Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Michel Cieutat
Honteusement absent du palmarès cannois, "Le Traître" de Marco Bellocchio est pourtant l’un des meilleurs films de l’auteur des "Poings dans les poches", "Viol en première page", "Vincere"…, mais aussi de l’année 2019.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Portrait sanglant et saignant du plus célèbre repenti de l’Italie, Tommaso Buscetta. Une histoire réelle restituée avec force au cinéma, sur la pègre et les hommes de l’antimafia.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Dans le rôle du repenti, l'excellent Pierfrancesco Favino qui, loin de se contenter d'habiter son personnage de manière honnête, le transcende. Magistral.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Marco Bellocchio signe une œuvre magistrale sur la mafia sicilienne.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Dans Le Traître, le cinéaste italien signe un portrait captivant de mafioso "repenti".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La Rédaction
Magistral.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Le génie de cette fresque d’une ambition herculéenne réside dans la puissance quasi- mystique qu’investit le regard de Bellocchio sur l’histoire de son pays - un regard à la fois transcendantal et trivial, qui a le courage d’aller au-delà pour chercher l’étincelle de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Marco Bellocchio signe une fresque magistrale sur la décomposition d’un monde sans valeurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Or, ce que nous offre "Le Traître", c’est une plongée intime dans la touffeur des pensées de Buscetta. Comme pour les menottes, la vérité ne se situe pas dans une hypothétique exactitude policière, judiciaire ou journalistique ; elle éclate au contraire dans la liberté formelle sidérante avec laquelle le cinéaste et son comédien Pierfrancesco Favino s’approprient l’intériorité du gangster.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Avec "Le Traître", Marco Bellocchio brosse le portrait fascinant et complexe d’un ancien mafieux.
Télé Loisirs
par C.P.
Poignant et captivant.
Télérama
par Mathilde Blottière
Avec sa biographie épurée et précise de l’un des premiers repentis de Cosa nostra, le cinéaste italien réussit son film sur la Mafia. Sans en entretenir le mythe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
A 79 ans,l’Italien n’a rien perdu de sa virtuosité. Une scène d’attentat, filmée de l’intérieur de la voiture des victimes, peut notamment être considérée comme l’un des moments de cinéma les plus forts de cette année.
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Le Traître, bien plus qu’un énième film de mafia, vaut pour son étude cinglante de la circulation et de la concentration des regards ainsi que de la confrontation des paroles qu’il met en œuvre avec une rare précision, dans un contexte contemporain où le dire vrai, tout autant que le fait de regarder en face, semblent avoir perdu toute valeur.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Peut-être que « Le Traître » apparaîtra légèrement outrancier avec ses postiches et ses maquillages voyants, volontairement kitsch. Il en tire néanmoins grâce et efficacité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Refusant d’enfermer son long-métrage dans un seul registre, ou le cantonner à une simple relecture de celui-ci, le cinéaste se plaît à jouer avec les ruptures de tons, en donner plusieurs couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
"Le Traître" est un film beau, puissant. Et haletant. Mais sa facture reste très classique, avec une photographie soignée et ce qu’il faut de lyrisme, comme Bellocchio sait si bien le faire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Oeuvre politique teintée de lyrisme, "Le Traître" aurait pu appartenir à la vague de films italiens engagés des années 1970.
L'Humanité
par Génika Baczynski
Le cinéaste abat l’enchantement et choisit le tragique intérieur de l’adulte. Il dépeint la figure désenchantée d’un homme dont la fidélité absolue faillit face à la fin d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Une fois n’est pas coutume, Bellocchio arpente un territoire balisé, épuisé même, par le cinéma : le film de mafia. Mais il l’investit avec un souci du réalisme, une attention aux faits et à la psyché humaine et un sens psychanalytique de l’ellipse qui inscrivent sa fresque parmi les œuvres indispensables sur le sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un grand film lyrique sur la trahison, impressionnant de maîtrise et de virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Tout l'enjeu de sa mise en scène est de trouver dans les séquences de prétoire un lyrisme tragique et burlesque, quelque part entre opera seria et commedia dell'arte. C'est incisif et saignant sans que se profile l'ombre d'une empathie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Mais, comme toujours chez le cinéaste, la sécheresse de la réalité prend toute sa force dans l’amplification fantasmatique qu’il lui donne.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Marco Bellochio signe une fresque fascinante, entre film de mafia, enquête judiciaire et saga humaine.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Voilà qui suffit à faire de Tommaso Buscetta un magnifique personnage de tragédie, et à offrir à son interprète, Pierfrancesco Favino (50 ans), jamais aussi attachant que chez Bellocchio, l’occasion d’une prestation pleine de conviction et de grâce.
