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Florilèges
1 critique
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5,0
Publiée le 19 septembre 2018
Blackklansman, dernière réalisation de Spike Lee (« He got game », « Malcolm X »…), s’attache à nous raconter la véritable histoire de Ron Stallworth, policier afro-américain au sein du Colorado Springs Police Department qui, dans les années 1970 se met en tête d’infiltrer le Ku Klux Klan, groupe suprémaciste blanc et de dénoncer ses exactions. Spike Lee traite donc de cette véritable histoire à la manière des comédies policières des années 1980 ce qui ne l’empêche en aucun cas d’être extrêmement engagée.
Lisez la suite de ma critique ici: https://florilegeseclou.com/2018/09/18/blackkklansman-ou-comment-le-ku-klux-klan-sest-fait-berner/
Ce biopic nous apprends sur une histoire vrai mais assez incroyable d’un afro-américain qui a su intégrer le klu-klux -klan. Mais avant tout il véhicule un message contre la haine entre le peuple noir et le peuple blanc au court des années 70. Ce qui est triste est de constater à la fin que finalement rien à changer. L’ambiance et interprétation est excellente. Seul ombre au tableau, par manque d’actions les 2h15 de ce film peuvent paraître un peu longue.
Quelle réalisation intelligente ! Les acteurs sont au top, le scénario bien écrit ! Même si certaines répliques sont dures à entendre il fallait cette confrontation.
En racontant l'histoire vraie d'un policier noir ayant réussi à infiltrer une section locale du Ku Klux Klan dans les années 70, Spike Lee nous offre un pamphlet politique dans lequel il s'en prend - c'est la seule réussite de son entreprise - à Donald Trump, l'accusant d'atténuer, voire de légitimer le discours des suprémacistes blancs aux États-Unis. Hélas le cinéaste de la cause afro-américaine nous livre ici un film raté et brouillon, qui oscille entre comédie et drame sans jamais nous faire rire ni nous émouvoir, qui multiplie les situations invraisemblables, qui est souvent ennuyant, qui ne parvient que trop rarement à trouver le bon ton, et surtout qui en fait des tonnes pour délivrer son message, quitte à prendre ses spectateurs pour des imbéciles. Un peu faible pour un Grand Prix du Festival de Cannes 2018.
Ancré dans la réalité socio-historique de l'époque, Spike Lee y ajoute une dénonciation politique contemporaine. Alternant entre humour, codes du genre policier et tonalité désabusée, il nous interroge également sur l'identité (tant spirituelle que civile) et l'embrigadement. Interprété sans fioriture (malgré certains costumes et coiffures!), ce film vaut aussi pour son absence de manichéisme ou de simplisme. Une vraie réussite!
On est dans du cinéma de propagande qui culmine avec la séquence du meeting de l’un des fondateurs des Black Panthers, Stokely Carmichael. Le flic Ron Stallworth, brillamment campé par John David Washington, semble avoir une épiphanie en écoutant le leader charismatique, et Spike Lee filme la séquence comme une expérience mystique, avec flashs de lumière et musique biblique. L’évangile selon Saint Spike ! C’est assez gênant, naïf, et si on s’intéresse un peu à l’histoire, plutôt édifiant. De fait, Stokely Carmichael, qui avait intelligemment théorisé le « racisme institutionnel » des USA, a quand même déclaré en 1970 qu’Adolf Hitler était un… génie. « I have never admired a white man, but the greatest of them, to my mind, was Hitler » (cité dans le New York Times). Autant pour le saint homme de Spike Lee qui éveille les consciences dans BlacKkKlansman. Et pour la crédibilité et la probité ce film en forme de tract militant caricatural. Sur le plan formel, la partie comédie très Starsky & Hutch, ne fonctionne jamais, l’histoire d’amour entre le gentil flic black et la jeune activiste est bancale, le montage brouillon, la musique tonitruante, la mise en scène asthmatique…
film hyper décevant, supposé montrer d'une part la face horrible du ku ku klan et d'autre part l'infiltration intelligente de cette organisation par un policier. On a droit à une série B sans aucune démonstration de force, aucun suspens, un rythme d'une lenteur épouvantable. concernant le ku ku klan, si on a vu Mississipi Burning, le Blackkklansman est très en deçà et ne mérite pas d'étoile. Je ne supporte pas les films prétentieux avec effet d'annonce et le spectateur se retrouve piégé à subir des conversations à la longue et aucune mise en scène. Je suis parti avant la fin tellement je m'ennuyais.
