BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan : Critique presse
BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan
Note moyenne
3,7
35 titres de presse
Charlie Hebdo
Franceinfo Culture
L'Express
La Voix du Nord
Rolling Stone
Studio Magazine
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
Femme Actuelle
L'Humanité
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Le Parisien
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Libération
Télé Loisirs
Télérama
Ecran Large
L'Obs
La Croix
La Septième Obsession
Le Journal du Geek
Les Inrockuptibles
Première
Transfuge
aVoir-aLire.com
Marianne
Ouest France
Positif
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Charlie Hebdo
par R. McL. Wilson
"BlacKkKlansman" est un drôle d'animal. Farceur, sérieux, basé sur une histoire vraie, mais d'une inventivité tordante.
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
En s'appuyant comme toujours sur une bande musicale d'exception, Spike Lee ne sacrifie jamais l'intérêt du thriller à celui du pamphlet. Il réussit à proposer un vrai film d'action, parfois proche du buddy-movie, mais un film d'action qui suscite la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Le coup de poing de Lee est d'autant plus efficace qu'il utilise à fond l'imagerie des années 1970 (costards, musique...), mariée ici à une mise en scène moderne (récit rapidement emballé, références souriantes...).
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Le réalisateur américain renoue avec ses sujets fétiches et signe un pamphlet sans concession contre le racisme.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Sans rogner sur son intégrité mais tout en se voulant accessible et entertainer, Blackkklansman s’impose comme l’un des points d’orgue de la filmographie de Spike Lee, aux côtés de son Miracle à Santa-Anna qui se déroule quant à lui en Italie fasciste.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Magazine
par Sophie Benamon
[...] Spike Lee réussit surtout un grand film où l'humour le dispute à l'horreur, où l'action vient emballer le discours. Comme si toutes les étapes de sa filmographie éclectique se trouvaient réunies.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur a teinté ce polar militant d’une bonne dose d’humour en jonglant entre suspense (Stallworth et son collègue parviendront-ils à empêcher un attentat visant la communauté afro-américaine ?) et la description des membres du KKK.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
En coulant une histoire rassurante dans une réalité terrifiante, Spike Lee nous rassemble pour rire de ce dont on ne peut plus rire, provoquant la bonne humeur et la disponibilité avant la douche froide qui nous renverra dans le monde non pas apaisé, mais traversé de questions et de révolte. Nous n’en attendions pas moins de lui.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Aux grands maux, les grands remèdes : Spike Lee revient avec une charge anti-Trump très incisive.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Spike Lee est de retour avec une farce politique féroce.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Violent, vindicatif, politique, militant, sans concession, ironique... Le nouveau film de Spike Lee nous prouve que le réalisateur n'a rien perdu de sa pugnacité.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Surréaliste et jubilatoire, un film à charge contre l'oppression et le racisme servi par des dialogues savoureux.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Spike Lee signe une farce politique intelligente et jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le réalisateur américain Spike Lee signe son retour au premier plan.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
À l’écran, Spike Lee tempère sa colère par l’humour et n’hésite pas à être parfois un peu démonstratif. Mais tous les moyens sont bons pour dénoncer avec virulence le racisme, l’oppression, la violence et la corruption aux États-Unis [...].
Le Monde
par Clarisse Fabre
Spike Lee fait plus qu’adapter cette histoire stupéfiante : il relie ces années de lutte des Noirs américains à l’actualité, à l’Amérique de Donald Trump et au mouvement Black Lives Matter qui se bat aujourd’hui contre les groupuscules néonazis, les suprémacistes blancs et autres klansmen.
