Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Vincent Cassel domine le film, mais il a laissé de la place pour d’autres comédiens. Son face-à-face avec Fabrice Luchini dans la peau du politicien Fouché est un régal.
CNews
par La rédaction
Passionné d’Histoire, le réalisateur dévoile une reconstitution précise du Paris napoléonien – aux dépens parfois du montage –, ainsi que des costumes d’une grande beauté. Il aborde également l’aspect social de cette époque post-Révolution, confrontant les basfonds aux décors fastueux de l’Empire.
Closer
par La Rédaction
Un polar historique qui ne manque pas d'action, dans un Paris napoléonien très bien reconstitué.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Jean-François Richet privilégie l’épique avec un sujet qui s’y prête et une mise en scène au diapason. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas une once d’humour malvenu dans cet Empereur de Paris finalement très loquace et qui, malgré un budget XXL et une reconstitution consciencieuse (fabuleux décors !), tourne résolument le dos à la surenchère numérique et au morceau de bravoure pour préférer un récit à hauteur d’hommes, une mise en scène musclée mais classique, et une générosité qui fait écho aux grandes sagas populaires d’antan.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sous le règne de Napoléon, François Vidocq, le seul homme à s'être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des basfonds parisiens. Laissé pour mort après sa dernière évasion spectaculaire, l'ex-bagnard essaye de se faire oublier sous les traits d'un simple commerçant. On aime.
Le Point
par Philippe Guedj
Pari ambitieux, le beau film d'action historique de Jean-François Richet rend enfin justice au célèbre ex-bagnard devenu chef de la sûreté sous Bonaparte.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Elsa Badanelli
François Vidocq, bagnar évadé devenu policier, a fait jadis les beaux jours de la télévision. Le revoici sur grand écran, dirigé par Jean-François Richet, incarné par son acteur fétiche Vincent Cassel. Pour un film épique et ample, ambitieux et imparfait.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Cédric Delelée
Le spectacle est donc imparfait, mais le soin apporté à une reconstitution jamais ostentatoire et la volonté de proposer un spectacle populaire au sens le plus noble du terme sont tels qu'on lui pardonne ses handicaps narratifs.
Télé 2 semaines
par Marc Arlin
Vincent Cassel retrouve le réalisateur de "Mesrine" pour une fresque ambitieuse et spectaculaire, qui n'oublie pas la dimension humaine de son sujet.
Voici
par Daniel Blois
Le film de Jean-François Richet renoue avec les grandes figures d'un cinéma français populaire et ambitieux.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Avec quoi fait-on une police ? En ces temps sécuritaires, la question laisse planer une excitation sur le début du film. Mais L’Empereur de Paris dévale sa pente de film d’action historique sans vraiment explorer ces à-côtés.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Reconstitution démente, photo sublime, mise en scène élégante : quand le cinéma français a de l'ambition, il est capable de grandes choses.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
On peut discuter du filmage parfois un rien académique, du scénario aux dialogues plats, de cette rédemption magnifiée, du héros bien plus tragique et sombre que ne le jouait Brasseur. Mais on ne peut disputer le choix du héros : Vincent Cassel est un incontestable et puissant Vidocq, l’acteur idéal pour un héros de ce genre, de cette trempe, de ce physique.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par François Forestier
Vincent Cassel habite littéralement le rôle et le fait sien. Visage fermé, haut-de-forme incliné sur le front, l'œil aux aguets, Cassel compose un Vidocq terrible, irréductible, incisif. C'est un faucon de fer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Son film d’aventures offre un spectacle épique et une superbe reconstitution de l’époque. On regrette que le récit manque d’enjeu et se présente comme l’épisode d’exposition d’une saga à venir.
Paris Match
par Yannick Vely
Si la mise en scène est impeccable, le film souffre de n'être qu'une "origin story" qui crée Vidocq à l'écran en réduisant les seconds rôles à des faire-valoir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Le metteur en scène d'"Assaut sur le central 13" se montre toujours inspiré dans les séquences d'action. [...] Malheureusement, le scénario s'encombre de personnages qui n'ont pas le temps d'exister, de rebondissements et circonvolutions inutiles, de redites rébarbatives...
Première
par Pierre Lunn
Dans L'Empereur de Paris, Vincent Cassel redonne vie à la figure du bagnard reconverti dans un film sombre et réaliste.
