Derniers Avis : 47 Meters Down: Uncaged - Page 4

Un film qui reprend les codes basiques des films avec des adolescents finalement, un groupe de fille, l'"exclu" qui était contre l'idée d'aller s'aventurer dans l'eau et les autres qui bien évidemment ne l'écoute pas. Enfin à mon grand étonnement le film n'a pas pris si longtemps que ça à démarrer ce qui est un très bon point. Les effets spéciaux en revanche pour un film de 2019 sont vraiment très moyens. Mais le film arrive quand même à nous tenir en haleine, il y a pas mal de mouvement. En conclusion si vous n'avez rien à regarder allez y mais sinon je vous conseille vivement plus les dents de la mer ou encore instinct de survie qui sont des valeurs sûres. spoiler: La fin où les deux soeurs se font attaquer par la troupe de requin était peut être trop répétitive quoique l'idée général était bonne.

J'etais pas bien chaud et puis si :ça le fait ! On suis cela de bout en bout et on passe un bon moment , un des rare film de requins que j'ai apprécié en dehors des cultissime jaws

Une suite qui frôle le nanar sans jamais s’y risquer. Attaques surprises, squales bien travaillées et tension omniprésente, 47 meters down : uncaged se laisse regarder avec un certain plaisir coupable. Et même si les défauts s’accumulent, ils sont à la hauteur du stress engendré par cette descente en apnée. Alors respirez un bon coup et plongez !

Ma critique entière sur mon blog horreur/sf

le 1er était bien mais celui-là est de trop... mauvais scénario, mauvais effets spéciaux... bref ne perdez pas votre temps

Scénario pas plausible et décousu. Effets spéciaux mal faits (notamment les requins qui sont les principaux protagonistes de l'histoire). Regardez plutôt instinct de survie ou l'autre film de requins avec Mandy Moore qui est beaucoup mieux.

Très bon film...en bois. Rien, vide, creux, fade, acteurs nuls, caméra nul, effet spéciaux nuls, final grandiose dans la recherche du scénario...

Sous son air d'eternel film d'angoisse pour ados, avec ses personnages et histoire naifs, un divertissement pas trop mal au final.

Le film est un peu long à commencer, j'ai même faille laisser tomber. Mais finalement, ça commence à bouger et on voit enfin nos chères bébêtes faire mumuse (et je parle des requins, pas des nanas).
A partir de là, les gros Nemo ne vous laissent plus ou peu de répit et ne lâchent rien jusqu'à la fin.
Certes j'ai préféré le 1er mais je mets la même note parce que les requins sont bien faits, on sursaute, on se marre, bref : contrat rempli.

