Mon compte
    Gueule d'ange
    Note moyenne
    2,9
    1014 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Gueule d'ange ?

    138 critiques spectateurs

    5
    18 critiques
    4
    21 critiques
    3
    40 critiques
    2
    34 critiques
    1
    16 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Michel C.
    Michel C.

    280 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mai 2018
    Pour Marion Cotillard et son jeu tellement "nature", oui.. pour le thème.....non .....surtout en ce jour ...!!! Comment une mère peut agir comme cela......c'est juste effrayant..... la petite est formidable de justesse et d'attente.C'est très bien rendu. J'attendais plus d'émotion, beaucoup de blancs - ou vides - suivant sa perception. Ce film m'a gêné, si c'est un critère, c'est réussi, sinon .....? !! **
    mousscoco@aol.com
    mousscoco@aol.com

    12 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2018
    C est un film de cannes... peu d émotion et des lenteurs. Dommage l histoire était intéressante mais il manque qq chose. Si vous voulez vraiment aller le voir allez y pour Marion Cotillard vraiment cette femme est une des meilleures actrices elle peut tout jouer. Je l ai vu il y 6 mois en agent double très classe là elle joue une cassos alcoolique. Très grande actrice et la petite Ayline est extraordinaire aussi. Mais voilà ça s arrête la.
    Bon j ai modifié ma critique et rajouté une étoile car 24h après je pense toujours au film. Je pense qu’il m à bouleversée en réalité et plus secouée que je l imaginais.
    PLR
    PLR

    473 abonnés 1 575 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mai 2018
    La caméra pratiquement toujours collée au personnages qui est l'écran. Si ponctuellement ça peut correspondre à un effet non-verbal dans la mise en scène, à la longue c'est surtout agaçant et fatigant pour le regard. Avec ça, des scènes lentes. Bien sûr, il reste l'interprétation surtout du rôle titre. Mais l'émotion ne passe pas vraiment. Serions-nous blasés ? Il n'y a pas non plus beaucoup d'action. Et la narration : est-elle entièrement chronologique ? Ou ai-je raté un quelconque flash-back ou scène potentiellement onirique ou allégorique ? Mystère. Un pur produit pour Cannes.
    bouddha5962
    bouddha5962

    62 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Une Marion Cotillard exceptionnelle dans un rôle fort et prenant.

    Une mère paumée avec une gamine... qui s’identifie à mauvais escient à celle-ci...

    Un peu long malheureusement car les effets de cette histoire s’étiole...

    Pour une première réalisation, c’est une réussite sur un sujet difficile.

    Des personnes touchantes quelque soit leurs erreurs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 mai 2018
    Gueule d'ange raconte avant tout histoire d'une enfant (et non celle de la mère, qui disparaît de l'écran un bon moment). Fillette livrée à elle-même, victime de sa génitrice immature, alcoolique, égoïste et manipulatrice, qui n'hésite pas à faire culpabiliser sa petite victime. Même si c'est une paumée (la mère), son personnage ne suscite aucune empathie. Ce film m'a beaucoup touchée, il dépeint très bien le poison toxique qui entre dans ces enfants encore naïfs qui n'ont pas assez de sens critique pour se construire par eux-mêmes, et qui hélas deviendront souvent des adultes à l'image de leurs paŕents. Déjà toute jeune elle se met à boire les fonds de verre, danse de façon lascive, perd son légèreté ... . Belle réalisation simple et juste, par exemple les scènes de plage d'été qui contrastent tellement avec l'après-midi d'Ellli condamnée à rester cloîtrée, sa mère étant vautrée devant son programme de TV réalité débile. Marion Cotillard excelle comme toujours.
    irise70
    irise70

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2018
    pas convaincant ...je n'ai ressenti aucune émotion ....même vis à vis de cette petite fille j'étais rarement émue ....ce film m'a laissée vraiment indifférente et je le regrette ...ce matin j'ai terminé " la mère horizontale " un livre qui vous prend aux tripes ....au début du film , j'ai pensé qu'il était tiré de ce roman ...mais quelle déception ....
    Koalahama
    Koalahama

