Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Film pessimiste, peut-être un peu trop didactique pour ne pas en braquer certains [...], La Leçon d'allemand reste le constat implacable, plein de rigueur et de rugosité, du piège de la violence dans lequel s'enferre une humanité qui n'apprendra jamais de ses erreurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Michaël Melinard
La Leçon d’allemand, cinquième long métrage de Christian Schwochow, envisage l’après-guerre non pas comme une rupture mais comme la continuité d’une politique répressive à l’égard de la jeunesse... Le film, d’une grande beauté formelle, interroge l’importance de nos choix individuels dans un environnement dictatorial.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Christian Schwochow transforme ce drame froid en brillante analyse de la manipulation et de l’autorité. Et l’image, signée du chef opérateur Frank Lamm, est d’une rare beauté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Mais au-delà de cette ampleur visuelle, La Leçon d’allemand se donne comme un vibrant réquisitoire contre l’obéissance aveugle, ainsi qu’une profonde méditation sur la culpabilité du peuple allemand endoctriné par le régime nazi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le réalisateur maintient la tension du début à la fin et les acteurs jouent avec une intensité remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Louise Dumas
Le réalisateur épure ainsi le film d’époque du kitsch des reconstitutions, pour mettre en valeur un questionnement intemporel sur la responsabilité individuelle et sur le point de rupture entre légalité et moralité.
La Croix
par Céline Rouden
Adaptation du célèbre roman de Siegfried Lenz, ce film âpre et corseté sur les cicatrices laissées par la Seconde Guerre mondiale chez les Allemands parvient néanmoins à en restituer toute la portée symbolique et la beauté visuelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Des qualités formelles, et un casting convaincant, qui relèvent un récit longuet un brin redondant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Adapté du best-seller de Siegfried Lenz, le film évoque de manière réellement intéressante les questions de la responsabilité et de la culpabilité ; mais le film est parfois trop dense pour assimiler toutes les pistes de réflexion qu’il propose.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Tiré du classique de Siegfried Lenz, La Leçon d’allemand est un film soigné, mais parfois un peu trop figé dans sa beauté picturale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Symétries austères, surcadrages carcéraux, distances glaciales (...), ces formes visuelles de l’obligation sont incapables de servir un récit d’émancipation. (...) Plus Siggi recherche sa liberté, plus le cinéaste adopte le point de vue d’un pédagogue terrorisant : définition possible d’une horreur post-Haneke.
Première
par Thierry Chèze
La Leçon d’allemand raconte donc cette remise en cause de l’autorité paternelle en instaurant un climat de tension malaisante qui finit cependant par s’essouffler au fil de ses bien trop longues 125 minutes, faute d’une radicalité dans sa mise en scène qui l’aurait forcément dopée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jean-François Rauger
Une réflexion morale au ton compassé sur l'obéissance aveugle à la loi et ses conséquences.
Libération
par Didier Péron
La question antisémite est totalement absente du film qui repose exclusivement sur des prêchi-prêcha moraux autour de figures masculines caricaturales, le policier ignoble aux lèvres pincées et le bon peintre aux yeux tristes, bataille traitée dans un style de pensum vernissé particulièrement lugubre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) le beau travail sur les atmosphères et les décors a pour effet d’étouffer les personnages, abandonnés à la folie d’une époque sans qu’on puisse s’attacher à eux ni trouver une cohérence autre que schématique à leur histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Film pessimiste, peut-être un peu trop didactique pour ne pas en braquer certains [...], La Leçon d'allemand reste le constat implacable, plein de rigueur et de rugosité, du piège de la violence dans lequel s'enferre une humanité qui n'apprendra jamais de ses erreurs.
L'Humanité
La Leçon d’allemand, cinquième long métrage de Christian Schwochow, envisage l’après-guerre non pas comme une rupture mais comme la continuité d’une politique répressive à l’égard de la jeunesse... Le film, d’une grande beauté formelle, interroge l’importance de nos choix individuels dans un environnement dictatorial.
L'Obs
Christian Schwochow transforme ce drame froid en brillante analyse de la manipulation et de l’autorité. Et l’image, signée du chef opérateur Frank Lamm, est d’une rare beauté.
Le Figaro
Mais au-delà de cette ampleur visuelle, La Leçon d’allemand se donne comme un vibrant réquisitoire contre l’obéissance aveugle, ainsi qu’une profonde méditation sur la culpabilité du peuple allemand endoctriné par le régime nazi.
Le Parisien
Le réalisateur maintient la tension du début à la fin et les acteurs jouent avec une intensité remarquable.
Positif
Le réalisateur épure ainsi le film d’époque du kitsch des reconstitutions, pour mettre en valeur un questionnement intemporel sur la responsabilité individuelle et sur le point de rupture entre légalité et moralité.
La Croix
Adaptation du célèbre roman de Siegfried Lenz, ce film âpre et corseté sur les cicatrices laissées par la Seconde Guerre mondiale chez les Allemands parvient néanmoins à en restituer toute la portée symbolique et la beauté visuelle.
Le Journal du Dimanche
Des qualités formelles, et un casting convaincant, qui relèvent un récit longuet un brin redondant.
Les Fiches du Cinéma
Adapté du best-seller de Siegfried Lenz, le film évoque de manière réellement intéressante les questions de la responsabilité et de la culpabilité ; mais le film est parfois trop dense pour assimiler toutes les pistes de réflexion qu’il propose.
aVoir-aLire.com
Tiré du classique de Siegfried Lenz, La Leçon d’allemand est un film soigné, mais parfois un peu trop figé dans sa beauté picturale.
Cahiers du Cinéma
Symétries austères, surcadrages carcéraux, distances glaciales (...), ces formes visuelles de l’obligation sont incapables de servir un récit d’émancipation. (...) Plus Siggi recherche sa liberté, plus le cinéaste adopte le point de vue d’un pédagogue terrorisant : définition possible d’une horreur post-Haneke.
Première
La Leçon d’allemand raconte donc cette remise en cause de l’autorité paternelle en instaurant un climat de tension malaisante qui finit cependant par s’essouffler au fil de ses bien trop longues 125 minutes, faute d’une radicalité dans sa mise en scène qui l’aurait forcément dopée.
Le Monde
Une réflexion morale au ton compassé sur l'obéissance aveugle à la loi et ses conséquences.
Libération
La question antisémite est totalement absente du film qui repose exclusivement sur des prêchi-prêcha moraux autour de figures masculines caricaturales, le policier ignoble aux lèvres pincées et le bon peintre aux yeux tristes, bataille traitée dans un style de pensum vernissé particulièrement lugubre.
Télérama
(...) le beau travail sur les atmosphères et les décors a pour effet d’étouffer les personnages, abandonnés à la folie d’une époque sans qu’on puisse s’attacher à eux ni trouver une cohérence autre que schématique à leur histoire.