Télérama
par Jacques Morice
L’incarnation et le lyrisme font trop souvent défaut à ce divertissement populaire, honnête, mais qui manque un peu d’âme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Vincent Cassel prête son charisme animal à Eugène-François Vidocq, figure légendaire du Paris des bas-fonds, dans une épopée un peu molle qui manque de puissance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Imparfait, L’Empereur de Paris n’est pour autant dénué ni d’intérêt ni d’ambition.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Beaucoup d'ambitions et moyens pour un film finalement bien sage et scolaire, qui manque cruellement de souffle et de vie. Un comble vu le personnage passionnant de Vidocq.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Le souci est que cette maestria est au service d'un scénario confondant de platitude, truffé de séquences inutiles ou cousues de fil blanc et aux personnages mal exploités, voire pas du tout.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le Paris du XIXe siècle est reconstitué avec précision, des bas-fonds grouillant de petits métiers aux dorures des palais. Est-ce ce soin de bon élève ou un scénario par trop démonstratif qui enlève un peu de sa puissance au récit ? À condition d’oublier Vincent Cassel jouant sa partition pour ne voir que Vidocq, L’Empereur de Paris dépoussière pourtant le personnage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Criminel, bagnard, mouchard, indic, chef de la sûreté aux méthodes inavouables sous l'Empire de la Restauration, espion antirévolutionnaire en 1848, il occupe depuis 1909 quelques heures plus ou moins riches du cinéma national. Vincent Cassel l'incarne aujourd'hui dans un véhicule on ne saurait plus banalisé.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Spectaculaire, sombre, souvent puissant, parfois maladroit, L'Empereur de Paris n'arrive pas à être à la mesure de sa propre ambition.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film ne manque pas de rebondissements et sa rigueur historique a du souffle. Mais la mise en scène ne parvient pas à tenir la trame suffisamment tendue, malgré l’action et les bagarres – ou à cause d’elles.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le dernier film de Jean-François Richet souffre d'un scénario indigent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Vincent Cassel, qui fut Mesrine chez le même Richet, mais avec un souffle autrement inspiré, confie qu’il lui a fallu chercher ici une « nouvelle grammaire » pour trouver une stature d’époque. C’est manqué.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Scénarisé sans imagination et mis en scène avec la délicatesse d'un pachyderme, L'Empereur de Paris déroule son intrigue improbable pendant deux heures (...).
20 Minutes
Vincent Cassel domine le film, mais il a laissé de la place pour d’autres comédiens. Son face-à-face avec Fabrice Luchini dans la peau du politicien Fouché est un régal.
CNews
Passionné d’Histoire, le réalisateur dévoile une reconstitution précise du Paris napoléonien – aux dépens parfois du montage –, ainsi que des costumes d’une grande beauté. Il aborde également l’aspect social de cette époque post-Révolution, confrontant les basfonds aux décors fastueux de l’Empire.
Closer
Un polar historique qui ne manque pas d'action, dans un Paris napoléonien très bien reconstitué.
Franceinfo Culture
Jean-François Richet privilégie l’épique avec un sujet qui s’y prête et une mise en scène au diapason. Une réussite.
La Voix du Nord
Pas une once d’humour malvenu dans cet Empereur de Paris finalement très loquace et qui, malgré un budget XXL et une reconstitution consciencieuse (fabuleux décors !), tourne résolument le dos à la surenchère numérique et au morceau de bravoure pour préférer un récit à hauteur d’hommes, une mise en scène musclée mais classique, et une générosité qui fait écho aux grandes sagas populaires d’antan.
Le Dauphiné Libéré
Sous le règne de Napoléon, François Vidocq, le seul homme à s'être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des basfonds parisiens. Laissé pour mort après sa dernière évasion spectaculaire, l'ex-bagnard essaye de se faire oublier sous les traits d'un simple commerçant. On aime.
Le Point
Pari ambitieux, le beau film d'action historique de Jean-François Richet rend enfin justice au célèbre ex-bagnard devenu chef de la sûreté sous Bonaparte.
Les Fiches du Cinéma
François Vidocq, bagnar évadé devenu policier, a fait jadis les beaux jours de la télévision. Le revoici sur grand écran, dirigé par Jean-François Richet, incarné par son acteur fétiche Vincent Cassel. Pour un film épique et ample, ambitieux et imparfait.
Mad Movies
Le spectacle est donc imparfait, mais le soin apporté à une reconstitution jamais ostentatoire et la volonté de proposer un spectacle populaire au sens le plus noble du terme sont tels qu'on lui pardonne ses handicaps narratifs.
Télé 2 semaines
Vincent Cassel retrouve le réalisateur de "Mesrine" pour une fresque ambitieuse et spectaculaire, qui n'oublie pas la dimension humaine de son sujet.
