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    Lee Miller
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    369 critiques spectateurs

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    Lili
    Lili

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2024
    Grosse déception...

    La mémoire de Lee Miller appelait un biopic à son image, grandiose et intense, protéiforme et ambiguë.

    Ici... on est loin... très loin de Lee Miller.

    Kate Winslet campe une photographe grandiloquente, sans nuance, bourrue et féministe.

    Ce n'était pas Lee Miller.

    Il y a dans ce film, qui se veut un biopic, un parti pris féministe absurde qui dénature totalement ce qu'a été réellement la vie de Lee Miller.

    Et où est l'émotion ? Où est la passion ?

    Un film sans âme, là où il y aurait dû avoir une explosion de vie.

    Dommage.
    Sebby Kwak
    Sebby Kwak

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2024
    16/20
    Vu en VO

    Encore une excellente interprétation de Kate Winslet dans le Rôle de Lee Miller (ancienne modèle pour le magazine Vogue puis reporter de guerre).
    Un rôle qui je l'espère lui permettra d'être nominée aux Oscars tellement elle est fantastique.

    Lee Miller est un film féministe, et un exemple à suivre pour bien d'autres réalisateurs. Il traite le sujet avec brio, de façon subtile et très juste. Dans un monde en guerre et une société patriarcale, notre protagoniste a dû se battre pour exister et révéler au monde les horreurs perpétrées par la folie des hommes.

    Un très bon film, bien qu'un peu timide côté réalisation.
    Cette dernière n'est pas mauvaise, jouant notamment parfois avec des couleurs presque monochromatiques, rappelant les photographies en noir et blanc typiques de cette époque.

    Pour résumer, je vous invite à voir le film, bien qu'il n'atteignent pas les chefs d'œuvres, que sont "la liste de Schindler" ou bien encore "Le pianiste".
    Ismael
    Ismael

    87 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 octobre 2024
    Faire découvrir au spectateurs un personnage historique bienfaisant, mais injustement méconnu du grand public semble être un procédé à la mode en ce moment. Il y a maintenant un peu moins d'un an, sortait un film magnifique intitulé Une Vie, qui retraçait l'histoire authentique d'un Britannique qui, à la veille de la seconde guerre mondiale, avait sauvé d'une mort certaine plusieurs centaines d'enfants juifs. En plus d'avoir un thème relativement proche, Lee Miller, reprend exactement la même structure narrative que le film de James Hawes. Il débute à une époque contemporaine (enfin 1977 en l'occurrence, l'année de la mort de l 'héroïne) et se déroule ensuite dans un long flash-back, fait de souvenirs amenés de façon plus ou moins chronologiques et entrecoupés de brefs retours au présent.

    Mais la ou dans Une Vie les souvenirs de Nicholas Winton nous embarquaient immédiatement dans une histoire dramatiquement intense et palpitante, rien de tel ici. Le film de Ellen Kurras démarre au contraire trés doucement par une de sorte de prélude (les "jeunes années"), et ensuite, sur un mode un peu biographique, prend un temps assez long à se mettre en place. Ce n'est qu'à la moitié du film que l'histoire démarre vraiment.

    Pour le reste, il est difficile de reprocher quoi que ce soit à Lee Miller, sinon son académisme. Le film est réalisé avec beaucoup de soin, mais semble comme plombé à la fois par le sérieux de son propos et le respect qu'il doit au travail de cette femme hors du commun. Entre féminisme, académisme et nécessaire pudeur vu les sujets traités, c'est un peu comme si on voulait avant tout éviter les maladresses et les faux pas ( spoiler: en le réussisant trés bien dans la dernière partie du film au sein du camp de concentration
    ). Mais à trop vouloir être sérieux et respectueux on finit par être un peu terne. C'est dommage, car la véritable Lee Miller ne l'était visiblement pas du tout.

    Ce qu'il manque à Lee Miller c'est simplement ce petit truc en plus qu' ont les meilleurs films: un ton original, une réalisation inspirée, ou un grain de folie. Mais Ellen Kurras n'est ni Spielberg, ni Tarantino et semble en réalité un peu dans l'ombre d'une Kate Winslet productrice et interprète principale, qui porte véritablement le film sur ses épaules. Si la comédienne est vaillante et présente dans presque tous les plans, elle n'a toutefois pas le talent d'un Anthony Hopkins ou d'une Helena Bonham Carter pour reprendre la comparaison avec le film plus haut.