Le Parisien
par La Rédaction
À coups de séquences ultra-violentes, de scènes baroques de procès gigantesques et de quelques touches oniriques, Le Traître montre cet homme qui a tranché entre sa famille et ses valeurs… Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
[Les scènes de procès et de famille] constituent comme les deux faces de cet extraordinaire portrait : celui d’un Traître, à la fois héros épique, personnage opaque et, finalement, homme banal. Un portrait qui est aussi un film majeur de plus dans la carrière de Marco Bellocchio, sans doute le plus sous-estimé des grands cinéastes italiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est captivant. Et le comédien Pierfrancesco Favino est remarquable.
Paris Match
par Yannick Vely
Aucun film n’avait cependant détaillé de façon aussi réaliste l’organisation criminelle que "Le Traître" de Marco Bellocchio, oeuvre d’une ambition folle qui revient sur la Deuxième Guerre de la mafia et l'exécution des familles siciliennes concurrentes au clan des Corleonesi guidé par Toto Riina.
Première
par Thomas Baurez
Bellocchio manie aussi l’ellipse à la perfection et face à ce déchaînement d’action parvient à rester au plus près de l’intimité de son personnage, dont on pressent le lent délitement intérieur. Intense.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Interprété par Pierfrancesco Favino, qui donne puissance et ambivalence au personnage, Buscetta incarne la fin d’un monde. Bellocchio en fait une figure à part, opaque, complexe, passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Ce moins une plongée dans la mafia que le portrait, tout en clair-obscur, d'un salaud, aussi complexe qu'attachant, que nous propose Bellocchio.
Voici
par A.V.
Une fresque puissante.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Ici tour à tour exégète et fossoyeur des Coppola et Visconti, Marco Bellocchio signe un film de gangsters sinueux. Une œuvre radicale refusant, non sans curieusement les célébrer, de se conformer aux standards. Virtuose et aride à la fois, cette anti-épopée éblouit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Si les grands moments attendus du film de mafieux déçoivent un peu, c’est que l’intérêt se porte ailleurs, sur deux mouvements qui se rencontrent dans les meilleures scènes : d'un côté la mise en spectacle, de l'autre la confrontation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Honteusement absent du palmarès cannois, "Le Traître" de Marco Bellocchio est pourtant l’un des meilleurs films de l’auteur des "Poings dans les poches", "Viol en première page", "Vincere"…, mais aussi de l’année 2019.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Portrait sanglant et saignant du plus célèbre repenti de l’Italie, Tommaso Buscetta. Une histoire réelle restituée avec force au cinéma, sur la pègre et les hommes de l’antimafia.
Elle
Dans le rôle du repenti, l'excellent Pierfrancesco Favino qui, loin de se contenter d'habiter son personnage de manière honnête, le transcende. Magistral.
La Voix du Nord
Marco Bellocchio signe une œuvre magistrale sur la mafia sicilienne.
Le Figaro
Dans Le Traître, le cinéaste italien signe un portrait captivant de mafioso "repenti".
Le Point
Magistral.
Les Fiches du Cinéma
Le génie de cette fresque d’une ambition herculéenne réside dans la puissance quasi- mystique qu’investit le regard de Bellocchio sur l’histoire de son pays - un regard à la fois transcendantal et trivial, qui a le courage d’aller au-delà pour chercher l’étincelle de vérité.
Libération
Marco Bellocchio signe une fresque magistrale sur la décomposition d’un monde sans valeurs.
Positif
Or, ce que nous offre "Le Traître", c’est une plongée intime dans la touffeur des pensées de Buscetta. Comme pour les menottes, la vérité ne se situe pas dans une hypothétique exactitude policière, judiciaire ou journalistique ; elle éclate au contraire dans la liberté formelle sidérante avec laquelle le cinéaste et son comédien Pierfrancesco Favino s’approprient l’intériorité du gangster.
Transfuge
Avec "Le Traître", Marco Bellocchio brosse le portrait fascinant et complexe d’un ancien mafieux.
Télé Loisirs
Poignant et captivant.
Télérama
Avec sa biographie épurée et précise de l’un des premiers repentis de Cosa nostra, le cinéaste italien réussit son film sur la Mafia. Sans en entretenir le mythe.
20 Minutes
A 79 ans,l’Italien n’a rien perdu de sa virtuosité. Une scène d’attentat, filmée de l’intérieur de la voiture des victimes, peut notamment être considérée comme l’un des moments de cinéma les plus forts de cette année.
Cahiers du Cinéma
Le Traître, bien plus qu’un énième film de mafia, vaut pour son étude cinglante de la circulation et de la concentration des regards ainsi que de la confrontation des paroles qu’il met en œuvre avec une rare précision, dans un contexte contemporain où le dire vrai, tout autant que le fait de regarder en face, semblent avoir perdu toute valeur.