Voici
Le film de Jean-François Richet renoue avec les grandes figures d'un cinéma français populaire et ambitieux.
Cahiers du Cinéma
Avec quoi fait-on une police ? En ces temps sécuritaires, la question laisse planer une excitation sur le début du film. Mais L’Empereur de Paris dévale sa pente de film d’action historique sans vraiment explorer ces à-côtés.
CinemaTeaser
Reconstitution démente, photo sublime, mise en scène élégante : quand le cinéma français a de l'ambition, il est capable de grandes choses.
Dernières Nouvelles d'Alsace
On peut discuter du filmage parfois un rien académique, du scénario aux dialogues plats, de cette rédemption magnifiée, du héros bien plus tragique et sombre que ne le jouait Brasseur. Mais on ne peut disputer le choix du héros : Vincent Cassel est un incontestable et puissant Vidocq, l’acteur idéal pour un héros de ce genre, de cette trempe, de ce physique.
L'Obs
Vincent Cassel habite littéralement le rôle et le fait sien. Visage fermé, haut-de-forme incliné sur le front, l'œil aux aguets, Cassel compose un Vidocq terrible, irréductible, incisif. C'est un faucon de fer.
Le Journal du Dimanche
Son film d’aventures offre un spectacle épique et une superbe reconstitution de l’époque. On regrette que le récit manque d’enjeu et se présente comme l’épisode d’exposition d’une saga à venir.
Paris Match
Si la mise en scène est impeccable, le film souffre de n'être qu'une "origin story" qui crée Vidocq à l'écran en réduisant les seconds rôles à des faire-valoir.
Positif
Le metteur en scène d'"Assaut sur le central 13" se montre toujours inspiré dans les séquences d'action. [...] Malheureusement, le scénario s'encombre de personnages qui n'ont pas le temps d'exister, de rebondissements et circonvolutions inutiles, de redites rébarbatives...
Première
Dans L'Empereur de Paris, Vincent Cassel redonne vie à la figure du bagnard reconverti dans un film sombre et réaliste.
Télérama
L’incarnation et le lyrisme font trop souvent défaut à ce divertissement populaire, honnête, mais qui manque un peu d’âme.
aVoir-aLire.com
Vincent Cassel prête son charisme animal à Eugène-François Vidocq, figure légendaire du Paris des bas-fonds, dans une épopée un peu molle qui manque de puissance.
Critikat.com
Imparfait, L’Empereur de Paris n’est pour autant dénué ni d’intérêt ni d’ambition.
Ecran Large
Beaucoup d'ambitions et moyens pour un film finalement bien sage et scolaire, qui manque cruellement de souffle et de vie. Un comble vu le personnage passionnant de Vidocq.
L'Express
Le souci est que cette maestria est au service d'un scénario confondant de platitude, truffé de séquences inutiles ou cousues de fil blanc et aux personnages mal exploités, voire pas du tout.
La Croix
Le Paris du XIXe siècle est reconstitué avec précision, des bas-fonds grouillant de petits métiers aux dorures des palais. Est-ce ce soin de bon élève ou un scénario par trop démonstratif qui enlève un peu de sa puissance au récit ? À condition d’oublier Vincent Cassel jouant sa partition pour ne voir que Vidocq, L’Empereur de Paris dépoussière pourtant le personnage.
Le Monde
Criminel, bagnard, mouchard, indic, chef de la sûreté aux méthodes inavouables sous l'Empire de la Restauration, espion antirévolutionnaire en 1848, il occupe depuis 1909 quelques heures plus ou moins riches du cinéma national. Vincent Cassel l'incarne aujourd'hui dans un véhicule on ne saurait plus banalisé.
Ouest France
Spectaculaire, sombre, souvent puissant, parfois maladroit, L'Empereur de Paris n'arrive pas à être à la mesure de sa propre ambition.
Sud Ouest
Le film ne manque pas de rebondissements et sa rigueur historique a du souffle. Mais la mise en scène ne parvient pas à tenir la trame suffisamment tendue, malgré l’action et les bagarres – ou à cause d’elles.
Le Figaro
Le dernier film de Jean-François Richet souffre d'un scénario indigent.
Le Parisien
Vincent Cassel, qui fut Mesrine chez le même Richet, mais avec un souffle autrement inspiré, confie qu’il lui a fallu chercher ici une « nouvelle grammaire » pour trouver une stature d’époque. C’est manqué.
Marianne
Scénarisé sans imagination et mis en scène avec la délicatesse d'un pachyderme, L'Empereur de Paris déroule son intrigue improbable pendant deux heures (...).