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    Meurs, monstre, meurs
    Note moyenne
    2,9
    18 titres de presse
    • Ecran Large
    • L'Ecran Fantastique
    • L'Express
    • Ouest France
    • Positif
    • Première
    • Transfuge
    • Télérama
    • CinemaTeaser
    • Le Monde
    • Mad Movies
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Critikat.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Culturopoing.com
    • L'Obs
    • Le Journal du Dimanche

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Ecran Large

    par Simon Riaux

    Chronique meurtrière qui valse de mystère en absurdités, récit d’amours impossibles et contrariés, puis pur film d’horreur atmosphérique, Meurs, monstre, meurs grouille littéralement d’idées.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Ecran Fantastique

    par Ava Cahen

    Diablement efficace.

    L'Express

    par A. L. F.

    Meurs, monstre, meurs revêt des allures de bad trip, entre la fascination et l'intrigante répulsion.

    La critique complète est disponible sur le site L'Express

    Ouest France

    par Sylvestre Picard

    Un film d'horreur surpuissant et original. On n'en sort pas indemme.

    Positif

    par Nicolas Geneix

    Anti-cathartique, l’horreur paraît ce qui reste et résiste quand meurent les sentiments et la socialisation.

    Première

    par Sylvestre Picard

    De l'horreur intellectuelle de très haut niveau.

    Transfuge

    par Mathieu Champalaune

    Ainsi, le réalisateur joue de façon poétique avec les références, convoquant aussi bien "Freaks" ou "Alien" que les films de Tourneur et de Carpenter. "Meurs, monstre, meurs" propose une réflexion sur l’angoisse de l’inconnu dans un monde en mutation où l’incompréhension est palpable.

    Télérama

    par Guillemette Odicino

    L’image est somptueuse, évocatrice, qu’elle suive les gyrophares ou les silhouettes des hommes — minuscules — sur les routes ténébreuses, ou qu’elle montre des chairs atteintes d’étranges lésions, des visages figés par l’incompréhension.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    Le talent pictural d'Alejandro Fadel ne fait aucun doute mais son écriture fuyante, elle, peine à convaincre.

    Le Monde

    par Véronique Cauhapé

    Deuxième longmétrage du réalisateur argentin Alejandro Fadel, Meurs, monstre, meurs met en scène la folie, dans un joyeux désordre baroque où l’horreur prédomine. Un film qui donne à voir la bête tapie au fond de chacun de nous.

    Mad Movies

    par Jean-Baptiste Herment

    De notre côté, on reste plus réservés quant au supposé génie du réalisateur Alejandro Fadel, même s'il faut reconnaître que "Meurs, monstre, meurs" manie assez adroitement les genres auxquels il se frotte.

    Voici

    par Daniel Blois

    Pas toujours très accessible mais suffisamment original pour intriguer.

    aVoir-aLire.com

    par Julien Dugois

    Un film de monstre parfaitement maîtrisé, jusqu’à l’apparition du fameux monstre dans les dernières minutes. Quand la source de terreur devient brutalement source de rires, tout s’effondre inévitablement.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Critikat.com

    par Chloé Cavillier

    En accumulant les effets visuels ayant pour seul but de participer à la désorientation générale, le film ne donne que l’illusion d’une complexité.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Une histoire de monstre, pompeuse et grotesque, s’y donne le triple apparat d’une fable philosophique, d’une série Z et d’un film contemplatif-chiant.

    Culturopoing.com

    par Olivier Rossignot

    Prétentieux, vain et abscons le film d’Alejandro Fadel fera néanmoins office de Lexomil efficace à ceux qui aiment s’assoupir dans les salles de cinéma. Dors, spectateur, dors.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    L'Obs

    par François Forestier

    Je ne sais pas quel traitement médical a subi le metteur en scène, mais c’était pas le bon. Il faut qu’il fasse du macramé, pas du cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Journal du Dimanche

    par Barbara Théate

    La seule chose qu’on nous assène, c’est que la bête qui sévit n’est que celle que nous avons tous au fond de nous. Son apparition à la fin du film est un summum de ridicule.

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