Beaucoup de critiques très positives et d'autre très négatives. Perso film moyen, ne mérite pas d'être vu au Cinéma. De gros clichés, c'est pas la franche rigolade, film lent. Les acteurs ne sont pas mauvais heureusement. J'ai trouvé l'acteur jouant Walter plutôt convaincant.
VU Blackkklansman Le dernier Spike Lee jette en lumière l’histoire méconnue de cet inspecteur noir qui infiltre avec une petite équipe l’organisation raciste du Klan. Lorgnant tantôt chez Tarantino, Sydney Lumet et Michael Moore.La musique est inappropriée.Une histoire d’amour insipide. De l’ennui (2H16) . Le profil des personnages est tellement bâclé que cela devient contre-productif : les hommes du Klan sont tellement balourds qu’ils peinent à représenter une menace. Les racistes sont évidemment des gros benêts complètement débiles. Par contre toute la communauté noire du film est représentée par des gens exceptionnelles! Cependant la réalisation dynamique et la reconstitution année 70 est intéressante. 2/5
Jubilatoire de bout en bout, le dernier film de Spike Lee est aussi un film formidablement scénarisé qui trouve un écho toujours aussi inquiétant dans l'actualité récente des États-Unis. Le travail sur la bande-son et la BO ajoutent à la qualité documentaire du long-métrage.
Film très lent, c'est la première fois que j'ai envie de sortir de la salle avant la fin du film. C'est pourtant un sujet poignant mais l'histoire est trop simpliste, je ne recommande pas. Attendez qu'il sorte à la télé pour le voir sur vos petits écrans, ça ne vaut pas le coup de payer une place de cinéma pour ce film.
Basé sur un fait réel qu'on aurait presque jamais cru, les racistes se font prendre à leurs propres jeux. Spike lee à déclaré : "Je n'ai jamais souhaité que mon film soit une comédie.", mais comment peut-on croire çà quant on entend les scripts de nos héros, les situations et autres réactions. Tout est orchestrer pour que cette trame dramatique soit comique sur bien des moments. Il est vrai que l'extrait d' "Autant en emporte le vent" n'est pour moi pas une grande obligation car je n'vois absolument pas le rapport entre ce film et le contenue racial du film. Seul la prise de vue à moitié aérienne sur l'un des nombreux drapeaux d'état américain fait la parfaite liaison avec la prise suivante. Mais sinon, aucune utilité. Puis, infiltrer l'organisation la plus raciste au monde et si c'n'est pas quasi terroriste, par un noir mais constamment représenté par un blanc, fallait franchement y penser. spoiler: Puis, la scène du détecteur de mensonges avec notre flic blanc fût presque terrifiante, pointer une arme prête à fonctionner pour se prouver non juif est très extrême. Un film sur le racisme, la haine pur et dur, l'anti mélange social, un script méritant de loin un -12 tellement les mots sont si j'ose dire "bien choisi". Une virée terrifiante mais bien réelle dans cette mafia ultra raciste ou l'on est plonger dans ses racines dès le berceau. Mais dommage que les manifestations ou autres rassemblements public n'est pas été montrer car çà aurait largement donné du tonus au contenu. spoiler: Par contre, parfaite conclusion avec les vidéos d'archives de 2017 avec ces chocs entre blancs et noirs, le meurtre bien visible et malheureusement bien filmer avec la mustang, et notre TRUMP non national qui ose dire que parmi les participants au Klan se trouve des gens bien.
Le dernier pamphlet de Spike lee, qui raconte comment un policier noir a infiltré le kkk clan, un film politique, quelques longueurs, on comprend le message que veux faire passer Spike lee et la dénonciation de l'administration Trump, on rigole souvent dans ce film pour dédramatiser la situation, j'ai apprécié ce film et donné envie de me documenter, et oui c'est tiré d'une histoire vraie, ma note 13/20