La Fête des mères
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92 critiques spectateurs

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Ufuk K
Ufuk K

539 abonnés 1 511 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 25 mai 2018
" la fête des mères " est une comédie dramatique touchante. En effet je fus touche devant ces portraits de femme qui ont toutes des difficultés féminine avec des personnages attachants, drôle et émouvants.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 25 mai 2018
Trop de caricatures (la fête des mères serait un cauchemar, la suppression du cadeau de la fête des mères à l'école révolterait les mamans...) et je n'ai pas trouvé le jeux des actrices très crédibles surtout la présidente quand elle donne une interview le 27 mai... beaucoup trop de pathos à mon goût.
Blanche G.
Blanche G.

8 abonnés 54 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 25 mai 2018
un film qui aurait pu être sympa est complètement loupé. les dialogues sont cousu de fil blanc. le montage n’est pas bon il n’y a aucun suivi dans les scènes. c’est surjoué bref ! c’est loupé. les « pauvres » mères ne sont pas toujours bien représentées mais on y tient.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 25 mai 2018
Je suis allée voir ce film avec mes deux enfants. C'est un film pour tout âge. Nous avons bien rit et il parle de la personne la plus importante au monde - une maman. Une personne que nous prenons certainement tous un peu à la légère et une rôle plus difficile qu'on le croit. J'irais certainement le voir une deuxième fois.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 24 mai 2018
Trop de saut de personnages, avec une certaines difficultés de savoir qui est qui, ce qui est dommage car ce film développe une vrai émotion
ffred
ffred

1 768 abonnés 4 043 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 24 mai 2018
Après les beaux Les héritiers et Le ciel attendra, Marie-Castille Mention-Schaar s’essaie au film chorale pour célébrer les mères. Rares sont les films du genre réussis. Celui-ci n’est pas vraiment raté, pas vraiment un chef d’œuvre non plus. Certes, le casting est étincelant, on sait que ce n’est pas une garantie de succès et/ou de qualité. La fête des mères est surtout très inégal. Une succession de scènes sans vraiment de fil conducteur où trop de récits et de personnages se croisent. Comme souvent, on a donc pas le temps de s’attacher aux personnages. L’émotion ne surgit que très rarement : chez la présidente de la république (Audrey Fleurot très bien) ou chez la mère et ses trois filles (Marie-Christine Barrault, Clotilde Courau, Pascale Arbillot, Olivia Côte, toutes les quatre très biens). Les autres actrices et acteurs s'en sortent tous honorablement aussi sans que personne ne sorte vraiment du lot. Reste quelques jolis moments, mélancoliques ou nostalgiques, d’autres beaucoup moins intéressants, d’autres inutiles. Au final, un film trop inégal pour vraiment toucher profondément et emporter le morceau mais qui se laisse regarder sans déplaisir.
Elisabeth G.
Elisabeth G.

188 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 mai 2018
Une comédie dramatique inégale mais globalement réussie sur la maternité. Dommage que le final ne soit pas à la hauteur.
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
dominique P.
dominique P.

855 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 23 mai 2018
C'est un film sensible, intéressant, qui ne peut que remuer tout un chacun sur sa propre histoire : la relation à sa propre mère, la relation à ses enfants si on en a.
Aussi, le film est relativement triste dans l'ensemble.
J'ai bien aimé mais cela manque de rythme, de punch, de gaité.
titicaca120
titicaca120

397 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 mai 2018
plusieurs magnifiques portraits de femmes de tout âge jeune âgée ou en pleine
maturité.
leurs destins leurs erreurs leurs espoirs.
Olivia Côte est absolument remarquable et m'a beaucoup plu.
et le plaisir toujours intact de retrouver Carmen Maura une actrice indémodable.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 23 mai 2018
Oui, perdre sa maman et devenir soi même mère sont des bouleversements gigantesques dans la vie d'une femme. Merci pour ce tableau réaliste et plein d'émotions.
framboise32
framboise32

161 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 23 mai 2018
Je suis passée complètement à coté de ce film.  Je me suis ennuyée. La réalisatrice essaie de nous tirer à tout prix  les larmes. Et perso, ça ne m'a déclenchée aucune émotion si ce n'est de l'ennui. Après l'interaction des personnages est poussée à l'extrême . J'aurais préféré un film à sketches. Ca aurait été plus crédible.

La seule histoire plutôt bien racontée est celle de la femme  (présidente de la République) qui ne se sent pas mère tout de suite.

Et pourtant il y a un casting de choix, entre   Audrey Fleurot, Clotilde Courau,  Carmen Maura, Nicole Garcia ou encore Marie christine Barrault. Gustave Kerven en mari et père attentionné est parfait !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 8 mai 2018
Film très émouvant et qui apporte beaucoup d'émotions. Ce film reflète beaucoup la réalité. À voir entre mère et filld
bug bunny
bug bunny

43 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 27 avril 2018
Un film surprenant de différent mère de relation avec leur enfants possessif distant et vive versa mais aussi le sens de la fête des de nos jours avec la réalité de nos fetes de mère ou non
Jorik V
Jorik V

1 295 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 25 avril 2018
Marie-Castille Mention-Schaar continue avec une régularité de métronome à enchaîner mauvais et bons films. « La Fête des mères » fait clairement partie de la seconde catégorie. Son film choral a certainement dû être inspiré par le « Joyeuse Fête des mères » américain qui réunissait un nombre impressionnant de stars américaines pour célébrer ce jour universel à travers une mosaïque de personnages qui se croisaient par le biais de cette thématique. Ce film plutôt sympathique versait davantage vers l’humour et dégoulinait de bons sentiments un peu fleur bleue. Ici la cinéaste préfère clairement un certain réalisme empreint de mélancolie doublé d’une pudeur dans l’émotion avec quelques notes d’humour discrètes. Et si elle parvient à aligner un beau casting, ce sont moins des stars que de bons acteurs habitués aux seconds rôles qui s’affichent ici et c’est tant mieux.