    7 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mai 2018
    Un peu déçu, ce film manque cruellement d'émotions. Malgré un bon jeu, je n'ai pas été ému par la petite fille, ni par Marion Cotillard, mais le pire est bien l'absence de scénario...
    blacktide
    blacktide

    60 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2018
    Budweiser Kingdom

    De ses couleurs chancelantes à perte de vue, Ava avait illuminé le cœur de la Semaine de la Critique l’année dernière. Elle était cette étincelle de vie, baignant dans de derniers instants d’innocence, comme un premier regard sur un coin de ciel bleu, avant que les nuages ne viennent obscurcir cette jeunesse pleine de bleus. N'empêche que dans cette noirceur, dans ce péril jeune, il y a toujours une lumière pour montrer le chemin. A l’image de cette Gueule d’ange, elle qui se voudrait être un rayon de soleil pour n’être qu’au final qu’un léger faisceau de lumière.

    Pourtant, chaque scène baigne dans un océan d’étincelles. Celles du regard, celles photographiques, et celles plastiques. Dans cette station balnéaire débarrassée de la foule et des vacanciers, la caméra se place à hauteur d’enfant, comme une manière de capter l’émerveillement et une certaine beauté dans le chaos qu’offrent le monde et la société. Le petit fugitif (de Morris Engel, Ray Ashley et Ruth Orkin) n’est pas très loin: dans cette déambulation mutine, le monde s’explore avec insouciance, et ébahissement, par ce regard presque inconscient sur les problèmes du monde adulte.

    Aux lumières pastel, à ces flashs jaunes et rosés, aux néons et ces couchers de soleils, Vanessa Filho filme la vie comme quelque chose de naissant, et l’enfance comme une perte, la fin d’un jour, une chute brutale vers la réalité. Une caméra évoluant au fil des émotions, là où les gros plans viennent pénétrer le paysage intérieur de ses personnages. C’est pourquoi, au sein de ces Images à l’illusion féerique, le réel vient constamment perturber l’enchantement. Le regard devient alors le vecteur de contradictions, en associant l’enfance à la dépendance, à l’alcoolisme, à la dépression.

    Un paradoxe où s’emmêlent joies et lumières d’une fête foraine, d’un spectacle d’école, avec les dépendances de l’adulte. A l’instar de ce jeu innocent où les peluches s’exposent à des shots de whisky. Ou cette danse en boîte de nuit, suggestive et effrontée, de la jeune Elli : ses mouvements ne sont pas ceux d’une jeune fille, mais témoignent de son errance dans un âge qui n’est plus vraiment le sien. Forcée de grandir, de faire face à l’absence d’une mère, elle abandonne son innocence pour tenter d’imiter le rôle d’adulte que sa mère a refusé de tenir.

    Les rôles s’inversent : une mère qui a besoin de sa fille pour s’encadrer, sans envoyer valser ses responsabilités. Elle qui enfile les verres comme autant de programmes de télé-réalité, enchaînée à la vulgarité de ses paroles et de ses actes. Elle qui transforme son propre mariage en singulière rupture alcoolisée, et chantée. Oui, une chose est sûre : Fallait pas commencer. « Tu regrettes tes écarts/ Mais maintenant c’est trop tard ». Et à ce jeu là, Marion Cotillard brille dans le pathétique de son personnage : à contre-courant, elle est constamment sur le fil entre surjeu et justesse, entre excès et sincérité, et compose un personnage aussi mal-aimé qu’il peut être blessé.

    Ayline Aksoy-Etaix compose elle-aussi dans un registre tout aussi ambigu : au-delà de la froideur de son faciès et le silence de son cœur, elle communique par ce regard évocateur, regard désespéré et émerveillé par la vie. N’est pas Ana Torrent qui veut, mais sa prestation reste tout de même assez remarquable. Elle intériorise ses sentiments, et par l’imitation, tente de combler la solitude et l’amour perdu en devenant double : elle est à la fois cette gamine désorientée, et cette mère irresponsable. Comme pour colmater le manque d’amour autour d’elle. Oui, il y aurait un peu de Faute d’Amour dans Gueule d’Ange. Et un peu de Virgin Suicides.