    Finalement le plus beau moment du film c'est le générique de fin o spoiler: u l'on voit quelques véritables photos de la vraie Lee Miller accompagnés de quelques éléments historiques
    . D'un coup c'est la réalité de l'Histoire qui transperce l'écran et Il y a plus d'émotion que pendant tout le film.
    Boris B
    Boris B

    67 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2024
    Que de longueur, quel manque de rythme..
    Aucun sentiment, aucun rebondissement.
    Cette idée de raconter les souvenirs c'était une facilité scenaristisue mais au détriment de tout le reste.. décevant
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    139 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Exactement le film que je craignais en ayant vu la bande annonce. Un biopic lénifiant , appliqué , surjoué. Une fois de plus les intentions sont bonnes! Kate winslet a sans doute du se battre pour faire naître ce film. Ça en dit long sur l’état du cinéma américain grand public.
    Chaque plan est léché, il y a de la musique sirupeuse partout, tout sent la reconstitution de carton pâte , des raccords entre les scènes d’une époque à l’autre tellement téléphonée !! Des dialogues insipides! Le jeu des acteurs , à part Kate winslet, est constamment théâtral , sursignifié.
    Je suis partie avant la fin tant je n’en pouvais plus.
    Ce film n’est pas une honte. Mais il est très naïf , convenu et maladroit. Cela plaira à un public qui va peu au cinéma ou aux américains qui ne connaissent rien à l’histoire.
    Allez plutôt voir NIKI. Film vibrant et incarné. Qui n’illustre pas mais fait vivre de l’intérieur en se servant du cinéma pour inventer une manière de raconter.
    Olivier GERARDIN
    Olivier GERARDIN

    1 abonné 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Belle chronologie historique pour cette femme hors normes, au caractère affirmé, ayant vécu dix vies en une..Professionnelle infatigable toujours à la recherche du cliché qui fera mouche.
    Très bonne réalisation
    GiletMC
    GiletMC

    6 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    J'ai vu ce film comme un documentaire historique produit par un témoin direct. Les décors et costumes sont parfaits, l'époque nous plonge dans l'horreur heureusement plus suggérée que montrée. Le film est un peu long à démarrer mais l'épopée de Lee Miller bien incarnée par Kate Winslet se met petit à petit en place jusqu'au terrible final.
    Chris58640
    Chris58640

