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Chronique meurtrière qui valse de mystère en absurdités, récit d’amours impossibles et contrariés, puis pur film d’horreur atmosphérique, Meurs, monstre, meurs grouille littéralement d’idées.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ainsi, le réalisateur joue de façon poétique avec les références, convoquant aussi bien "Freaks" ou "Alien" que les films de Tourneur et de Carpenter. "Meurs, monstre, meurs" propose une réflexion sur l’angoisse de l’inconnu dans un monde en mutation où l’incompréhension est palpable.
L’image est somptueuse, évocatrice, qu’elle suive les gyrophares ou les silhouettes des hommes — minuscules — sur les routes ténébreuses, ou qu’elle montre des chairs atteintes d’étranges lésions, des visages figés par l’incompréhension.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Deuxième longmétrage du réalisateur argentin Alejandro Fadel, Meurs, monstre, meurs met en scène la folie, dans un joyeux désordre baroque où l’horreur prédomine. Un film qui donne à voir la bête tapie au fond de chacun de nous.
De notre côté, on reste plus réservés quant au supposé génie du réalisateur Alejandro Fadel, même s'il faut reconnaître que "Meurs, monstre, meurs" manie assez adroitement les genres auxquels il se frotte.
Un film de monstre parfaitement maîtrisé, jusqu’à l’apparition du fameux monstre dans les dernières minutes. Quand la source de terreur devient brutalement source de rires, tout s’effondre inévitablement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Prétentieux, vain et abscons le film d’Alejandro Fadel fera néanmoins office de Lexomil efficace à ceux qui aiment s’assoupir dans les salles de cinéma. Dors, spectateur, dors.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La seule chose qu’on nous assène, c’est que la bête qui sévit n’est que celle que nous avons tous au fond de nous. Son apparition à la fin du film est un summum de ridicule.
Ecran Large
Chronique meurtrière qui valse de mystère en absurdités, récit d’amours impossibles et contrariés, puis pur film d’horreur atmosphérique, Meurs, monstre, meurs grouille littéralement d’idées.
L'Ecran Fantastique
Diablement efficace.
L'Express
Meurs, monstre, meurs revêt des allures de bad trip, entre la fascination et l'intrigante répulsion.
Ouest France
Un film d'horreur surpuissant et original. On n'en sort pas indemme.
Positif
Anti-cathartique, l’horreur paraît ce qui reste et résiste quand meurent les sentiments et la socialisation.
Première
De l'horreur intellectuelle de très haut niveau.
Transfuge
Ainsi, le réalisateur joue de façon poétique avec les références, convoquant aussi bien "Freaks" ou "Alien" que les films de Tourneur et de Carpenter. "Meurs, monstre, meurs" propose une réflexion sur l’angoisse de l’inconnu dans un monde en mutation où l’incompréhension est palpable.
Télérama
L’image est somptueuse, évocatrice, qu’elle suive les gyrophares ou les silhouettes des hommes — minuscules — sur les routes ténébreuses, ou qu’elle montre des chairs atteintes d’étranges lésions, des visages figés par l’incompréhension.
CinemaTeaser
Le talent pictural d'Alejandro Fadel ne fait aucun doute mais son écriture fuyante, elle, peine à convaincre.
Le Monde
Deuxième longmétrage du réalisateur argentin Alejandro Fadel, Meurs, monstre, meurs met en scène la folie, dans un joyeux désordre baroque où l’horreur prédomine. Un film qui donne à voir la bête tapie au fond de chacun de nous.
Mad Movies
De notre côté, on reste plus réservés quant au supposé génie du réalisateur Alejandro Fadel, même s'il faut reconnaître que "Meurs, monstre, meurs" manie assez adroitement les genres auxquels il se frotte.
Voici
Pas toujours très accessible mais suffisamment original pour intriguer.
aVoir-aLire.com
Un film de monstre parfaitement maîtrisé, jusqu’à l’apparition du fameux monstre dans les dernières minutes. Quand la source de terreur devient brutalement source de rires, tout s’effondre inévitablement.
Critikat.com
En accumulant les effets visuels ayant pour seul but de participer à la désorientation générale, le film ne donne que l’illusion d’une complexité.
Cahiers du Cinéma
Une histoire de monstre, pompeuse et grotesque, s’y donne le triple apparat d’une fable philosophique, d’une série Z et d’un film contemplatif-chiant.
Culturopoing.com
Prétentieux, vain et abscons le film d’Alejandro Fadel fera néanmoins office de Lexomil efficace à ceux qui aiment s’assoupir dans les salles de cinéma. Dors, spectateur, dors.
L'Obs
Je ne sais pas quel traitement médical a subi le metteur en scène, mais c’était pas le bon. Il faut qu’il fasse du macramé, pas du cinéma.
Le Journal du Dimanche
La seule chose qu’on nous assène, c’est que la bête qui sévit n’est que celle que nous avons tous au fond de nous. Son apparition à la fin du film est un summum de ridicule.