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FaRem
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2,5
Publiée le 1 décembre 2017
Depuis quelques mois, il y a beaucoup de films sur la paralysie du sommeil cependant pour le moment aucun réalisateur n'est parvenu à faire un film aussi effrayant que peut l'être cette situation ni à mettre en scène de sentiment d'impuissance face à l'horreur. Plus qu'un film sur ce trouble, "Slumber" est un film sur un démon appelé "Night Hag" qui ici se nourrit de sa victime pendant son sommeil. Pour y parvenir, ce dernier distrait les autres membres de la famille en les mettant face à leurs plus grandes angoisses. Pour ancrer son histoire dans la réalité surtout qu'elle est soi-disant inspirée de faits réels, le réalisateur s'intéresse au démon qui est connu dans le monde sous divers noms. Pour le reste, son histoire est très classique avec une spécialiste qui tente d'aider une famille avec ses problèmes. Le déroulement est sans surprise et vite redondant avec les mêmes scènes, sans que rien ne soit approfondi. Le démon n'est pas assez présent ce qui se ressent sur l'ambiance et donne l'impression que l'on voit un simple film de possession. C'est ce qui manque à ce film qui est correct et se laisse regarder seulement pour un film d'horreur, c'est loin d'être suffisant.
Sorti très discrètement chez nous en VOD, PARASOMNIE traite de la paralysie du sommeil. Bien qu'il développe quelques bonnes idées scénaristiques, il évoque surtout un James Wan sous somnifères, ce qui est, certes, raccord avec le thème mais au final assez décevant ! La critique est en ligne sur terreurvision.com.
" Slumber " n'est pas mauvais. Il possède une dimension Dramatique profonde et un Script plus que basé sur des faits réels. La première partie du film met en avant la problématique de la Parasomnie et du somnambulisme, le tout de manière réaliste, cadre médical oblige, et saupoudrée d'histoires de cas véridiques. En effets de nombreux cas de Somnambulismes ont eu des conséquences désastreuses comme en 2000, lorsqu'un jeune homme massacra ses parents de 150 coups de couteaux dans son sommeil. D'après ses témoignages , il aurait été sous l'emprise d'une voix mystérieuse.. Fantasme du sommeil éveillé , de nombreuses autres productions ont traitées du sujet mais toutes ne l'ont pas fait avec autant de retenue ni de maturité. Conjuguer la problématique de la Parasomnie avec celle de la possession est une excellente idée pour un déroulement scénaristique pertinent. D'autant plus que si vous tapez " Nocnista " sur votre moteur de recherche vous obtiendrez exactement la même page Wikipédia et Photos Google que présente le film lorsque le personnage de la Doctoresse fait ses recherches. Quoi de mieux pour une bonne immersion que de baser son film au plus proche des sources réelles. Même si le spectateur assiste à la descente au enfer d'une famille ( très bien interprétée au passage ) ,et ce durant une bonne partie du film, nuit après nuit, avec de belles idées de scènes angoissante, la réalisation ne décolle pas véritablement dans l'horreur et l'idée du Final me paraît bien trop expéditive. Le film ne dure que 1h25 mais aurait mérité 10 à 15 minutes supplémentaires pour faire le point sur le devenir de chaque personnage. Pour son premier long métrage Jonathan Hopkins livre une oeuvre respectable mais quelque peu légère . Il manque encore quelque chose mais le talent est là . Ne pas visionner tout en espérant sursauter comme devant un " Conjuring ", "Annabelle 2 " ou " Sinister ".. Les Jumpscares sont absents mais l'immersion bien présente.
Le film commence très bien, puis baisse considérablement en intensité au fur et a mesure. Ca reste au final un film pas trop mal, mais c'est dommage il était tellement bien parti.. Sans parler de la scène de rencontre avec le vieux fou, mon dieu que cette scène est honteusement mal réalisée... 2.5/5
Alors que Freddy Krueger est plongé dans un coma cinématographique depuis son remake calamiteux, "Slumber" avait sans doute une carte à jouer avec son démon du sommeil. Pas forcément de quoi prétendre à devenir un sommet du genre, bien entendu, mais le mode opératoire spécifique de ce nocnitsa, créature séculaire présente dans de nombreux folklores, appelait une mythologie bien particulière pouvant au moins rivaliser avec quelques contemporains du genre, comme une sorte de "Insidious" en mode cauchemardesque par exemple. On entrevoit d'ailleurs ce potentiel le temps de quelques séquences : la première nuit de somnambuleries improbables chez la famille subissant les assauts du démon, le procédé de diversion mis en place par ce prédateur (efficace et bien pensé mais on a quand même connu des démons plus discrets niveau tactique), l'idée pour le combattre (un peu bizarre que personne n'y ait pensé avant cependant)... Bref, il y a avait bel et bien la matière à faire un petit truc un peu plus fouillé qu'à l'accoutumée et susceptible de faire monter la jauge du trouillomètre. Sauf que non, "Slumber" passe complètement à côté de son sujet en n'osant jamais réellement abattre les atouts planqués dans sa manche ! En fait, le film préfère seulement nous les laisser entrevoir et éviter toutes éventuelles prises de risque en se reposant la plupart du temps sur les situations les plus éculées et autres facilités d'écriture du cinéma d'épouvante mainstream. On aura droit à peu près tout de ce côté : une héroïne reliée forcément à l'affaire par un trauma d'enfance, sa vie de famille totalement superficielle (sa relation avec sa fille semble uniquement basée sur des chifoumis), des personnages passant leur temps à dormir pendant la première partie du film pour faciliter les trucs bizarres, un vieux bonhomme qui sait tout sur tout sorti d'absolument nulle part, une dernière partie qui n'évite pas quelques situations gênantes (la "possession" vaut son pesant de cacahuètes)... "Slumber" rate complètement le coche en noyant tout ce qui aurait pu faire son originalité dans le moule standard d'une production d'épouvante lambda et faite à la va-vite. Même visuellement, le film n'a finalement pas grand chose à défendre (le nocnitsa est pourtant chouette mais très peu présent physiquement) et se révèle d'une banalité affigeante aussi sur ce plan. On peut comprendre sans mal ce qui a attiré Maggie Q (pas mauvaise au demeurant) dans cette histoire mais, vu le résultat, une sieste aurait été une bien meilleure occupation.
