Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Film subtilement moral, conte initiatique détraqué, satire jouissive, "In Fabric", laisse difficilement indifférent, à condition d’en apprécier les vertus. A l'image de cet habit magique, il devient impossible de s’en défaire. Précieux, original, sophistiqué, inventif… Grand.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Voici
par V.C.
Un film-objet aussi séduisant que terrifiant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film culotté et dérangeant ne ménage pas le spectateur tant ce morceau d’étoffe rouge dissimule de pouvoirs maléfiques.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
L’histoire d’une robe tueuse ? "In Fabric", œuvre du réalisateur anglais Peter Strickland, est aussi tordue qu’intrigante. Et très habitée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Plutôt que de livrer un hommage vain aux cinéastes qu'il adule, Peter Strickland transforme les codes horrifiques chers à Argento en une turbine absurde, dont la folie et la beauté plastique fonctionnent comme une irrésistible liqueur sur le cerveau du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"In Fabric" est un OVNI ou un OFNI (objet filmique non identifié) tant il est déroutant. Dans son image, mais aussi son scénario, déconcertant et enchanteur si l’on s’y laisse prendre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Marcos Uzal
"In Fabric" est visuellement très soigné et son scénario malignement agencé, mais il est surtout sauvé par une chose : son humour.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Comme libéré de ses huis clos corsetés, le cinéma de Peter Strickland entre dans une autre dimension, plus généreuse avec son spectateur.
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Derrière cette succession de séquences aussi séduisantes que perturbantes, se dessine une critique du culte du corps et de la vulgarité de la société de consommation.
Première
par Frédéric Foubert
In Fabric est tellement chic et singulier qu’il ferait presque passer The Neon Demon pour du prêt-à-porter.
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
Ultra-stylisé avec ses couleurs et ses sons typiques des années 80, le film désoriente et fascine tout à la fois, choque aussitôt qu'il le peut - trop souvent juste pour le plaisir - et fait naître une gêne désagréable et grandissante mâtinée d'une envie de rire qui n'est pas toujours intentionnelle.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’intrigue perd en puissance dans sa seconde partie, mais le mystère de la malédiction reste entier.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Fantaisie conceptuelle, plongée cauchemardesque, le film de Peter Strickland vient rappeler à quel point l’imaginaire cinématographique le plus débridé n’a de prix que lorsqu’il ne perd jamais de vue l’expérience humaine.
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
En tentant de mélanger le Dario Argento de "Suspiria" avec une tradition anglaise du “kitchen sink drama”, Peter Strickland livre une nouvelle preuve de l’étrangeté et du potentiel de ce nouveau cinéma britannique, représenté par lui et Ben Wheatley.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Du cinéma d'esthète très loin du prêt à porter.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
La trivialité et la violence du genre s’évaporent dans des volutes baroques assez belles à voir mais qui finissent par rendre l’exercice de style un peu vain.
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur de The Duke Of Burgundy semble s’être amusé comme un petit fou à coudre ses fils narratifs dans une matière lynchéenne. Mais on ne peut s’empêcher de s’interroger devant son long-métrage: l’a-t-il confectionné pour le spectateur ou pour lui-même, afin de rompre une malédiction?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Philippe Rouyer
Cet ensemble d'abord réjouissant finit par tourner à vide.
Télérama
par Samuel Douhaire
La mise en scène est, comme d’habitude, brillamment stylisée et la bande-son impressionne par ses ambiances fantastiques… jusqu’à un curieux changement de personnage principal, beaucoup moins intéressant, à mi-parcours. Et sur près de deux heures, le fétichisme et l’hyperformalisme de Strickland, aussi fascinants soient-ils, finissent par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Quand il s'agit de donner chair à son propos, In Fabric se défile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un pastiche sans style et sans élégance, qui prête à des fous rires embarrassés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Culturopoing.com
Film subtilement moral, conte initiatique détraqué, satire jouissive, "In Fabric", laisse difficilement indifférent, à condition d’en apprécier les vertus. A l'image de cet habit magique, il devient impossible de s’en défaire. Précieux, original, sophistiqué, inventif… Grand.
