Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Marion Cotillard est épatante en mère irresponsable et alcoolique.
CNews
par La rédaction
Cette réalisation bouleversante suit le parcours de personnages aux âmes errantes et en manque total de repères, qui tentent de se raccrocher à la vie, comme ils le peuvent.
L'Express
par Christophe Carrière
Un film à la fois émouvant et inconfortable.
L'Express
par Christophe Carrière
Emaillé d'échappées poétiques comme autant de bouffées d'oxygène, "Gueule d'ange" est un film à la fois émouvant et inconfortable, creusant un sujet généralement réduit à un fait divers dans les journaux d'actualités, quand une mère est arrêtée pour mauvais traitements.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Face à Marion Cotillard, impeccable en bimbo fragile, la jeune Ayline Aksoy-Étaix est éclatante de vie et de débrouillardise. Pour ne jamais nous faire perdre espoir.
Le Parisien
par La Rédaction
Dans ce drame poignant sur la maternité et l’abandon, Cotillard, en mère dépassée, cheveux blond platine et ongles à paillettes, est totalement bluffante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un premier film très touchant, et un trio d'acteurs remarquables.
Télérama
par Pierre Murat
La réalisatrice s’appuie habilement sur le regard — inquiétant — de la petite Ayline Aksoy-Etaix. Et sur le talent de Marion Cotillard, toujours précise et juste, même lorsqu’elle surjoue, comme savait le faire si bien, jadis, Gena Rowlands.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un premier film bouleversant.
Bande à part
par Claire Steinlen
Si sa réalisation est inégale (le film souffre de longueurs), "Gueule d’ange" touche par son sujet fort, l’abandon, le désir d’être aimé mais aussi celui de plaire, pour la mère et pour la petite fille.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Un tunnel sans fin captivant, mais qui ne parvient pas toujours à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une passion impossible, scrutée par un scénario pesamment psychanalytique auquel la caméra, chaotique et fusionnelle, apporte une fougue qui bouscule le spectateur, mais est aussi trop systématique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
D’emblée, la composition de Marion Cotillard témoigne de ce talent qu’elle a de se mouler dans n’importe quel personnage et de ne pas craindre d’en faire un peu trop pour lui donner vie. La crédibilité qu’elle donne à cette fille paumée apporte une vérité à un récit par ailleurs pas spécialement crédible si on le considère d’un peu plus près.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Desservi par une prestation très outrée de Marion Cotillard, un premier film assez fin et touchant sur l'alcoolisme enfantin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Oui, Gueule d’ange est imparfait. Mais il donne cependant envie de voir les prochains films de Vanessa Filho. Tout comme ceux d’Amélie Daure que ce premier long métrage révèle joliment dans un second rôle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
On a déjà vu des histoires de mères indignes, séductrices, alcooliques, toxiques en tous points pour leur vulnérable progéniture. Or, ici, le jeu des acteurs change la donne.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un scénario de qualité et une très jeune actrice remarquable rendent ce premier long métrage attachant malgré ses maladresses de style.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Hésitant entre le réalisme social et un esthétisme maniéré, saturé de couleurs vives, ce premier long métrage de Vanessa Filho vaut principalement pour la performance de sa jeune actrice – 8 ans au moment du tournage – Ayline Aksoy-Etaix.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le problème de ce premier film est qu'il faut croire en la star Marion Cotillard jouant une Loana. Pas évident.
Critikat.com
par Damien Bonelli
(...) c’est aussi du côté des frères Dardenne que lorgne ce naturalisme outrageusement fardé qui, sous couvert de sympathiser avec les classes populaires, fait d’elles un portrait proprement carnavalesque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Nathalie Simon
La réalisatrice en fait des tonnes. Se répète et s'enlise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Ca.
Sélectionné dans la catégorie Un certain regard et en lice pour la Caméra d’or lors du Festival de Cannes, Gueule d’ange, le premier long-métrage de Vanessa Filho, est revenu bredouille. A raison : puisque l’idée, si bonne soit-elle, d’une gamine qui se construit en miroir de sa mère, ne décolle pas plus haut que son énonciation.
Positif
par Lorenzo Codelli
L'intérêt du film [...] réside dans la bataille d'ego impitoyable entre la diva Marion Cotillard et Ayline Aksoy-Etaix, diva de 8 ans qui va sans doute faire carrière.
20 Minutes
Marion Cotillard est épatante en mère irresponsable et alcoolique.