Johannes Roberts réitère l'expérience du plutôt pas mal "47 Meters Down" (Instinct de Surive) avec une suite,dans la veine de ce dernier, dans un décor grandeur nature, les vestiges sous-marins d'une ancienne civilisation "Maya" au large du Brésil, terrain de chasse favori d'un prédateur redoutable, un gigantesque requin blanc aveugle, qui a su s'adapter à un milieu aquatique hostile, tirant profit de ses autres sens, dont un odorat et une ouïe surdéveloppés...Une grotte abyssale, sombre, abritant un temple "Maya" englouti, fera office d'un Survival en "eaux troubles" pour quatre adolescentes à la recherche de sensations fortes, trop curieuses pour se soucier du danger qui les guette, une virée dans les profondeurs, qui vire en une lutte acharnée pour la survie, face à un Mastodonte sanguinaire, affamé, désormais dans son élément, un huis clos immersif...Un requin blanc bien décidé à mener sa traque jusqu'au bout , où chaque seconde compte, car les quatre jeunes femmes,devront faire face à un autre problème de taille, l'emprisonnement, en effet, les protagonistes se retrouvent piégés dans un dédale sous-marin, sans issue probable, leur tâche se complique d'avantage et leurs chances de s'en sortir s'amenuisent, quand elles se retrouvent en manque d'oxygène, c'est un des points forts de ce "47 Meters Down: Uncaged" sa capacité à instaurer un climax de terreur maitrisé, où la détresse retranscrite des personnages principaux détonne avec l'aspect claustrophobique de l'œuvre, étouffant, assez efficace pour tenir le spectateur en haleine, appuyé d'une ambiance anxiogène, voire glauque, qui émane d'un tel endroit, l'ensemble fonctionne plutôt bien, et offre son lot de moments stressants, angoissants, qui font leur effet, le cinéaste "Johannes Roberts" démontre une fois de plus, toute l'étendue de son talent, lorsqu'il s'agit de générer une tension palapble, de tous les instants, en exploitant à fond son contexte, le lieu demeurant ainsi aussi hostile, qu'un énorme squale affamé qui rôde dans les parages, à la recherche de potentielles proies, un parti pris qui pousse souvent le specteur à se demander si l'animal, est la seule (véritable) menace qui plane au dessus de ces adolescentes, où encore l'hostilité du lieu, qui s'impose également en danger non négligeable. Le cinéaste privilégie cependant une approche Survival, bien que hélas moins pertinente que dans le précédent opus, dans la lutte de ces protagonistes contre une mort imminente, pour une issue "du moins" fatale, où certains éléments ne font qu'aller en ce sens, confortant une "vision pessimiste" liée aux concepts de la survie, l'attitude adoptée face au danger, se surpasser, persévérer...Outre un aspect Survival qui se concentre d'avantage sur ses personnages à l'instar de son modèle, "47 Meters Down: Uncaged" apporte son lot de moments stressants, angoissants, lors des apparitions du monstre aquatique, un requin blanc imposant, aveugle, couvert de cicatrices, un prédateur assoiffé de chair humaine, redoutable en maître des lieux, souvent présent d'ailleurs dans cette suite, plutôt bien fait, même si les CGI montrent leurs limites, quant le squale passe à l'offensive, une action qui ne faiblit pas, bien menée, génèrant de nombreuses scènes, qui assurent un spectacle correct à défaut d'être impressionnant, plus rythmé que son prédécesseur, jouant sur une montée en puissance d'une tension efficace, qui traduit l'ampleur de la terreur retranscrite. Malgré les bonnes intentions, le long métrage ne déroge pas aux clichés du Survival aquatique conventiel, utilisant même ces codes à outrance, lorsqu'il s'agit de traduire les comportements souvent irrationnels, incohérents des protagonistes en panique, face au danger, lors de situations pour le moins irréalistes, le twist final en est à mon sens le parfait exemple, interminable, invraisemblable, pour que le spectateur y adhère..."47 Meters Down: Uncaged" est un Survival aquatique hélas basique, assez classique dans son déroulement, empruntant à bien des aspects de son modèle, dans un traitement peu transcendant, il y avait pourtant matière à faire avec un concept aussi pertinent, qui ouvrait pourtant beaucoup de possibilités à une œuvre pour se démarquer, voire à innover, l'ensemble peine à s'identifier par rapport à son modèle, marchant souvent sur ses pas, une suite qui ne propose rien de neuf donc dans le genre, mais qui est loin d'être mauvaise, un divertissement correct, qui propose de bonnes idées, des bons moments de tension et de d'angoisses efficaces , qui fonctionnent toujours aussi bien...Un long métrage qui mérite une chance...Ma note: 2,5/5

Ce film est une insulte au cinéma et encore plus aux requins.
ayant vu le premier opus qui était bien plus logique
ce film n'a ni tête ni queue.les filles n'arrêtent pas de crier à profondeur de 47 mètres, j'étais obligé de mettre sur mute. Les requins qui ne voient pas je veux bien le croire mais un requin ça sent le battement du cœur à des centaines de mètres mais il passe devant les filles comme s'il était aveugle sourd muet et en plus con..
Aucune chose positive à dire sur ce film, une perte de temps totale.

