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Cette histoire singulière est racontée à travers des scènes jouées, mais aussi de superbes séquences de danse avec Carlos Acosta dans son propre rôle. Le récit d'un amour contraint, raconté avec passion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
[...] la réalisation d'Iciar Bollain est efficace, sérieuse et assez habile dans la gestion des trois périodes importantes de la vie du danseur étoile [...].
Chronique d’une vie menée au rythme d’un socialisme tremblotant, Yuli est tout aussi ambitieux que ses séquences de danses sont grandioses. Ode au courage, cette récit presque trop beau pour être vrai devrait ravir tant les amateurs de ballet que ceux d’histoire moderne. A ne pas rater !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
En dépit d'une mise en scène assez convenue et d'une bande-son parfois un peu larmoyante, "Yuli" échappe à la platitude du biopic par les longues séquences dansées qui viennent casser la logique chronologique et proposent une réinterprétation au présent du passé par la chorégraphie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La danse fait avancer l’action à la manière d’une comédie musicale et apporter son authenticité au film, qui ne sombre jamais dans le pathos tout en racontant avec sensibilité la difficulté de vivre à Cuba, mais également loin de chez soi.
Du scénariste Paul Laverty (éternel partenaire de Ken Loach), on retrouve le didactisme qui frôle parfois la lourdeur, quand il s’obstine à mettre en parallèle chaque chorégraphie créée par Acosta avec un épisode, violent ou triste, de sa jeunesse. L’incompatibilité entre la réussite et le bonheur est plus finement traitée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le duo respecte les règles du genre, au risque de l’ennui. Les décors cubains et l’attention aux détails historiques rendent ce dernier tolérable, sans tout à fait l’en écarter.
La réalisatrice espagnole Icíar Bollaín (Même la pluie) signe là un biopic qui reste dans les clous du genre et dont le scénario de son époux Paul Laverty (habituel collaborateur de Ken Loach) n’évite pas quelques poncifs. Il régalera néanmoins les amateurs de danse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Une success story poignante d'humanité.
Femme Actuelle
Touchant, juste et inspirant.
Le Figaro
Carlos Acosta joue son rôle dans ce film emballant qui évoque sa trajectoire, des rues de La Havane aux Ballets de Londres.
Le Parisien
Cette histoire singulière est racontée à travers des scènes jouées, mais aussi de superbes séquences de danse avec Carlos Acosta dans son propre rôle. Le récit d'un amour contraint, raconté avec passion.
Le Point
Un film puissant et émouvant.
Marianne
Cette modeste pépite mérite d’être découverte.
Positif
[...] la réalisation d'Iciar Bollain est efficace, sérieuse et assez habile dans la gestion des trois périodes importantes de la vie du danseur étoile [...].
Rolling Stone
Chronique d’une vie menée au rythme d’un socialisme tremblotant, Yuli est tout aussi ambitieux que ses séquences de danses sont grandioses. Ode au courage, cette récit presque trop beau pour être vrai devrait ravir tant les amateurs de ballet que ceux d’histoire moderne. A ne pas rater !
CinemaTeaser
Inégal mais attachant et émaillé de superbes scènes de ballet.
Culturopoing.com
En dépit d'une mise en scène assez convenue et d'une bande-son parfois un peu larmoyante, "Yuli" échappe à la platitude du biopic par les longues séquences dansées qui viennent casser la logique chronologique et proposent une réinterprétation au présent du passé par la chorégraphie.
La Voix du Nord
De superbes séquences dansées.
Le Journal du Dimanche
La danse fait avancer l’action à la manière d’une comédie musicale et apporter son authenticité au film, qui ne sombre jamais dans le pathos tout en racontant avec sensibilité la difficulté de vivre à Cuba, mais également loin de chez soi.
Les Fiches du Cinéma
Dans l’ensemble trop peu surprenant, le film propose de beaux moments de danse.
Ouest France
Un biopic classique mais attachant.
Télérama
Du scénariste Paul Laverty (éternel partenaire de Ken Loach), on retrouve le didactisme qui frôle parfois la lourdeur, quand il s’obstine à mettre en parallèle chaque chorégraphie créée par Acosta avec un épisode, violent ou triste, de sa jeunesse. L’incompatibilité entre la réussite et le bonheur est plus finement traitée.
Le Monde
Le duo respecte les règles du genre, au risque de l’ennui. Les décors cubains et l’attention aux détails historiques rendent ce dernier tolérable, sans tout à fait l’en écarter.
Première
La réalisatrice espagnole Icíar Bollaín (Même la pluie) signe là un biopic qui reste dans les clous du genre et dont le scénario de son époux Paul Laverty (habituel collaborateur de Ken Loach) n’évite pas quelques poncifs. Il régalera néanmoins les amateurs de danse.