CNews
Cette réalisation bouleversante suit le parcours de personnages aux âmes errantes et en manque total de repères, qui tentent de se raccrocher à la vie, comme ils le peuvent.
L'Express
Un film à la fois émouvant et inconfortable.
L'Express
Emaillé d'échappées poétiques comme autant de bouffées d'oxygène, "Gueule d'ange" est un film à la fois émouvant et inconfortable, creusant un sujet généralement réduit à un fait divers dans les journaux d'actualités, quand une mère est arrêtée pour mauvais traitements.
Le Journal du Dimanche
Face à Marion Cotillard, impeccable en bimbo fragile, la jeune Ayline Aksoy-Étaix est éclatante de vie et de débrouillardise. Pour ne jamais nous faire perdre espoir.
Le Parisien
Dans ce drame poignant sur la maternité et l’abandon, Cotillard, en mère dépassée, cheveux blond platine et ongles à paillettes, est totalement bluffante.
Télé Loisirs
Un premier film très touchant, et un trio d'acteurs remarquables.
Télérama
La réalisatrice s’appuie habilement sur le regard — inquiétant — de la petite Ayline Aksoy-Etaix. Et sur le talent de Marion Cotillard, toujours précise et juste, même lorsqu’elle surjoue, comme savait le faire si bien, jadis, Gena Rowlands.
Voici
Un premier film bouleversant.
Bande à part
Si sa réalisation est inégale (le film souffre de longueurs), "Gueule d’ange" touche par son sujet fort, l’abandon, le désir d’être aimé mais aussi celui de plaire, pour la mère et pour la petite fille.
Franceinfo Culture
Un tunnel sans fin captivant, mais qui ne parvient pas toujours à convaincre.
L'Obs
Une passion impossible, scrutée par un scénario pesamment psychanalytique auquel la caméra, chaotique et fusionnelle, apporte une fougue qui bouscule le spectateur, mais est aussi trop systématique.
Le Dauphiné Libéré
D’emblée, la composition de Marion Cotillard témoigne de ce talent qu’elle a de se mouler dans n’importe quel personnage et de ne pas craindre d’en faire un peu trop pour lui donner vie. La crédibilité qu’elle donne à cette fille paumée apporte une vérité à un récit par ailleurs pas spécialement crédible si on le considère d’un peu plus près.
Les Inrockuptibles
Desservi par une prestation très outrée de Marion Cotillard, un premier film assez fin et touchant sur l'alcoolisme enfantin.
Première
Oui, Gueule d’ange est imparfait. Mais il donne cependant envie de voir les prochains films de Vanessa Filho. Tout comme ceux d’Amélie Daure que ce premier long métrage révèle joliment dans un second rôle.
Rolling Stone
On a déjà vu des histoires de mères indignes, séductrices, alcooliques, toxiques en tous points pour leur vulnérable progéniture. Or, ici, le jeu des acteurs change la donne.
aVoir-aLire.com
Un scénario de qualité et une très jeune actrice remarquable rendent ce premier long métrage attachant malgré ses maladresses de style.
La Croix
Hésitant entre le réalisme social et un esthétisme maniéré, saturé de couleurs vives, ce premier long métrage de Vanessa Filho vaut principalement pour la performance de sa jeune actrice – 8 ans au moment du tournage – Ayline Aksoy-Etaix.
Ouest France
Le problème de ce premier film est qu'il faut croire en la star Marion Cotillard jouant une Loana. Pas évident.
Critikat.com
(...) c’est aussi du côté des frères Dardenne que lorgne ce naturalisme outrageusement fardé qui, sous couvert de sympathiser avec les classes populaires, fait d’elles un portrait proprement carnavalesque.
Le Figaro
La réalisatrice en fait des tonnes. Se répète et s'enlise.
Le Monde
Sélectionné dans la catégorie Un certain regard et en lice pour la Caméra d’or lors du Festival de Cannes, Gueule d’ange, le premier long-métrage de Vanessa Filho, est revenu bredouille. A raison : puisque l’idée, si bonne soit-elle, d’une gamine qui se construit en miroir de sa mère, ne décolle pas plus haut que son énonciation.
Positif
L'intérêt du film [...] réside dans la bataille d'ego impitoyable entre la diva Marion Cotillard et Ayline Aksoy-Etaix, diva de 8 ans qui va sans doute faire carrière.