Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Pablo Agüero, sur le socle d’un scénario de l’oppression des femmes remarquablement écrit, offre des personnages d’une grande force, tournant autour de jeunes actrices magnifiques.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Multiprimé en Espagne, ce film intense illustre les ravages d'un patriarcat tout-puissant, tel qu'il existe encore ici et là.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il y a, dans Les Sorcières d’Akelarre du réalisateur Pablo Agüero, une vision picturale qui fait songer à ce tableau de Goya, nommé en français Le Sabbat des sorcières : une semblable esthétique du terrible sublime.
Le Parisien
par La Rédaction
« Les hommes ont peur des femmes qui n’ont pas peur », dit l’une des protagonistes, ce qui résume parfaitement un long-métrage aussi puissant qu’original, au final hypnotisant et époustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un réquisitoire puissant contre l’obscurantisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Le film, comme tout conte, est d’un volontarisme édifiant, mais ne perd pas la bataille du romanesque pour autant, c’est là son intéressante réussite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Un récit sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Historique et convaincant, Les Sorcières d'Akelarre touche par sa parabole pertinente des temps présents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le scénario tire à la ligne, mais la flamboyance baroque de la mise en scène fascine de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec la reprise de la figure de la sorcière par les mouvements féministes, Pablo Agüero signe un film historique particulièrement en résonance avec notre époque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par B.P.
Le verbe est finalement leur seule sorcellerie. Grâce à lui, elles mettent le doigt sur la faille de ces inquisiteurs : s'ils voient la queue du diable partout, c'est qu'ils rêvent de la trouver. Leur obsession révèle une curiosité perverse, qui s'accompagne d'une sévère misogynie. Montrer cela est la grande force de ce film malheureusement trop brouillon par endroits.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marie Claire
par Emily Barnett
Restent la belle imagerie baroque des falaises et un sens acéré du montage.
Paris Match
par Yannick Vely
Bien sûr, le scénario est prévisible, un peu trop peut-être, mais sa mise en scène inspirée et le jeu tout en nuances de la révélation Amaia Aberasturi parviennent à provoquer une vraie émotion pour le sort de ces jeunes femmes (in)soumises au désir des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
L’ensemble ressemble à un happening récité, chanté et chorégraphié, davantage pour le théâtre ou pour le live que pour l’écran.
Première
par Thierry Chèze
Servi par une mise en scène nerveuse et un montage vif, Les Sorcières d’Akelarre est mû par cette idée que ce qu’ont vécu ses héroïnes hier est ce que subissent de nos jours d’autres femmes, premières victimes des pouvoirs autoritaires imposés par des extrémistes religieux. Un parallèle d’autant plus puissant qu’il n’est jamais appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Sans tomber dans un optimisme chimérique, le cinéaste évoque l’intelligence collective déployée par ces femmes et la façon dont elles on su faire de leur corps une arme, comme tant d’autres à travers l’histoire.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Se dessine progressivement une dichotomie entre scène et coulisse, salle d'interrogatoire et cachot, que le film ne parvient pas tout à fait à rendre convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Plus qu'une superstition d'époque, le film met en scène la fantasmatique d'un pouvoir qui fonctionne en inventant ses propres coupables et la résistance des prévenues comme une résistance punk proto-féministe. Malheureusement, ces pistes sont trop fléchées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pablo Agüero, sur le socle d’un scénario de l’oppression des femmes remarquablement écrit, offre des personnages d’une grande force, tournant autour de jeunes actrices magnifiques.
Femme Actuelle
Multiprimé en Espagne, ce film intense illustre les ravages d'un patriarcat tout-puissant, tel qu'il existe encore ici et là.
Le Dauphiné Libéré
Il y a, dans Les Sorcières d’Akelarre du réalisateur Pablo Agüero, une vision picturale qui fait songer à ce tableau de Goya, nommé en français Le Sabbat des sorcières : une semblable esthétique du terrible sublime.
Le Parisien
« Les hommes ont peur des femmes qui n’ont pas peur », dit l’une des protagonistes, ce qui résume parfaitement un long-métrage aussi puissant qu’original, au final hypnotisant et époustouflant.
Les Fiches du Cinéma
Un réquisitoire puissant contre l’obscurantisme.
Libération
Le film, comme tout conte, est d’un volontarisme édifiant, mais ne perd pas la bataille du romanesque pour autant, c’est là son intéressante réussite.
Télérama
Un récit sidérant.
Franceinfo Culture
Historique et convaincant, Les Sorcières d'Akelarre touche par sa parabole pertinente des temps présents.
L'Obs
Le scénario tire à la ligne, mais la flamboyance baroque de la mise en scène fascine de bout en bout.
La Croix
Avec la reprise de la figure de la sorcière par les mouvements féministes, Pablo Agüero signe un film historique particulièrement en résonance avec notre époque.
Le Figaro
Le verbe est finalement leur seule sorcellerie. Grâce à lui, elles mettent le doigt sur la faille de ces inquisiteurs : s'ils voient la queue du diable partout, c'est qu'ils rêvent de la trouver. Leur obsession révèle une curiosité perverse, qui s'accompagne d'une sévère misogynie. Montrer cela est la grande force de ce film malheureusement trop brouillon par endroits.
Marie Claire
Restent la belle imagerie baroque des falaises et un sens acéré du montage.
Paris Match
Bien sûr, le scénario est prévisible, un peu trop peut-être, mais sa mise en scène inspirée et le jeu tout en nuances de la révélation Amaia Aberasturi parviennent à provoquer une vraie émotion pour le sort de ces jeunes femmes (in)soumises au désir des hommes.
Positif
L’ensemble ressemble à un happening récité, chanté et chorégraphié, davantage pour le théâtre ou pour le live que pour l’écran.
Première
Servi par une mise en scène nerveuse et un montage vif, Les Sorcières d’Akelarre est mû par cette idée que ce qu’ont vécu ses héroïnes hier est ce que subissent de nos jours d’autres femmes, premières victimes des pouvoirs autoritaires imposés par des extrémistes religieux. Un parallèle d’autant plus puissant qu’il n’est jamais appuyé.
Cahiers du Cinéma
Sans tomber dans un optimisme chimérique, le cinéaste évoque l’intelligence collective déployée par ces femmes et la façon dont elles on su faire de leur corps une arme, comme tant d’autres à travers l’histoire.
Critikat.com
Se dessine progressivement une dichotomie entre scène et coulisse, salle d'interrogatoire et cachot, que le film ne parvient pas tout à fait à rendre convaincante.
Le Monde
Plus qu'une superstition d'époque, le film met en scène la fantasmatique d'un pouvoir qui fonctionne en inventant ses propres coupables et la résistance des prévenues comme une résistance punk proto-féministe. Malheureusement, ces pistes sont trop fléchées.