Je rêve ! ... Ho non, c'est un cauchemar. Voila ce que je me suis dis après ces une heure et demi de film que j'ai trouvé soporifique (pour un film sur le thème du sommeil, c'est normal). Peut-être est-ce juste un petit diablotin qui m'est monté sur le ventre ou bien c'est juste que ce film ne vaut vraiment pas le coup. Après ce n'est que mon avis, car je dois avouer que le film n'est pas si mal. C'est juste que je n'ai pas accroché du tout, peut-être à cause de la réalisation moyenne ou du mauvais tempo.
Assez long à se mettre et même si il joue sur l ambiance et cette fameuse entité. Je n aïs pas vraiment était convaincu avec plusieurs questions restant en suspens ou survolé. Une série B qui te'te d amener quelques chose. Entre autre la paralysie du sommeil mais ne développe pas tout ce qu il tente. Je suis resté sur ma faim.
Un petit film correcte, qui arrive a distillé une certaine atmosphère oppressante, malheureusement le manque de budget flagrant font que les acteurs ne sont pas tous a la hauteur et pas toujours juste, sans compter les quelques lacunes du scenario et sa fin bâclé et expédié. Rien de transcendant a l'horizon mais il y'a déjà eu pire dont certains ont bénéficier d'une sortie ciné.
Aussi drôle que cela puisse paraître, je me suis endormi devant ce film qui traite de la paralysie du sommeil. Du coup j'ai dû rembobiné pour le remettre dans le bain. C'est tout simplement mauvais. Les explications sont hyper lourdes, on finit par s'y perdre. Peu de frissons, frayeurs, ça manque de jumpscares de qualité. 2/5
Je trouve généralement les films d'horreur basés sur les cauchemars plutôt efficaces... En tout cas, ils fonctionnent sur moi car le sujet m'a toujours un peu inquiété. Ce doit être un vieux reste de mes terreurs nocturnes d'enfant... Donc, lorsque j'ai pris connaissance du scénario de « Slumber », je me suis dit que j'allais passer un vrai bon moment de cinéma. Les premières minutes m'ont d'ailleurs conforté dans cette impression avec quelques scènes délicieusement « frissonnantes ». Malheureusement, l'intrigue perd rapidement de sa consistance pour finir par déraper totalement en banale histoire d'esprits maléfiques, sans la moindre dimension onirique. Du coup, je me suis vraiment senti trahi par le réalisateur, Jonathan Hopkins (dont je n'avais jamais entendu parler auparavant). Je ne comprends pas comment on peut sortir de son chapeau une histoire aussi alléchante pour finalement la priver à ce point de tout son potentiel effrayant. Il y avait vraiment de quoi faire un excellent film, bien terrifiant comme on les aime. Malheureusement, il faut se contenter d'une petite série B, finalement sans grand intérêt. C'est vraiment dommage !
Un bon petit navet à classer dans cette catégorie de films, trop nombreux d'ailleurs, qui cherchent à vendre plutôt qu'à effrayer. Je n'ai jamais accroché car peu de moments sont effrayants ou frissonnants. Et copier des scènes(avec le lit) sur L'Exorciste, j'ai trouvé ça assez pathétique... Bref, regardez un bon vieux Insidious, ou Hérédité ou passez par le classique de Friedkin!
Avis Bref ; Bah voilà une belle surprise ! Pas déçu du coup d'œil. Un démon du cauchemar peut être omniprésent mais qui sera terrorisé ses victimes. Nos personnages serons effrayés mais aussi persévérants et optimistes, limite attachant en plus de cela !
Il y avait de l’idée pour ce premier film de Jonathan Hopkins qui traite des troubles graves du sommeil. Et d’ailleurs ça part plutôt bien avec une mise en place rapide et déjà du suspens mais ça part malheureusement immédiatement en vrille avec un scénario qui divague et un nombre incalculable d’incohérences. Ça devient de plus assez répétitif et certains personnages ne semblent pas du tout à leur place, on se prend d’ailleurs même à rire, ce n’est pourtant pas l’objet principal du métrage … On va au bout parce qu’il le faut bien pour écrire une critique complète mais le final ne fait pas grand sens non plus, M. Hopkins s’est définitivement sabordé sur son projet, voyons la suite s’il apprend de ses erreurs.
Un film plus angoissant qu'horrifique. Mais même si la tension est palpable, on est bien loin du grand frisson. Le scénario n'est passez travaillé, sans rebondissements, les effets rares et simplistes.