    220 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    La réalisatrice Ellen Kuras propose avec son film très sobrement intitulé « Lee Miller » la biographie d’une femme dont j’avoue, je ne connaissais rien avant la projection. On pourra dire que son film, quoiqu’un tout petit peu long, est plutôt soigné en ce qui concerne la reconstitution historique. Pour tout ce qui concerne les scènes de guerre, d’abord à Londres pendant le Blitz puis ensuite dans la Paris libéré puis l’Allemagne ravagée, il y a dans « Lee Miller » le souci de l’authenticité des décors et des costumes. La musique est discrète, et les scènes les plus difficiles à montrer sont plutôt filmées avec retenue. Lee Miller ne baissait pas son objectif même quand ce qu’elle photographiait était abominable ; Ellen Kuras montre elle aussi, mais elle floute un petit peu, elle montre les photos plutôt que la réalité. Il faut dire que filmer la libération d’un camp de la mort est une gageure, il faut reconstituer et c’est délicat, compliqué, cela peut vite devenir un problème éthique. Ellen Kuras montre mais sans complaisance, de manière un peu détournée. Là-dessus pas grand-chose à redire. Le souci est que son film a des petits trous d’air, des longueurs, des scènes un peu superflues qui hache un peu le long métrage. Et puis il y a aussi les 20 premières minutes, trop longues et dont l’intérêt est discutable ; on voir Lee insouciante, au milieu de ses amis mondains en France, batifoler, boire (beaucoup), fumer (énormément) et profiter d’une vie de bohème à quelques encablures de la Guerre. C’est probablement pour montrer combien Lee Miller à tourné de dos à cette vie d’artiste et combien la Guerre l’a changé en profondeur mais n’empêche : tout ce début est long et pas follement passionnant. Le film ne devient réellement prenant qu’à partir de 1940. Le biopic est construit sur une trame ultra conventionnelle : Lee en 1977 raconte sa vie à un jeune journaliste, elle semble très affaiblie, et elle raconte d’un ton détaché et un peu cassant les étapes de sa vie de photographe de guerre. Ensuite on fait des sauts de puce dans le temps : Londres et le Blitz, la Normandie, Paris libéré, l’Allemagne vaincue jusqu’au camp de la mort (non identifié en tant que tel) spoiler: et à la maison d’Hitler (à Munich d’après ce que j’ai pu comprendre) où elle fera une photo (très) particulière.
    C’est une narration très classique, chronologique avec juste ça et là quelques scènes où elle commente entre deux clopes et deux verres d’alcool. « Lee Miller » est le portrait d’une femme des années 40 à qui la Guerre a fracassé la vie. Elle se bat pour devenir photographe d’abord puis pour être envoyée sur le front européen. Elle se battra en permanence pour s’imposer en tant que femme dans un monde plus masculin encore que tous les autres. Le fait qu’elle soit une femme n’est sans doute pas pour rien dans le fait qu’elle soit tombée dans l’oubli après la Guerre. Très féminine, marié et sans enfant, elle dénote dans l’Europe des années 40, on peut dire qu’elle fut une féministe à sa manière, sans aucun doute. Mais « Lee Miller » est un film qui ne fonctionne pas complètement, on a l’impression (à cause de son classicisme peut-être) qu’il reste à la surface des choses, qu’il rate un petit peu sa cible, de peu certes, mais quand même. Je ne sais pas trop ce qui cloche mais ce qui est certain, c’est que ce n’est pas du côté de Kate Winslet qu’il faut en chercher la cause. J’adore cette actrice, qui fait toujours des choix audacieux, qui sait s’effacer totalement derrière un rôle, qui ne se glamourise jamais au détriment de son personnage et qui, j’en ai la conviction, n’a pas peur de grand-chose devant une caméra. Elle porte totalement le film sur ses épaules, au détriment d’ailleurs des seconds rôles qui sont parfois fort peu écrits. Le seuil qui parvient à tirer son épingle du jeu à ses côtés, c’est Andy Samberg. Ca fait super plaisir de le voir sur un grand écran dans un rôle hyper sérieux, ans antipodes de ce qu’il faisait à la TV. Il incarne le photographe de Life sur le front, il forme avec Lee Miller un duo qui se soutient, collabore, se rend service et noue au final une amitié de « frères d’arme » assez touchante. Les autres seconds rôles sont anecdotiques, surtout les rôles français tenus par Marion Cotillard, Patrick Mille ou Noémie Merlant. Quant à l’amoureux de Lee, incarné par Alexander Skasgard, il est un peu écrabouillé par le charisme de son épouse ! Mais le casting fait le job, si le film d’Ellen Kuras pêche un peu, c’est surtout parce qu’il est trop conventionnel dans sa construction, dans son scénario. spoiler: Quant au tout petit coup de théâtre de la fin (que l’on sent venir assez tard, je le reconnais), il se veut poétique et allégorique sur le papier. L’effet de tombe pas à plat mais on n’est pas estomaqué non plus.
    Tout cela est à l’image du film : plein de bonnes intentions et de petites maladresses.
    Thierry Liautard
    Thierry Liautard

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    très beau et bon film racontant la vie de Lee Miller mannequin réputé de vogue dans les années 30 qui deviendra reporter et photographe de guerre . histoire vraie , boule versante avec Kate Winslet gigantesque .
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    42 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2024
    Bonjour tout le monde,


    Incarnant le rôle de Lee Miller, Kate Winslet anime, avec minutie et inspiration , la vie trop méconnue d' une femme photographe témoin de la seconde guerre mondiale et , enfin , un film lui ai dédié ,de manière simple et réaliste, par la cinéaste Ellen Kuras. Notons la présence de Marion Cotillard et de Noémie Merlant qui donnent vie, avec brio et intensité, à des personnages secondaires forts bien dessinés. Cordialement. Gérard Michel
    Pierre842
    Pierre842

    21 abonnés 190 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    C'était un très bon film qui retrace une partie de la vie de LEE MILLER. La première femme photographe de guerre durant la seconde guerre mondiale. Le déroulé du film était bien. Entre le passé et le présent, on pouvait parfaitement comprendre l'histoire de cette personne. Kate Winslet à très bien jouer le rôle de cette personne. Andy Samberg je l'avais connu dans Brooklyn Nine-Nine, j'ai trouver bien dans se rôle sérieux.
    selenie
    selenie

