Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une chronique lumineuse et nostalgique de l'enfance.
Le Parisien
par La Rédaction
Initiatique, habillé de paysages tendres et de personnages délicieusement atypiques, ce film acidulé renouvelle l’art des récits de jeunesse et la petite Lisa Moell, qui a fait vœu d’être actrice, ne s’est pas trompée de route.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Auriane Guerithault
Un moment rafraîchissant.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuiller
Sans prétendre révolutionner le genre du film d’apprentissage estival, Reine d’un été parvient à distiller, par petites touches, sa singularité.
Critikat.com
par Clément Graminiès
À l'écoute de sa protagoniste, Joya Thome met en scène chacune de ces pérégrinations toujours à juste hauteur du regard de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fiction délicate qui prend parfois le risque d'appuyer le trait de sa poésie naturaliste mais saisit à la dérobée, dans son regard et ses gestes, le doux bouleversement intérieur de la fillette.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier film allemand en forme de jolie chronique nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.J.
Une douce chronique joliment filmée sur l'amitié, les rapports garçons-filles et l'apprentissage de la responsabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Un très joli premier film, d’une absolue justesse sur le passage à la pré-adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au lieu de s’en tenir aux quatre-cents coups habituels, les chenapans jouent les flics, espionnent un habitant louche ou s’introduisent à la mairie pour dévoiler une magouille. Enjeu politiquement correct, mais principe gênant. Si les enfants commencent à donner des leçons, où ira-t-on ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce premier long-métrage de la réalisatrice s’adresse au public de la fiction enfantine tout en ambitionnant de l’initier à un autre cinéma. D’où le rythme contemplatif, le souci de saisir aussi bien les paysages que les visages. Reine d’un été fait ainsi presque oublier la légèreté de son scénario, qui confine à l’inconsistance.
Femme Actuelle
Une chronique lumineuse et nostalgique de l'enfance.
Le Parisien
Initiatique, habillé de paysages tendres et de personnages délicieusement atypiques, ce film acidulé renouvelle l’art des récits de jeunesse et la petite Lisa Moell, qui a fait vœu d’être actrice, ne s’est pas trompée de route.
Ouest France
Un moment rafraîchissant.
Cahiers du Cinéma
Sans prétendre révolutionner le genre du film d’apprentissage estival, Reine d’un été parvient à distiller, par petites touches, sa singularité.
Critikat.com
À l'écoute de sa protagoniste, Joya Thome met en scène chacune de ces pérégrinations toujours à juste hauteur du regard de son héroïne.
L'Obs
Une fiction délicate qui prend parfois le risque d'appuyer le trait de sa poésie naturaliste mais saisit à la dérobée, dans son regard et ses gestes, le doux bouleversement intérieur de la fillette.
Le Figaro
Un premier film allemand en forme de jolie chronique nostalgique.
Le Journal du Dimanche
Une douce chronique joliment filmée sur l'amitié, les rapports garçons-filles et l'apprentissage de la responsabilité.
Les Fiches du Cinéma
Un très joli premier film, d’une absolue justesse sur le passage à la pré-adolescence.
L'Humanité
Au lieu de s’en tenir aux quatre-cents coups habituels, les chenapans jouent les flics, espionnent un habitant louche ou s’introduisent à la mairie pour dévoiler une magouille. Enjeu politiquement correct, mais principe gênant. Si les enfants commencent à donner des leçons, où ira-t-on ?
Le Monde
Ce premier long-métrage de la réalisatrice s’adresse au public de la fiction enfantine tout en ambitionnant de l’initier à un autre cinéma. D’où le rythme contemplatif, le souci de saisir aussi bien les paysages que les visages. Reine d’un été fait ainsi presque oublier la légèreté de son scénario, qui confine à l’inconsistance.