Le Parisien
par La Rédaction
Souvent très drôle, volontairement provocateur, le film n’en demeure pas moins plein de suspense, radical et militant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par David Mikanowski
Spike retrouve donc l'inspiration avec ce thriller à l'atmosphère tendue. Mais il réapparaît surtout là où on ne l'attendait pas : sur le terrain de l'humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Quintessence du cinéma de Spike Lee, le film jette, avec humour et irrévérence, des ponts entre Amérique passée et présente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
Les ruptures de ton et le trait volontiers protéiforme, à défaut d’être fin, de Spike Lee siéent à ravir à ce scénario initialement destiné à Jordan Peele [...], dont les préoccupations pour les paradoxes identitaires et les travers de l’assimilation s’enrobent ici sans mal des signatures stylistiques de Lee et d’un joyeux décorum seventies.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par H.S.P.
Sur le ton de la comédie policière et malgré des failles scénaristiques, Spike Lee conte avec panache cette histoire vraie.
Télérama
par Guillemette Odicino
Sublimes images d’une puissance qui vaut tous les manifestes. C’est à ces visages-là que l’on pense, à la fin du film, lorsque le réalisateur rappelle les manifestations d’extrême droite de Charlottesville, en 2017. Après avoir beaucoup ri face à la bêtise la plus crasse et la plus dangereuse, l’envie prend, soudain, de lever le poing.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Avec "BlacKkKlansman", Spike Lee retrouve un peu de sa puissance d'antan, et rappelle son talent lorsqu'il va à fond dans l'humour et la violence. Dommage qu'il ne soit pas féroce sur la durée du film, et ne semble pas en pleine maîtrise de son récit et ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
S'il renoue avec la colère politique de ses débuts, le réalisateur de "Jungle Fever" n'a plus la même niaque. Il a toujours eu la main lourde, il l'a ici trop lâche pour hisser son film à la hauteur de sa démonstration.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un manifeste drôle et jubilatoire contre l’Amérique de Trump, qui tourne rapidement au réquisitoire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
En faisant coexister l’image et le son que l’Histoire séparait, le cinéma la réécrit sous une forme non seulement drôle - et l’humour, chez Spike Lee, est une arme, comme tout le reste -, mais intelligible, lisible dans la seule image : l’expression sur le visage de Stallworth, mêlant stupéfaction, colère froide, rire jaune coincé dans la gorge, montre au milieu de la déferlante verbale, comm un phare dans la brume, tout ce qu’il y a à comprendre du moment.
Le Journal du Geek
par Henri Lahera
Si le long-métrage oscille parfois trop entre revendication et comédie, il fait souvent mouche grâce à un casting solide et des références inspirées. Féroce et sans ambages, sa dénonciation du racisme aux États-Unis nous parait malgré tout moins habile que celle des récents Get Out ou Detroit, tous deux sortis en 2017. On pouvait s’y attendre, même si on passe un bon moment devant la dernière colère de Mr. Lee.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce n’est pas un chef-d’œuvre, mais le comique est quand même ce qu’on a encore trouvé de mieux pour ridiculiser les imbéciles et les ordures.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
D’une histoire 70’s à dormir debout, Spike Lee tire un thriller carburant (un peu trop) aux ruptures de ton.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] la mise en scène, appuyée, solennelle, hésite entre hommage à la black culture des seventies et film à thèse au premier degré. Le film ne rend donc jamais justice à la vélocité, au sens du timing, que possède le script. Dommage tant ces dialogues si mal servis sont brillants.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un pamphlet anti-Trump qui ne fait pas dans la demi-mesure, et qui s’avère même franchement lourdingue. Heureusement, l’aspect polar, aux relents kitsch et burlesques, fonctionne bien, porté par un casting de choc.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une comédie sans colère ni grâce. Rendez-nous le génie Lee !
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film drôle, enlevé et bien joué. Le problème, c'est qu'on passe du Starsky et Hutch rigolo à la démonstration politique avec un côté donneur de leçon.
Positif
par Olivier De Bruyn
Spike Lee met en scène l'histoire de ces deux infiltrés avec une légèreté surprenante, un dilettantisme un rien inconséquent et n'évoque le contexte de l'époque que comme une toile de fond anodine.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Lee n’assume pas véritablement le sous-genre auquel il se frotte ici (le buddy-movie policier), perdant au passage de vue que la légèreté de ton l’emporte souvent sur le volontarisme le mieux intentionné.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Charlie Hebdo
"BlacKkKlansman" est un drôle d'animal. Farceur, sérieux, basé sur une histoire vraie, mais d'une inventivité tordante.