    Une sorte de fuite de l’innocence, à la recherche d’un cœur qui voudra bien l’accueillir. En manque d’être regardée avec affection. Oui, « elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de 7 à 77 ans. […] Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. […] Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre. » Une absence de protection maternelle qu’Elli transposera dans la figure inconnue du père : Julio, marginal et ancien plongeur, interprété avec délicatesse par Alban Lenoir. Deux êtres seuls, bousculés par la vie, sautant ensemble dans le vide pour y trouver un certain réconfort.

    Elli serait en quelque sorte le parfait opposé du personnage des 400 coups de François Truffaut, sillonnant le sable mouillé à la recherche d’indépendance et de refus d’encadrement. Et pourtant, qu’il s’agisse d’Elli ou d’Antoine Doinel, il est avant tout question d’identités en crise, là où dans le sable ou l’alcool, se recherchent des sensations, ou tout simplement une évasion. L’ivresse de vivre, ou celle de fuir ses réalités. Une description troublante de l’enfance où le parallèle s’effectuerait sur le Cria Cuervos de Carlos Saura : l’imaginaire face à l’absence de la figure maternelle, qu’il s’agisse de s’imaginer le fantôme d’une mère cajoleuse dans Cria Cuervos ou de devenir la mère absente en l’imitant dans Gueule d’ange.

    C’est dans ce désespoir nuancé que l’intrigue arrive à trouver sa force, là où la cour de récrée apparaît comme le lieu où tout s’entrechoque : la moquerie enfantine, un cercle où les enfants pointent du doigt et ridiculisent les êtres blessés. Un peu comme le silence des adultes, là où il suffit d’un regard pour porter un jugement dégradant. Au fil de cette déambulation enfantine, le temps s’écoule, et l’émotion nous coule. Une émotion parfois perdue dans une esthétique onirique où les situations chocs ne nous laissent qu’un arrière goût de « Mouais » en bouche. Un excès de forme en quelque sorte prenant le pas sur le fond, sans pour autant perdre le cœur de son sujet. Car de cœur, et de passion, il est indéniable que Vanessa Filho porte son premier film avec l’assurance d’un souffle de cinéma.

    Des mots émergent une déchirante vérité ; des mots qui se transforment au fur et à mesure en images brutes, et pourtant si sensibles. Des Images plus fortes que les maux, et des mots plus puissants que les Images. Gueule d’ange ne bénéficie certes pas de cette grandeur émotionnelle, mais sa capacité à mettre en scène l’innocence sacrifiée et la perte de repères est tout à fait honorable. A travers ce portrait intimiste à hauteur d’enfant, Gueule d’ange apparaît néanmoins comme une œuvre sincère, efficace et réussie. Délicat ? Sans aucun doute. Manque peut-être ce Porque Te Vas, et cette émotion sans grandiloquence pour faire de Gueule d’Ange, une œuvre forte et marquante.

    Critique à découvrir également sur Le Blog Du Cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Film, avec un scénario inexistant, beaucoup de longueurs, des mouvements de caméras à donner le mal de mer, c'est avec grand plaisirs que j'ai accueillis le générique de fin, ouf le cauchemar est terminé, il y avait longtemps que je n'avais pas vu un tel navet.
    Kate p.
    Kate p.

    6 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Pour un premier film de Vanessa Fihlo,je dis Bravo.
    Marion Cotillard joue divinement bien, cette "mère-enfant".
    La petite qui joue sa fille a un jeu juste. Les autres acteurs aussi jouent bien.
    J'aime beaucoup les images : de belles photos, de beaux plans.
    Notamment quand les mariés sont sur un navire avec les autres bateaux, durant la nuit avec les bougies de sauvetages de toutes les couleurs : Très beau plan.
    Ce film est frais et pétillant.
    tupper
    tupper