CinemaTeaser
Peut-être que « Le Traître » apparaîtra légèrement outrancier avec ses postiches et ses maquillages voyants, volontairement kitsch. Il en tire néanmoins grâce et efficacité.
Culturopoing.com
Refusant d’enfermer son long-métrage dans un seul registre, ou le cantonner à une simple relecture de celui-ci, le cinéaste se plaît à jouer avec les ruptures de tons, en donner plusieurs couleurs.
Franceinfo Culture
"Le Traître" est un film beau, puissant. Et haletant. Mais sa facture reste très classique, avec une photographie soignée et ce qu’il faut de lyrisme, comme Bellocchio sait si bien le faire.
L'Express
Oeuvre politique teintée de lyrisme, "Le Traître" aurait pu appartenir à la vague de films italiens engagés des années 1970.
L'Humanité
Le cinéaste abat l’enchantement et choisit le tragique intérieur de l’adulte. Il dépeint la figure désenchantée d’un homme dont la fidélité absolue faillit face à la fin d’une époque.
L'Obs
Une fois n’est pas coutume, Bellocchio arpente un territoire balisé, épuisé même, par le cinéma : le film de mafia. Mais il l’investit avec un souci du réalisme, une attention aux faits et à la psyché humaine et un sens psychanalytique de l’ellipse qui inscrivent sa fresque parmi les œuvres indispensables sur le sujet.
La Croix
Un grand film lyrique sur la trahison, impressionnant de maîtrise et de virtuosité.
La Septième Obsession
Tout l'enjeu de sa mise en scène est de trouver dans les séquences de prétoire un lyrisme tragique et burlesque, quelque part entre opera seria et commedia dell'arte. C'est incisif et saignant sans que se profile l'ombre d'une empathie.
Le Dauphiné Libéré
Mais, comme toujours chez le cinéaste, la sécheresse de la réalité prend toute sa force dans l’amplification fantasmatique qu’il lui donne.
Le Journal du Dimanche
Marco Bellochio signe une fresque fascinante, entre film de mafia, enquête judiciaire et saga humaine.
Le Monde
Voilà qui suffit à faire de Tommaso Buscetta un magnifique personnage de tragédie, et à offrir à son interprète, Pierfrancesco Favino (50 ans), jamais aussi attachant que chez Bellocchio, l’occasion d’une prestation pleine de conviction et de grâce.
Le Parisien
À coups de séquences ultra-violentes, de scènes baroques de procès gigantesques et de quelques touches oniriques, Le Traître montre cet homme qui a tranché entre sa famille et ses valeurs… Fascinant.
Les Inrockuptibles
[Les scènes de procès et de famille] constituent comme les deux faces de cet extraordinaire portrait : celui d’un Traître, à la fois héros épique, personnage opaque et, finalement, homme banal. Un portrait qui est aussi un film majeur de plus dans la carrière de Marco Bellocchio, sans doute le plus sous-estimé des grands cinéastes italiens.
Ouest France
C'est captivant. Et le comédien Pierfrancesco Favino est remarquable.
Paris Match
Aucun film n’avait cependant détaillé de façon aussi réaliste l’organisation criminelle que "Le Traître" de Marco Bellocchio, oeuvre d’une ambition folle qui revient sur la Deuxième Guerre de la mafia et l'exécution des familles siciliennes concurrentes au clan des Corleonesi guidé par Toto Riina.
Première
Bellocchio manie aussi l’ellipse à la perfection et face à ce déchaînement d’action parvient à rester au plus près de l’intimité de son personnage, dont on pressent le lent délitement intérieur. Intense.
Sud Ouest
Interprété par Pierfrancesco Favino, qui donne puissance et ambivalence au personnage, Buscetta incarne la fin d’un monde. Bellocchio en fait une figure à part, opaque, complexe, passionnante.
Télé 7 Jours
Ce moins une plongée dans la mafia que le portrait, tout en clair-obscur, d'un salaud, aussi complexe qu'attachant, que nous propose Bellocchio.
Voici
Une fresque puissante.
aVoir-aLire.com
Ici tour à tour exégète et fossoyeur des Coppola et Visconti, Marco Bellocchio signe un film de gangsters sinueux. Une œuvre radicale refusant, non sans curieusement les célébrer, de se conformer aux standards. Virtuose et aride à la fois, cette anti-épopée éblouit.
Critikat.com
Si les grands moments attendus du film de mafieux déçoivent un peu, c’est que l’intérêt se porte ailleurs, sur deux mouvements qui se rencontrent dans les meilleures scènes : d'un côté la mise en spectacle, de l'autre la confrontation.