Voici
Un film-objet aussi séduisant que terrifiant.
20 Minutes
Ce film culotté et dérangeant ne ménage pas le spectateur tant ce morceau d’étoffe rouge dissimule de pouvoirs maléfiques.
Bande à part
L’histoire d’une robe tueuse ? "In Fabric", œuvre du réalisateur anglais Peter Strickland, est aussi tordue qu’intrigante. Et très habitée.
Ecran Large
Plutôt que de livrer un hommage vain aux cinéastes qu'il adule, Peter Strickland transforme les codes horrifiques chers à Argento en une turbine absurde, dont la folie et la beauté plastique fonctionnent comme une irrésistible liqueur sur le cerveau du spectateur.
Franceinfo Culture
"In Fabric" est un OVNI ou un OFNI (objet filmique non identifié) tant il est déroutant. Dans son image, mais aussi son scénario, déconcertant et enchanteur si l’on s’y laisse prendre.
Libération
"In Fabric" est visuellement très soigné et son scénario malignement agencé, mais il est surtout sauvé par une chose : son humour.
Mad Movies
Comme libéré de ses huis clos corsetés, le cinéma de Peter Strickland entre dans une autre dimension, plus généreuse avec son spectateur.
Marie Claire
Derrière cette succession de séquences aussi séduisantes que perturbantes, se dessine une critique du culte du corps et de la vulgarité de la société de consommation.
Première
In Fabric est tellement chic et singulier qu’il ferait presque passer The Neon Demon pour du prêt-à-porter.
L'Ecran Fantastique
Ultra-stylisé avec ses couleurs et ses sons typiques des années 80, le film désoriente et fascine tout à la fois, choque aussitôt qu'il le peut - trop souvent juste pour le plaisir - et fait naître une gêne désagréable et grandissante mâtinée d'une envie de rire qui n'est pas toujours intentionnelle.
Le Journal du Dimanche
L’intrigue perd en puissance dans sa seconde partie, mais le mystère de la malédiction reste entier.
Le Monde
Fantaisie conceptuelle, plongée cauchemardesque, le film de Peter Strickland vient rappeler à quel point l’imaginaire cinématographique le plus débridé n’a de prix que lorsqu’il ne perd jamais de vue l’expérience humaine.
Les Fiches du Cinéma
En tentant de mélanger le Dario Argento de "Suspiria" avec une tradition anglaise du “kitchen sink drama”, Peter Strickland livre une nouvelle preuve de l’étrangeté et du potentiel de ce nouveau cinéma britannique, représenté par lui et Ben Wheatley.
Ouest France
Du cinéma d'esthète très loin du prêt à porter.
Cahiers du Cinéma
La trivialité et la violence du genre s’évaporent dans des volutes baroques assez belles à voir mais qui finissent par rendre l’exercice de style un peu vain.
Le Figaro
Le réalisateur de The Duke Of Burgundy semble s’être amusé comme un petit fou à coudre ses fils narratifs dans une matière lynchéenne. Mais on ne peut s’empêcher de s’interroger devant son long-métrage: l’a-t-il confectionné pour le spectateur ou pour lui-même, afin de rompre une malédiction?
Positif
Cet ensemble d'abord réjouissant finit par tourner à vide.
Télérama
La mise en scène est, comme d’habitude, brillamment stylisée et la bande-son impressionne par ses ambiances fantastiques… jusqu’à un curieux changement de personnage principal, beaucoup moins intéressant, à mi-parcours. Et sur près de deux heures, le fétichisme et l’hyperformalisme de Strickland, aussi fascinants soient-ils, finissent par lasser.
Critikat.com
Quand il s'agit de donner chair à son propos, In Fabric se défile.
L'Obs
Un pastiche sans style et sans élégance, qui prête à des fous rires embarrassés.