Franceinfo Culture
En s'appuyant comme toujours sur une bande musicale d'exception, Spike Lee ne sacrifie jamais l'intérêt du thriller à celui du pamphlet. Il réussit à proposer un vrai film d'action, parfois proche du buddy-movie, mais un film d'action qui suscite la réflexion.
L'Express
Le coup de poing de Lee est d'autant plus efficace qu'il utilise à fond l'imagerie des années 1970 (costards, musique...), mariée ici à une mise en scène moderne (récit rapidement emballé, références souriantes...).
La Voix du Nord
Le réalisateur américain renoue avec ses sujets fétiches et signe un pamphlet sans concession contre le racisme.
Rolling Stone
Sans rogner sur son intégrité mais tout en se voulant accessible et entertainer, Blackkklansman s’impose comme l’un des points d’orgue de la filmographie de Spike Lee, aux côtés de son Miracle à Santa-Anna qui se déroule quant à lui en Italie fasciste.
Studio Magazine
[...] Spike Lee réussit surtout un grand film où l'humour le dispute à l'horreur, où l'action vient emballer le discours. Comme si toutes les étapes de sa filmographie éclectique se trouvaient réunies.
20 Minutes
Le réalisateur a teinté ce polar militant d’une bonne dose d’humour en jonglant entre suspense (Stallworth et son collègue parviendront-ils à empêcher un attentat visant la communauté afro-américaine ?) et la description des membres du KKK.
Cahiers du Cinéma
En coulant une histoire rassurante dans une réalité terrifiante, Spike Lee nous rassemble pour rire de ce dont on ne peut plus rire, provoquant la bonne humeur et la disponibilité avant la douche froide qui nous renverra dans le monde non pas apaisé, mais traversé de questions et de révolte. Nous n’en attendions pas moins de lui.
CinemaTeaser
Aux grands maux, les grands remèdes : Spike Lee revient avec une charge anti-Trump très incisive.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Spike Lee est de retour avec une farce politique féroce.
Elle
Violent, vindicatif, politique, militant, sans concession, ironique... Le nouveau film de Spike Lee nous prouve que le réalisateur n'a rien perdu de sa pugnacité.
Femme Actuelle
Surréaliste et jubilatoire, un film à charge contre l'oppression et le racisme servi par des dialogues savoureux.
L'Humanité
Spike Lee signe une farce politique intelligente et jubilatoire.
Le Figaro
Le réalisateur américain Spike Lee signe son retour au premier plan.
Le Journal du Dimanche
À l’écran, Spike Lee tempère sa colère par l’humour et n’hésite pas à être parfois un peu démonstratif. Mais tous les moyens sont bons pour dénoncer avec virulence le racisme, l’oppression, la violence et la corruption aux États-Unis [...].
Le Monde
Spike Lee fait plus qu’adapter cette histoire stupéfiante : il relie ces années de lutte des Noirs américains à l’actualité, à l’Amérique de Donald Trump et au mouvement Black Lives Matter qui se bat aujourd’hui contre les groupuscules néonazis, les suprémacistes blancs et autres klansmen.
Le Parisien
Souvent très drôle, volontairement provocateur, le film n’en demeure pas moins plein de suspense, radical et militant.
Le Point
Spike retrouve donc l'inspiration avec ce thriller à l'atmosphère tendue. Mais il réapparaît surtout là où on ne l'attendait pas : sur le terrain de l'humour.
Les Fiches du Cinéma
Quintessence du cinéma de Spike Lee, le film jette, avec humour et irrévérence, des ponts entre Amérique passée et présente.
