Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Inspiré d'une histoire authentique devenue légendaire, le film a de la gueule et de la conviction. Voici l'invention du western masala.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’entrelacs des retours en arrière et des scènes d’action (l’essentiel est consacré au siège de la maison familiale par une bande armée et sa défense par les deux soeurs, AK47 à la main) est assez prenant pour qu’on oublie les imperfections de l’interprétation.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Malgré sa narration complexe, ce premier long métrage de Sarmad Masud tire sa force de son esthétique poétique et de son propos féministe.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Une histoire vraie dont le réalisateur fait une sorte de western où les scènes d’action restent conventionnelles. C’est le personnage de Nazo qui séduit : élevée comme un garçon, ne se contentant pas de lire le Coran, mais prenant en main sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un synopsis minimaliste se transforme en scénario alambiqué et une fusillade devient le prétexte à une rhétorique de puritanisme coranique... assurément, il faut mettre de côté nos réflexes de cinéphiles occidentaux pour profiter de la force de ce pamphlet féministe venu du Pakistan.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
On mettra sans doute en avant la bravoure de l’adolescente, défendant valeureusement les siens. Symbole féministe dans un pays patriarcal, certes. Mais ça se résume tout de même à canarder des intrus – sans avoir l’ombre du lyrisme d’un western.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un huis clos aux intentions louables mais qui souffre de longueurs et de manque d’émotion.
Première
par Christophe Narbonne
Tout était donc réuni pour faire de My pure land un western moyen-oriental au scénario digne d’une tragédie grecque : las, il trahit un léger amateurisme à tous les étages, du découpage à la direction d’acteurs, en passant par la mise en scène incapable de transcender la folle matière narrative.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Grégory Valens
[...] le réalisateur semble avoir séché les cours de découpage de son école d'audiovisuel, [...] la narration est insupportable avec tous ces flash-back mécaniques à chaque fois qu'un personnage apparaît ou disparaît, [...] dans les scènes d'action on ne comprend rien à ce qui se passe.
L'Obs
Inspiré d'une histoire authentique devenue légendaire, le film a de la gueule et de la conviction. Voici l'invention du western masala.
Le Monde
L’entrelacs des retours en arrière et des scènes d’action (l’essentiel est consacré au siège de la maison familiale par une bande armée et sa défense par les deux soeurs, AK47 à la main) est assez prenant pour qu’on oublie les imperfections de l’interprétation.
Les Fiches du Cinéma
Malgré sa narration complexe, ce premier long métrage de Sarmad Masud tire sa force de son esthétique poétique et de son propos féministe.
Télérama
Une histoire vraie dont le réalisateur fait une sorte de western où les scènes d’action restent conventionnelles. C’est le personnage de Nazo qui séduit : élevée comme un garçon, ne se contentant pas de lire le Coran, mais prenant en main sa vie.
aVoir-aLire.com
Un synopsis minimaliste se transforme en scénario alambiqué et une fusillade devient le prétexte à une rhétorique de puritanisme coranique... assurément, il faut mettre de côté nos réflexes de cinéphiles occidentaux pour profiter de la force de ce pamphlet féministe venu du Pakistan.
L'Humanité
On mettra sans doute en avant la bravoure de l’adolescente, défendant valeureusement les siens. Symbole féministe dans un pays patriarcal, certes. Mais ça se résume tout de même à canarder des intrus – sans avoir l’ombre du lyrisme d’un western.
Le Journal du Dimanche
Un huis clos aux intentions louables mais qui souffre de longueurs et de manque d’émotion.
Première
Tout était donc réuni pour faire de My pure land un western moyen-oriental au scénario digne d’une tragédie grecque : las, il trahit un léger amateurisme à tous les étages, du découpage à la direction d’acteurs, en passant par la mise en scène incapable de transcender la folle matière narrative.
Positif
[...] le réalisateur semble avoir séché les cours de découpage de son école d'audiovisuel, [...] la narration est insupportable avec tous ces flash-back mécaniques à chaque fois qu'un personnage apparaît ou disparaît, [...] dans les scènes d'action on ne comprend rien à ce qui se passe.