    136 abonnés 1 395 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Marion Cotillard nous prouve encore une fois ses incroyables capacités d’adaptation. Cette fois en mère vulgaire et paumée. Sa composition est totalement crédible. La jeune fille qui l’accompagne délivre également une prestation d’une maturité surprenante pour son âge. Le film est efficace dans ce qu’il cherche à faire au point que la tristesse et la gêne qu’il suscite le rende pénible, avec l’envie qu’il se termine au plus vite. Au final j’ai donc la drôle de sensation d’un film réussi mais désagréable !
    Spectatrice2
    Spectatrice2

    4 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2018
    J'écris à chaud. Ce film donne effectivement à voir l'alcoolisme avec les yeux d'une fillette et du monde des enfants. Mais aussi, l'abandon qui peut se ressentir au sein d'une famille mono-parentale où le parent n'est pas forcément capable d'assumer sa parentalité. On voit qu'on est dans une fiction par les différences qui éloignent les personnages de la réalité, comme les absences prolongées à l'école qui ne suscitent aucune intervention de l'institution. Pour le visuel, trop de paillettes aussi, un décalage avec le réel apprécié curieusement par la critique. Un décor qui manque de vécu, et qui ne ressemble pas toujours aux profils des personnages. Malgré cette distance qui courent tout au long du film, les sentiments du triangle fillette et les deux adultes passent très bien l'écran. Une écriture nouvelle. On en saura plus au fil de la carrière de la réalisatrice.
    traversay1
    traversay1

    3 677 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 mai 2018
    Gueule d'ange commence on ne peut plus mal, avec des scènes de mariage grotesques qui interrogent déjà sur la psychologie du personnage incarné par Marion Cotillard. Est-elle une mauvaise mère ? Lacunaire, en tous cas et difficilement déchiffrable. Ce n'est pas un atout pour le film et comme l'actrice la joue parfois avec outrance, on a du mal à comprendre comment elle conduit sa vie. A y regarder de près, Gueule d'ange ne brille pas d'ailleurs vraiment par la crédibilité des situations et l'errance de la fillette abandonnée crée un malaise plus qu'autre chose mais c'est sans doute voulu. La petite Ayline Aksoy-Etaix a beau s'acquitter avec une certaine grâce d'un rôle passablement difficile, elle ne peut pas porter le film sur ses seules frêles épaules. Du point de vue du style, Gueule d'ange a également du mal à convaincre, s'affranchissant à intervalles réguliers d'un réalisme social un peu pesant pour s'enferrer dans un esthétisme chichiteux et bariolé assez gênant. C'est vrai que le film ne cherche pas à être aimable ni à esquiver le sujet de l'alcoolisme juvénile, ce qui est courageux, mais son traitement est autant superficiel qu'embarrassant. A l'issue de cette projection décevante, la première réaction serait pourtant de souhaiter redonner une chance à la réalisatrice, Vanessa Filhp, car derrière les grands défauts de son film, on sent malgré tout une belle envie de filmer des histoires en y mettant une grande énergie. Reste à trouver un fond et une forme plus engageants.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 mai 2018
    Un beau film sur la complexité du role d'une mère déboussolée et en roue libre, entre amour tendre pour sa fille et irresponsabilité totale. Marion Cotillard toujours aussi puissante. Certaines scènes sont cependant assez longues et se répètent.
    Leone D.
    Leone D.

    9 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2018
    J'attendais ce film avec une grande impatience: le thème m'interesse, ce qu'en disait Marion Cotillard en interview me plaisait bien, la bande annonce laissait entrevoir un film lumineux, malgré le thème bien sombre.
    Déception...j'ai trouvé ce film trop orienté vers la difficulté de cette mère à prendre en considération sa fille, Marion Cotillard est parfaite et tout à fait crédible en bimbo coulée par sa propre vie, s'accrochant au premier mec croisé qui pourrait métamorphoser sa vie et picolant tout ce qu'elle peut pour se donner "du courage". Mais le scénario reste sur cette surface là tout le film, oubliant d'explorer de manière plus approfondie le rapport de cette mère à sa fille, le rapport de cette mère à sa propre histoire, le rapport de cette femme aux hommes qu'elle croise , bref, pour moi le trait est trop forcé, manque de nuances et oublie d'apporter de l'épaisseur à ces personnages qui auraient pu être lumineux, malgré tout...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top