    6 392 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Le film débute dans l'insouciance pré-guerre et dans l'esprit artiste bobo surréaliste un peu beaucoup trop images d'épinal, mais surtout d'emblée on remarque que le spoiler: film occulte quelques points de la vie de Lee Miller, dont le plus flagrant : jamais n'est mentionné l'époux de Lee Miller depuis 1934, riche homme d'affaire égyptien jusqu'en 1947. Par là même on s'étonne que le film omet le fait que son équipier David Sherman ait été son "amant de guerre". Les ellipses sont nombreuses, les raccourcis faciles et finalement le récit se fait résumé vite fait bien fait sans jamais réellement exploité le sujet, à savoir les camps de la mort. Quelques passage sont mêmes un peu ridicules comme la reconstitution très factice de la libération de Paris, où on perçoit la théâtralité de la scène plutôt qu'une ferveur authentique, on peut aussi noter la fillette toute pouponne dont on ne perçoit pas la faim ou la souffrance malgré ses yeux magnifiquement embués. Des détails qui atténuent forcément l'émotion. Un film hommage qui est mérité, avec une actrice investie et si talentueuse, mais qui manque de souffle, de puissance et d'une partie camp de concentration trop survolée
    . La forme n'a pas l'audace de son héroïne et qui se repose sur un fond qui reste logiquement passionnante.
    Site : Selenie.fr
    ffred
    ffred

    1 740 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Premier long métrage pour Ellen Kuras qui vient de la télé. Elle nous narre ici la vie de la première femme photographe de presse pendant la seconde guerre mondiale. Le tout est fait de manière on ne peut plus académique que ce soit sur la forme ou sur le fond. La mise en scène est sans saveur et sans surprise. Le récit, sous forme de flashbacks, se laisse suivre avec un ennui poli. Certaines scènes très fortes, d’autres très dures, mais l’ensemble manque malgré tout de puissance et d’épaisseur. La bande-annonce nous promet le « meilleur rôle » de Kate Winslet. Si elle ne démérite pas, on est loin de ses meilleures prestations. Le reste du casting fait le job sans plus. D’Alexander Skarsgård à Andy Samberg en passant par Josh O’Connor, et par nos frenchies Marion Cotillard, Noémie Merlant ou encore Patrick Mille (mais tous dans des petits rôles). Celle qui s’en sort le mieux à mes yeux est sans conteste Andrea Riseborough, formidable en rédactrice en chef de Vogue. Loin d’être un chef d’œuvre, ce Lee Miller se laisse regarder, sans plus, et a au moins le mérite de nous faire connaître une femme, pionnière, hors du commun.
    Kilauea
    Kilauea

    25 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2024
    Une photographe américaine, Lee Miller, interprétée par Kate Winslet capte des clichés des horreurs de la 2nd guerre mondiale. Ce film narratif manque d'émotions. La mise en scène ne soutient pas tout le temps, notre attention. Il y a le choc des photos et le bruit des explosions mais la fin reste un suspens. Belle résilience d'une femme dans ce monde d'hommes qu'est la guerre.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    76 abonnés 232 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 octobre 2024
    Première minute du film et l'on sent déjà que c'est très mal parti... un biopic qui commence avec son personnage principal sur ses vieux jours, en mode interview, qui répond à des questions sur sa vie, ce qui va déclencher des allers retours entre le passé et le présent via divers flashbacks. Un dispositif déjà utilisé par un nombre incalculables de films.

    Et le reste sera dans la même veine. Un long métrage bien trop classique, à la réalisation ultra académique et que l'on a l'impression d'avoir déjà vu 100 fois.

    Kate Winslet, à qui certains prédisent déjà un deuxième Oscar, fait ce qu'elle peut mais elle a bien du mal à étaler toute la palette de son jeu dans ce film boursouflé.
    Empêtrée par des prothèses pour la vieillir, la voix exagérément grave, et toujours une clope au bec, on peut dire que nous l'avons connue plus inspirée et plus nuancée... D'autant plus qu'elle donne parfois l'impression de se sentir obligée d'en rajouter, comme pour expier son rôle de gardienne SS dans The Reader.

    Le reste du film n'est que lourdeur. Tout est trop mis en scène, dans des reconstitutions clinquantes et peu convaincantes, voire embarrassantes par moments. Tout sonne faux et alors que le film cherche à tirer des larmes par des ficelles bien peu subtiles, la seule émotion qui passe est l'ennui.

    De manière assez ironique, et alors que le sujet de départ est si riche et passionnant, c'est dans les toutes dernières minutes, lorsque le film s'achève sur une série de photos et d'incrustations de textes insistant sur l'impact du travail de la photographe que l'on se rend compte à quel point il a totalement raté sa cible.

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