L'héroïque lande, la frontière brûle : Critique presse
L'héroïque lande, la frontière brûle
Note moyenne
3,9
12 titres de presse
Critikat.com
Transfuge
Bande à part
Cahiers du Cinéma
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Libération
Première
Télérama
Culturopoing.com
La Croix
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Critikat.com
par Corentin Lê
En se perdant dans ce lieu électrique et hors du temps, L’Héroïque Lande est lui-même devenu un film-Jungle. Lui-aussi en train de se faire lorsqu’on le découvre, lui-aussi en train de muter en permanence, lui-aussi habité par la nécessité du témoignage en dépit des attentes du monde extérieur, rendant chaque récit, chaque image, chaque son, essentiels et capitaux. Parce que tout mérite le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
par Damien Aubel
Chaque plan, sans perdre son réalisme, se convertit sans cesse en autre chose, en des images dont la logique obéit à des règles qu’on dira faute de mieux poétiques.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Nicolas Klotz et Elisabeth Perceval poursuivent inlassablement leur travail de l’ombre, voué à filmer un monde que l’on ne voit pas (ou que l’on ne veut pas voir) dans la société française.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le cinéma devient à son tour le lieu où tisser tous ces regards, gestes, échanges, entièrement requis par son immersion au sein d’une communauté éphémère qui s’invente sans lui, mais qu’il peut contribuer à rendre visible.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Nicolas Klotz signe un documentaire rare et précieux sur la « jungle ».
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Éprouvant et complexe, le résultat repousse admirablement les frontières entre documentaire et fiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
(...) une plongée enivrante et triste dans le camp de réfugiés de Calais à l’hiver 2016.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Michael Patin
Ce séjour dans l’hors-champs brasse en creux toutes les grandes questions de notre époque avant de nous laisser pantois, face à la mer comme une ultime frontière. Celle qui reste toujours à franchir, celle qui est en nous.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
De janvier 2016 à février 2017, avant, pendant et après le démantèlement du lieu, les deux cinéastes ont partagé le quotidien des migrants. Précarité, angoisses, espoirs et joies. Leur documentaire ambitieux, parfois éprouvant mais souvent splendide, régénère notre regard fatigué par tant de reportages misérabilistes dans les journaux télé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Œuvre précieuse entre toutes maintenant que "la Jungle" a disparu, "L'Héroïque Lande" nous invite à y revenir, à nous confronter à ce réel vertigineux qui est le monde à venir, à rendre visible l'expérience sur le terrain d'un héroïsme au quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Marion Mayer
L’Héroïque Lande oscille entre documentaire authentique et esthétisme à outrance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le long processus d’immersion, les séquences nocturnes (...), les scènes de vie quotidienne (...), la polyphonie des langues et des ethnies, l’étrangeté de cette “ville-monde” (...) tout cela finit par produire autre chose, qui est tout simplement du cinéma qui confine à l’hallucinatoire, comme un film de Wang Bing revu par Jacques Tourneur.
Critikat.com
En se perdant dans ce lieu électrique et hors du temps, L’Héroïque Lande est lui-même devenu un film-Jungle. Lui-aussi en train de se faire lorsqu’on le découvre, lui-aussi en train de muter en permanence, lui-aussi habité par la nécessité du témoignage en dépit des attentes du monde extérieur, rendant chaque récit, chaque image, chaque son, essentiels et capitaux. Parce que tout mérite le cinéma.
Transfuge
Chaque plan, sans perdre son réalisme, se convertit sans cesse en autre chose, en des images dont la logique obéit à des règles qu’on dira faute de mieux poétiques.
Bande à part
Nicolas Klotz et Elisabeth Perceval poursuivent inlassablement leur travail de l’ombre, voué à filmer un monde que l’on ne voit pas (ou que l’on ne veut pas voir) dans la société française.
Cahiers du Cinéma
Le cinéma devient à son tour le lieu où tisser tous ces regards, gestes, échanges, entièrement requis par son immersion au sein d’une communauté éphémère qui s’invente sans lui, mais qu’il peut contribuer à rendre visible.
Le Monde
Nicolas Klotz signe un documentaire rare et précieux sur la « jungle ».
Les Fiches du Cinéma
Éprouvant et complexe, le résultat repousse admirablement les frontières entre documentaire et fiction.
Libération
(...) une plongée enivrante et triste dans le camp de réfugiés de Calais à l’hiver 2016.
Première
Ce séjour dans l’hors-champs brasse en creux toutes les grandes questions de notre époque avant de nous laisser pantois, face à la mer comme une ultime frontière. Celle qui reste toujours à franchir, celle qui est en nous.
Télérama
De janvier 2016 à février 2017, avant, pendant et après le démantèlement du lieu, les deux cinéastes ont partagé le quotidien des migrants. Précarité, angoisses, espoirs et joies. Leur documentaire ambitieux, parfois éprouvant mais souvent splendide, régénère notre regard fatigué par tant de reportages misérabilistes dans les journaux télé.
Culturopoing.com
Œuvre précieuse entre toutes maintenant que "la Jungle" a disparu, "L'Héroïque Lande" nous invite à y revenir, à nous confronter à ce réel vertigineux qui est le monde à venir, à rendre visible l'expérience sur le terrain d'un héroïsme au quotidien.
La Croix
L’Héroïque Lande oscille entre documentaire authentique et esthétisme à outrance.
Les Inrockuptibles
Le long processus d’immersion, les séquences nocturnes (...), les scènes de vie quotidienne (...), la polyphonie des langues et des ethnies, l’étrangeté de cette “ville-monde” (...) tout cela finit par produire autre chose, qui est tout simplement du cinéma qui confine à l’hallucinatoire, comme un film de Wang Bing revu par Jacques Tourneur.