On pourra peut-être reprocher à l’histoire d’aligner un peu trop de personnages sur une heure et demie ce qui empêche forcément d’en creuser certaines qui attirent plus notre attention. Le traitement des protagonistes n’est pas forcément égal, certains parcours nous passionnent plus que d’autres et les histoires semblent parfois se croiser de manière un peu trop accessoire voire forcée, mais c’est un peu le jeu dans ce type de films chorals. Il n’empêche, si le début du film rame un peu le temps de bien rentrer dans ce mille-feuilles sur les mamans et la maternité en général, plus le film avance et plus on est conquis. Le sujet est traité sous toutes les coutures entre la mère absente, la mère aimante, le fils omniprésent ou encore la maternité homoparentale, et si on peut avoir l’impression parfois que c’est survolé et que ce n’est pas un catalogue exhaustif du rapport mère-enfants, tout cela est traité d’une jolie façon. On a même droit à l’historique de cette fête grâce à l’un des personnages dans un exposé instructif et bien intégré à l’histoire.

Et ce qu’on apprécie également de manière plus surprenante c’est la mise en scène très soignée de Mention-Schaar. Elle aurait pu délaisser la forme et nous proposer un film qui ne s’intéresse qu’à ses personnages. Mais non, les images sont belles, la caméra est au plus près des émotions des protagonistes et les beaux plans s’enchainent de manière étonnante. La cinéaste développe un vrai style avec une photographie dans les gris/bleu, une caméra qui virevolte autour des personnages et une utilisation du flou et du travelling totalement appropriée. Un niveau d’excellence qu’on n’attendait pas dans un film comme celui-ci. Et puis il y a quelques magnifiques scènes, notamment avec le personnage de Laurence Côte. Le plus beau de tous et peut-être le plus mis en avant. On ne peut tous les citer mais le scénario propose un ensemble de personnages forts et beaux. Même d’autres moins mis en avant comme cette prostituée asiatique parviennent à nous cueillir. Et le très beau final, poétique et aérien, finit de nous convaincre que « La Fête des mères » était le film qu’il fallait pour célébrer chez nous nos mamans entre émotion et sincérité. Comme une synthèse illustrée du bonheur d’être maman.

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eduboisgeoffroy
eduboisgeoffroy

56 abonnés 99 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 25 avril 2018
Première Avant-première d'un beau film choral de mères, de femmes, de filles, où on retrouve l’esprit d’un Claude Sautet. Est-ce la présence de Nicole Garcia dans le film "Garçon !" de 1983 et dans celui de Marie-Castille Mention-Schaar ? Dans le film de Claude Sautet où l'histoire se focalisait sur un univers d’hommes, ce film choral de personnages de mères est un univers presque exclusivement de femmes. Les rares hommes qui le traversent sont des « hommes-mères », comme ce personnage de fils-poule interprété par Vincent Dedienne qui couve à l’étouffer sa mère, interprétée par l’excellente Nicole Garcia. Nicole Garcia à qui l’on doit l’une des scènes très drôle du film, celle où elle demande à son voisin d’ôter sa chemise avant d’aller ouvrir la porte de son appartement à son fils, qui à la vue de cet homme à moitié nu, s’enfuit en courant, laissant à sa mère, quelques instants de répits !
Le casting est excellent, chaque comédienne trouve le ton juste. Audrey Fleurot dans un rôle difficile de femme Présidente de la République, arrive à rendre crédible cette femme, jeune mère dans l’exercice de ses fonctions présidentielles, avec à ses côtés le comédien Gustave Kervern dans le rôle du mari de la Présidente, comédien que Marie-Castille Mention-Schaar a choisi un peu à contre-emploi de ses rôles habituels, souhaitant « que Gustave Kervern costumé pour la première fois en smoking, puisse donner un autre visage que celui qu’on lui connait au cinéma, (…) je le trouve très bel homme (…), quand il s’est regardé dans la glace, il n’a pu réprimé un « ouah » admiratif ! ». On pense tout de suite au couple Hollande-Royal si Ségolène Royal avait été élue en 2007. Mention spéciale aux trois comédiennes interprétant les trois filles de la mère interprétée par Marie-Christine Barrault, Clotilde Courau, Olivia Côte et Pascale Arbillot, chacune représentant les archétypes de la relation d’une fille à une mère distante, sans affection apparente pour ses enfants, celui de la fille qui calque sa vie sur celle de sa mère, celui de la fille qui joue une partition à l’opposée de celle de sa mère refusant la maternité et celui de la fille qui emprunte une troisième voie, ne pouvant avoir d’enfants, celle de l’adoption. Ces quatre comédiennes offrent une très belle scène à la fin du film, magnifiquement mise en scène par Marie-Castille Mention-Schaar, une scène toute en silence, en regards, chaque fille s’effaçant progressivement pour laisser partir leur mère vers un ailleurs, un film sur la transmission mère/enfant, sur la mort et le temps qui passe. A retenir cette citation sous forme d’épitaphe relevé sur une tombe par un des personnages « Vous dites beaucoup de bien de moi maintenant que je suis morte, dommage, je ne peux vous entendre ».
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