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Votre avis sur BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan ?
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Un thème monstrueux traité avec de l’humour et de l’ironie. Le réalisateur a le don de nous emmener tellement loin que l’on oublie qu’il s’agit d’un biopic romancé. Mais le retour a la réalité est abrupte. Magnifique.
A trop vouloir prouver, on ne prouve rien du tout. Ce film est mauvais du début et surtout à la fin où les cinq dernières minutes sont de l'anti-Trump primaire qui tombe comme les cheveux sur la soupe. Le début était pourtant prometteur, mais très vite le scénario s'embrouille et veux nous faire avaler des couleuvres. Pourquoi infiltrer le KKK avec deux personnes ayant la même identité un noir et un blanc. Totalement non crédible. Les bobos vont adorer ce film manichéen où les bons noirs sont maltraités par les méchants blancs
Drôle, original, irrévérencieux, intriguant, militant : tout simplement le chef d'œuvre de Spike Lee !
Film visuellement assez moche. La musique est inappropriée. Une histoire d'amour insipide au déroulement caricatural et irréaliste. De l'ennui. Des personnages d'extrême droite caricaturaux au possible. Des images de différentes époques qui s'entrechoquent laidement. Une charge Anti-Trump ridicule (pourtant, je hais le personnage), etc.
C'est un Spike Lee inspiré que l'on retrouve au travers de Blackkklansman, l'histoire improbable d'un policier noir qui parvient à infiltrer le KKK. Beaucoup d'adjectifs pourraient être utilisés pour décrire cette oeuvre très riche, qui peut se montrer drôle et stressante à la fois, parfois peu fluide, étrange ou (délibérément) exagérée, mais toujours gonflée de cette flamme revendicatrice dans laquelle le réalisateur excelle et qui donne lieu à des scènes mémorables. Un véritable excercice de style, en somme, que j'ai beaucoup aimé, même sans pouvoir saisir toutes les références à la culture afro-américaine. Des films comme celui-ci, j'en redemande !
Au delà de la prise de position du réalisateur militant Spike Lee, notamment dans le générique de fin avec des images réelles qui sortent de la fiction et qui sont présentées d'un angle bien précis, ce qui est surprenant car ce n'est pas présenté comme un documentaire et ça ne fait pas de lien direct avec l'histoire dans le sens strict du terme. Mais passons à la fiction ce qui nous intéresse ici. Quelle déception ! Qui dit déception, dit attente et personnellement j'en avais ! Surtout quand on voit la bande annonce, qu'on regarde le synopsis et qu'on observe le titre ! "J'ai infiltré le Ku Klux Klan", on s'attend à un film palpitant, un bon gros thriller avec en plus le fils de Denzel, ça promettait ! Et bien c'est une mauvaise surprise. Le film est totalement plat, il ne se passe absolument rien.
spoiler:
Ah un moment il y aurait peut être un feu de poubelle ou une biche tuée dans la foret (rires)
Un très mauvais scénario, sans recherche, sans éclat. Niveau casting je l'ai trouvé mauvais, non pas que les acteurs le soient, mais mal choisi selon les personnages, surtout pour le rôle Flip Zimmerman. Pour les débuts de John David Washington, il a du charisme mais son rôle était sans relief, il faut le voir dans d'autres films pour se faire un réel avis mais il peut devenir bon. L'ambiance année 70 a été effleuré également. Réalisation passable. Je ne recommande pas ce film, tout y est moyen d'ou la note de 2,5.
Un très mauvais scénario, sans recherche, sans éclat. Niveau casting je l'ai trouvé mauvais, non pas que les acteurs le soient, mais mal choisi selon les personnages, surtout pour le rôle Flip Zimmerman. Pour les débuts de John David Washington, il a du charisme mais son rôle était sans relief, il faut le voir dans d'autres films pour se faire un réel avis mais il peut devenir bon. L'ambiance année 70 a été effleuré également. Réalisation passable. Je ne recommande pas ce film, tout y est moyen d'ou la note de 2,5.
film hyper décevant, supposé montrer d'une part la face horrible du ku ku klan et d'autre part l'infiltration intelligente de cette organisation par un policier.
On a droit à une série B sans aucune démonstration de force, aucun suspens, un rythme d'une lenteur épouvantable.
concernant le ku ku klan, si on a vu Mississipi Burning, le Blackkklansman est très en deçà et ne mérite pas d'étoile.
Je ne supporte pas les films prétentieux avec effet d'annonce et le spectateur se retrouve piégé à subir des conversations à la longue et aucune mise en scène.
Je suis parti avant la fin tellement je m'ennuyais.
On a droit à une série B sans aucune démonstration de force, aucun suspens, un rythme d'une lenteur épouvantable.
concernant le ku ku klan, si on a vu Mississipi Burning, le Blackkklansman est très en deçà et ne mérite pas d'étoile.
Je ne supporte pas les films prétentieux avec effet d'annonce et le spectateur se retrouve piégé à subir des conversations à la longue et aucune mise en scène.
Je suis parti avant la fin tellement je m'ennuyais.
Nouveau film de Spike Lee, présenté en mai dernier à Cannes. Infiltration au sein du Ku klux klan avec humour et talent, on découvre ici l’acteur John David Washington, fils de l’immense Denzel Washington. Accompagnée de l’irrésistible Adam Driver, l’alchimie fonctionne parfaitement. Cependant, la trumperie ne dure qu’un temps.