Libération
Les ruptures de ton et le trait volontiers protéiforme, à défaut d’être fin, de Spike Lee siéent à ravir à ce scénario initialement destiné à Jordan Peele [...], dont les préoccupations pour les paradoxes identitaires et les travers de l’assimilation s’enrobent ici sans mal des signatures stylistiques de Lee et d’un joyeux décorum seventies.
Télé Loisirs
Sur le ton de la comédie policière et malgré des failles scénaristiques, Spike Lee conte avec panache cette histoire vraie.
Télérama
Sublimes images d’une puissance qui vaut tous les manifestes. C’est à ces visages-là que l’on pense, à la fin du film, lorsque le réalisateur rappelle les manifestations d’extrême droite de Charlottesville, en 2017. Après avoir beaucoup ri face à la bêtise la plus crasse et la plus dangereuse, l’envie prend, soudain, de lever le poing.
Ecran Large
Avec "BlacKkKlansman", Spike Lee retrouve un peu de sa puissance d'antan, et rappelle son talent lorsqu'il va à fond dans l'humour et la violence. Dommage qu'il ne soit pas féroce sur la durée du film, et ne semble pas en pleine maîtrise de son récit et ses personnages.
L'Obs
S'il renoue avec la colère politique de ses débuts, le réalisateur de "Jungle Fever" n'a plus la même niaque. Il a toujours eu la main lourde, il l'a ici trop lâche pour hisser son film à la hauteur de sa démonstration.
La Croix
Un manifeste drôle et jubilatoire contre l’Amérique de Trump, qui tourne rapidement au réquisitoire.
La Septième Obsession
En faisant coexister l’image et le son que l’Histoire séparait, le cinéma la réécrit sous une forme non seulement drôle - et l’humour, chez Spike Lee, est une arme, comme tout le reste -, mais intelligible, lisible dans la seule image : l’expression sur le visage de Stallworth, mêlant stupéfaction, colère froide, rire jaune coincé dans la gorge, montre au milieu de la déferlante verbale, comm un phare dans la brume, tout ce qu’il y a à comprendre du moment.
Le Journal du Geek
Si le long-métrage oscille parfois trop entre revendication et comédie, il fait souvent mouche grâce à un casting solide et des références inspirées. Féroce et sans ambages, sa dénonciation du racisme aux États-Unis nous parait malgré tout moins habile que celle des récents Get Out ou Detroit, tous deux sortis en 2017. On pouvait s’y attendre, même si on passe un bon moment devant la dernière colère de Mr. Lee.
Les Inrockuptibles
Ce n’est pas un chef-d’œuvre, mais le comique est quand même ce qu’on a encore trouvé de mieux pour ridiculiser les imbéciles et les ordures.
Première
D’une histoire 70’s à dormir debout, Spike Lee tire un thriller carburant (un peu trop) aux ruptures de ton.
Transfuge
[...] la mise en scène, appuyée, solennelle, hésite entre hommage à la black culture des seventies et film à thèse au premier degré. Le film ne rend donc jamais justice à la vélocité, au sens du timing, que possède le script. Dommage tant ces dialogues si mal servis sont brillants.
aVoir-aLire.com
Un pamphlet anti-Trump qui ne fait pas dans la demi-mesure, et qui s’avère même franchement lourdingue. Heureusement, l’aspect polar, aux relents kitsch et burlesques, fonctionne bien, porté par un casting de choc.
Marianne
Une comédie sans colère ni grâce. Rendez-nous le génie Lee !
Ouest France
Un film drôle, enlevé et bien joué. Le problème, c'est qu'on passe du Starsky et Hutch rigolo à la démonstration politique avec un côté donneur de leçon.
Positif
Spike Lee met en scène l'histoire de ces deux infiltrés avec une légèreté surprenante, un dilettantisme un rien inconséquent et n'évoque le contexte de l'époque que comme une toile de fond anodine.
Critikat.com
Lee n’assume pas véritablement le sous-genre auquel il se frotte ici (le buddy-movie policier), perdant au passage de vue que la légèreté de ton l’emporte souvent sur le volontarisme le mieux intentionné.