlos, de l'enfant espiègle et têtu, l'adolescence déraciné de son pays, le Cuba au grand danseur mondial, pour voir sa passion grandir sans oublier le rapport tendu et houleux entre lui et son père, qui est en réalité le fil conducteur de ce film ! La scène où Carlos Acosta, adolescent est tiraillé entre ses origines et son ascension artistique car il est inquiet par les évènements politiques en Cuba : l'effondrement de l'URSS, les embargos vers les USA, est touchante mais pas assez développée ! Dommage ... Bon, dans le film "Yuli", il y a de belles séquences de danse pour raconter ses moments vécus dans l'enfance et l'adolescence ! Envoutant, ces danseurs ! La fin du film "Yuli" m'a fait penser à "Titanic" par l'évolution des scènes de l'architecture d'intérieur d'un bâtiment désaffecté en Cuba à celle du Royal Ballet de Londres ... Beau film ! "
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 novembre 2021
    Pour tous ceux qui aiment le mouvement. Danse et cinéma n'ont sans doute jamais été en pareille harmonie. L'œuvre la plus élégante qu'on puisse faire à un artiste. Vie et chorégraphie ne font qu'un, tandis que chaque période nous gratifie d'une belle part d'émotion, subtile, avec un casting pertinent pour donner corps à Carlos Acosta.
    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    De Icíar Bollaín (2019).
    Un Biopic fort et très bien réalisé . En ce sens que la chronologie (souvent inhérente à ce genre de film) est cassée et dopée par des regards croisés entre passé et présent et surtout par des scènes de danse et ballet excellentes . De plus l'autre force du film réside dans l'immersion du conflit familial et de l'incommunicabilité entre un père parfois dur mais qui croit à son fils et son fils en conflit avec son père et lui même . Conflit familial sur fond d'étude sociologique ds'un Cuba aux proies aux difficultés économiques et politiques. Très bien interpretté que ce soit par le jeune Edilson Manuel Olvera vraiement inspiré jouant le jeune Acosta. Kevyin Martínez en bel adulte joue à merveille le jeune et fougueux danseur Acosta. et bien sur Carlos Acosta lui-même dans son propre rôle ,Quand à Santiago Alfonso jouant le père est admirable.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2021
    Un très bon film biographique sur le danseur étoile Carlos Santona de son enfance cubaine dans la pauvreté à son ascension à Londres.
    Joce2012
    Joce2012

    210 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juillet 2019
    Très bon film pour qui aime la danse, très très bonne interprétation qui nous emporte tellement ils dansent bien ... à voir
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2019
    C’est l’histoire de Carlos Acosta, métis cubain que son père, Pedro, descendant d’esclaves, camionneur, a surnommé Yuli (nom d’un héros amérindien) et qui devient danseur étoile au Royal Ballet de Londres. Elle est adaptée de son autobiographie « No way home » (2008) par le britannique Paul LAVERTY, mari de la réalisatrice et scénariste, principalement de Ken Loach. Le danseur est interprété par 3 comédiens, enfant, adolescent, lui-même (46 ans) jouant son propre rôle adulte. Outre son fabuleux destin [des quartiers pauvres de La Havane à Lausanne (médaille d’or) à 17 ans, au ballet royal de Londres à 18 ans (1991), à Houston à 21 ans (1993-1998) et ses grands rôles du répertoire (« Don Quichotte », « La bayadère », « Roméo et Juliette »), c’est aussi un film sur les rapports conflictuels père ( spoiler: violent, clairvoyant, fier et tenant un album de photos et de coupures de journaux relatives à Carlos
    ) – fils ( spoiler: indiscipliné et voleur
    ), sur l’exil [ spoiler: Carlos a connu l’internat à 11 ans, quitté Cuba à 16 ans avant de d’y retourner à 20 ans (après une blessure à la cheville) puis de s’y fixer tandis que sa tante et sa grand-mère ont quitté Cuba pour le Venezuela
    ] et sur la crise qu’a connue Cuba, due à la fin du soutien de l’U.R.S.S., entrainant l’exode de milliers de cubains (« balseros ») vers la Floride à l’aide d’embarcations de fortune, les « balsas ». Malgré une excellente réalisation (un peu académique), le recours multiple aux flash-back gêne l’immersion du spectateur dans l’histoire : Yuli enfant et adolescent est une tête à claques (têtu, préférant danser le hip-hop et s’opposer à son père) ; un récit chronologique aurait mieux permis de constater son évolution vers un adulte, plus mûr et tirant profit de ses souffrances ( spoiler: dont le suicide de sa sœur, schizophrène et la mort de son père en 2012 alors qu’il a 39 ans
    ) et de sa solitude pour nourrir sa création artistique (« Tocororo » en 2003). A souligner aussi l’excellente musique d’Alberto IGLESIAS, compositeur attitré depuis 1995 de Pedro Almodóvar (10 Goya de la meilleure musique originale à son palmarès).
    Jacques F
    Jacques F

    9 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2019
    Superbe film à voir absolument . Très belle mise en scène .Très beau message . Et très belle chorégraphie . .
    frederic T.
    frederic T.

    18 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 novembre 2022
    Icíar Bollaín signe là un biopic honnête qui retrace la vie singulière du danseur Carlos Acosta des rues de la Havane au National Ballet de Londres. Dommage que la mise en scène reste assez convenue et le scénario de Paul Laverty (habituel collaborateur de Ken Loach et époux de la réalisatrice) n’évite pas quelques lourdeurs ... Pourquoi mettre systématiquement en parallèle les chorégraphies de Acosta avec les moments difficiles de sa jeunesse ?
    La réflexion sur la réussite et le bonheur, l’attachement à ses racines, sont abordées avec plus de nuances.
    Restent de magnifiques scènes dansées qui suscitent émotion et fascination.
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