Encore pire que tous les requins les plus hargneux des fonds marins, la suite de "47 Meters Down" débute en se fixant sur un autre type de très dangereux prédateurs : les lycéennes insupportables !
La pauvre Mia est en effet la tête de turc de la reine-pimbêche de son lycée et peine en plus à nouer des liens avec sa demi-sœur. Ses terribles soucis ont l'air de toucher ses parents autant que nous car, pour se débarrasser de leurs filles, ils les envoient observer des grands requins blancs dans un bateau spécialement aménagé à cet effet (ils ont sans doute espoir que ça finisse mal comme dans le premier film). Mais les deux demi-soeurs prennent la poudre d'escampette en pleine nature avec deux copines afin de partir explorer une cité maya sous-marine découverte par le père de Mia. En faisant un nombre incroyable d'âneries, le petit groupe se retrouve coincé dans les tunnels du monument submergé avec, bien évidemment, un énorme requin affamé à leurs trousses...

Eh bien... Avec ses premières vingt minutes, on peut dire que "47 Meters Down: Uncaged" fait tout pour nous mettre du côté des requins tant les gourdes de compétition ainsi présentées sont absolument agaçantes et juste bonnes à finir entre leurs dents. On en vient même à se demander si tout ça ne cache pas un second degré à peine voilé mais, à part les dix dernières minutes qui tomberont dans une surenchère allant plus en ce sens, cette suite toujours signée Johannes Roberts semble bien vouloir s'inscrire dans la lignée de son prédécesseur en poussant toujours plus loin le curseur de ses attaques de requins.
Bon, comme vous l'imaginez, dur ici d'éprouver l'attachement que l'on pouvait avoir pour les héroïnes du premier opus, ces nouvelles adolescentes sont définies en deux gros coups de pinceaux et envoyées à l'abattoir sous-marin sans se poser de questions (leurs agissements stupides n'arrangent rien). De même, si son modèle avait son lot d'incohérences pouvant faire décrocher sa mâchoire à un squale, cette suite, elle, est juste profondément idiote de bout en bout en ne cherchant à rien raconter de valable sinon de simples prétextes pour transformer de la greluche en pâté pour requins.
Il reste donc les attaques de nos grands blancs préférés pour se divertir et c'est bien là la seule chose que Johannes Roberts réussit avec une très grande générosité. On se souvient que, déjà dans le premier film, les apparitions des requins étaient visuellement traitées de manière similaire à un tueur d'un film d'épouvante, cette fois, Roberts transforme carrément son requin en croquemitaine par son apparence presque surnaturelle (il est aveugle et couvert de cicatrices) et chacune de ses manifestations devient celle d'un véritable meurtrier de slasher cherchant à dézinguer ses victimes façon jumpscare de la mort !
On ne peut pas reprocher au film la beauté de certains plans sur ces attaques ou quelques morceaux de bravoure comme la lutte dans les courants ou le final qui ne paraît plus s'arrêter mais, sans le moindre attachement aux victimes et la cruelle répétition qu'implique la façon de procéder du requin, tout cela apparaît terriblement vain et on en vient à s'étonner de trouver un tel film aussi interminable.

Bref, même s'il est situé à la même profondeur, "47 Meteors Down: Uncaged" plonge hélas bien plus loin jusqu'à atteindre un certain seuil de médiocrité. Seul le savoir-faire incontestable de Johannes Roberts pour mettre en valeur ses bestioles enragées préférées brille dans ces abysses aussi vides que le contenu de la boîte crânienne des héroïnes...

un navet digne de sharknado . A oublier très vite . Série ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ

Imaginez un film où l'unique action serait une interminable course-poursuite de voitures. Au début vous frémirez à chaque obstacle et puis ça deviendra vite lassant surtout si les personnages passent leur temps à crier et gémir.

C'est simple, si vous trouvez plus nul faite le connaitre.
Aucune histoire.
Aucun dialogue.
Aucun effet visuel.
Vide.

Après le huis clos sous-marin du premier film cette suite ambitionne carrément le slasher, l’idée est pas mal mais on se rend vite compte de ses limites, car c’est vraiment filmé d’une manière à ce qu’on finit par oublier les profondeurs, l’angoisse du manque d’oxygène, la sensation claustro, etc, si l’action se déroulait dans une maison on ne verrait presque pas la différence, du coup on sombre dans le déjà vu et on s’ennuie inexorablement (jusqu’au dernier 1/4 d’heure va de surenchère en surenchère), c’est dommage.