Sympa à regarder... Ce film traite d'un sujet sensible avec beaucoup d'humour et sans jamais être vulgaire ou ridicule. Cependant, je l'ai trouvé un peu long et mou.
Je vous déconseille ce film pour deux raisons simples :
_ L'histoire est plate, pleine de longueurs inutiles, et avec très peu d'humour. L'intrigue est amenée lentement, et il y a vraiment peu de choses interessantes dans son contenu.
_ La manière dont est présentée la situation sociétale est plus que caricaturale, sans recul, et extrêmement politisée. Plutôt du côté démocrate : les blancs racistes représentent une grande partie de la population américaine, il s'agit d'idiots impulsifs en mode redneck qui persecutent sans cesse la population noire. De l'autre coté, des noirs civilisés, instruits et contraint au racisme "doux" par les méchants blancs afin de se défendre. Et pour terminer en beauté, le parallèle est fait avec l'Amerique d'aujourd'hui en plaçant les slogants de Trump dans la bouche du chef du KKK, et en dédiant les 5 dernieres minutes à placer des images opportunes au cas où vous n'aviez pas compris que les blancs racistes sont toujours là en majorité et les noirs persecutés.
Bref, déçu.
_ L'histoire est plate, pleine de longueurs inutiles, et avec très peu d'humour. L'intrigue est amenée lentement, et il y a vraiment peu de choses interessantes dans son contenu.
_ La manière dont est présentée la situation sociétale est plus que caricaturale, sans recul, et extrêmement politisée. Plutôt du côté démocrate : les blancs racistes représentent une grande partie de la population américaine, il s'agit d'idiots impulsifs en mode redneck qui persecutent sans cesse la population noire. De l'autre coté, des noirs civilisés, instruits et contraint au racisme "doux" par les méchants blancs afin de se défendre. Et pour terminer en beauté, le parallèle est fait avec l'Amerique d'aujourd'hui en plaçant les slogants de Trump dans la bouche du chef du KKK, et en dédiant les 5 dernieres minutes à placer des images opportunes au cas où vous n'aviez pas compris que les blancs racistes sont toujours là en majorité et les noirs persecutés.
Bref, déçu.
Fêtons le cinéma
BlacKkKlansman n’a de la comédie que l’enrobage et du pamphlet politique que la haine sourde et navrante. Car on ne rit jamais devant ce triste spectacle mis en scène avec un je-m’en-foutisme désarmant, n’ayant pour se tirer d’embarras que la prestation de ses acteurs, elle tout à fait convaincante. La caricature ne fonctionne pas et ne restitue jamais à l’époque traitée son souffle si particulier où âpreté et élans libertaires se mêlaient de façon étroite. Adopter une approche farcesque, non loin de la pochade pure et dure, apparaît comme le contre-sens ultime, la preuve que Spike Lee privilégie bassesses et vulgarités pour aborder les bassesses et les vulgarités des antagonistes représentés. Cet extrémisme a même le défaut de rendre inoffensifs les monstres qu’il dénonce, petits pantins pas futés et que l’on manipule avec une aisance incroyable. La compilation d’images d’archives en guise de clausule achève le ridicule d’une œuvre aussi maladroite que haineuse, récompensée dans les festivals davantage par conformisme idéologique que pour ses qualités intrinsèques. Quand le racisme d’une époque devient prétexte au contre-racisme d’une autre. Une honte.
déception pour ce film tant attendu.
le sujet est traité sous un angle mal choisi. Le film qui se voulait historique/dramatique tend à de nombreux passages vers la comédie humoristique, du coup je n'ai ressenti aucune émotion.. On se croit dans une parodie, pour un film retraçant de faits si graves (et toujours d'actualité), c'est mal venu je trouve. Je n'ai pas appris grand chose sur l'Histoire, dommage le sujet est pourtant très intéressant..
le sujet est traité sous un angle mal choisi. Le film qui se voulait historique/dramatique tend à de nombreux passages vers la comédie humoristique, du coup je n'ai ressenti aucune émotion.. On se croit dans une parodie, pour un film retraçant de faits si graves (et toujours d'actualité), c'est mal venu je trouve. Je n'ai pas appris grand chose sur l'Histoire, dommage le sujet est pourtant très intéressant..
Quel manque de rythme, trop long et pourtant je n'ai rien contre les films de 2 heures voire 3 mais il aurait vraiment fallu un montage plus resserré.
Déçue. Traitement trop lisse, trop ennuyeux. Beaucoup de longueurs. Dommage pour un film qui milite pour une noble cause.
On avoue avoir été un peu déçu. La force du récit ne suffit pas, malgré la vraisemblance du scénario tiré d'une histoire vraie, à donner une totale crédibilité à l'histoire, faute peut-être de n'avoir pas su se départir d'un traitement mi-farce mi-comédie. In fine, le grotesque de la situation se retourne un peu contre le film et on se demande, avec les images d'actualité de la fin du film, s'il ne s'agissait pas finalement, comme souvent avec S. LEE, d'habiller un message essentiellement politique.Mississipi Burning de Alan Parker, en 1988, était bien plus percutant dans le même registre. Dommage.
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