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Naomi Kawase ne dit rien, elle expose. Elle n’explique rien, elle suggère. Plus que les dialogues, parcellaires, ce sont les images, leur succession et enchaînement qui parlent. Au spectateur de faire le lien dans une communion active avec le film.
Le cinéma panthéiste, spiritualiste, écologique, de Naomi Kawase nous raccorde aux sources premières des origines et invite à écouter les messages de la nature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L'intrigue est loin d'être clairement lisible. Elle se fond en quelque sorte dans l'univers de la forêt, à la fois sensible et hermétique. Mais Naomi Kawase nous fait habiter la forêt comme personne. Là est la grâce du film, qui peut perdre et ennuyer le spectateur, mais lui offre des instants de beauté incomparable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Même si on ne comprend pas tout, ce récit influencé par Terrence Malick s’avère hypnotique, notamment grâce à la beauté majestueuse de la forêt aux couleurs de l’automne.
(...) tout ici traduit ce sens profond de la nature qui est le propre d’une cinéaste pour qui le cinéma est comme le chant du monde. Et l’on en est constamment ébloui. Ceci dit et ressenti, la lassitude bien vite s’installe.
Ce Voyage à Yoshino, c’est d’abord celui de Juliette Binoche, qui se laisse absorber par la caméra de Kawase, et par la forêt. La contemplation béate de la nature se mêle à des conversations métaphysiques d’un simplisme embarrassant.
Naomi Kawase célèbre la beauté de la nature mais sans la transcender. Elle succombe à son travers : la tentation de sursignifier les choses au lieu de les esquisser. Et la lenteur qu’elle inflige à son récit tient plus de la pose que de la vraie poésie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Naomi Kawase échoue à faire partager ses émois esthétiques et métaphysiques, son film se déployant de façon tellement artificielle qu’on peine à la suivre dans des paysages pourtant sublimes.
Certes, la forêt de Nara est belle, mais la longueur des promenades qu'on y fait en arrive à nous impatienter encore davantage que d'autres films de Kawase basés sur le même principe.
Franceinfo Culture
Naomi Kawase ne dit rien, elle expose. Elle n’explique rien, elle suggère. Plus que les dialogues, parcellaires, ce sont les images, leur succession et enchaînement qui parlent. Au spectateur de faire le lien dans une communion active avec le film.
La Croix
Le cinéma panthéiste, spiritualiste, écologique, de Naomi Kawase nous raccorde aux sources premières des origines et invite à écouter les messages de la nature.
Paris Match
Une odyssée minimaliste et mystique qui flirte avec la science-fiction. Un poème.
Le Figaro
L'intrigue est loin d'être clairement lisible. Elle se fond en quelque sorte dans l'univers de la forêt, à la fois sensible et hermétique. Mais Naomi Kawase nous fait habiter la forêt comme personne. Là est la grâce du film, qui peut perdre et ennuyer le spectateur, mais lui offre des instants de beauté incomparable.
Le Journal du Dimanche
Même si on ne comprend pas tout, ce récit influencé par Terrence Malick s’avère hypnotique, notamment grâce à la beauté majestueuse de la forêt aux couleurs de l’automne.
Les Fiches du Cinéma
Trip mystique et évocation d’un monde en voie de disparition, ce voyage se révèle déroutant.
Les Inrockuptibles
La splendeur plastique propre à la cinéaste est cernée par un verbiage explicatif envahissant. Inégal mais avec de beaux éclats.
Critikat.com
La cinéaste saborde tout son travail par un épilogue explicatif [...] qui révèle finalement la superficialité du récit.
Le Dauphiné Libéré
(...) tout ici traduit ce sens profond de la nature qui est le propre d’une cinéaste pour qui le cinéma est comme le chant du monde. Et l’on en est constamment ébloui. Ceci dit et ressenti, la lassitude bien vite s’installe.
Le Monde
Ce Voyage à Yoshino, c’est d’abord celui de Juliette Binoche, qui se laisse absorber par la caméra de Kawase, et par la forêt. La contemplation béate de la nature se mêle à des conversations métaphysiques d’un simplisme embarrassant.
Libération
Malgré des plans élégants, Naomi Kawase s’égare en forêt dans un mélange confus mettant en scène Juliette Binoche et Masatoshi Nagase.
Première
Naomi Kawase célèbre la beauté de la nature mais sans la transcender. Elle succombe à son travers : la tentation de sursignifier les choses au lieu de les esquisser. Et la lenteur qu’elle inflige à son récit tient plus de la pose que de la vraie poésie.
Sud Ouest
Naomi Kawase échoue à faire partager ses émois esthétiques et métaphysiques, son film se déployant de façon tellement artificielle qu’on peine à la suivre dans des paysages pourtant sublimes.
Cahiers du Cinéma
Un sentimentalisme exacerbé et abreuvé d’une imagerie sans aspérité.
L'Obs
Résultat : ce film sans aucune ligne narratrice, qui s'épuise à s'autociter, n'a même pas été sélectionné à Cannes. Game over.
Ouest France
Un peu trop lourd et trop lent, la poésie ne prend jamais son envol.
Positif
Certes, la forêt de Nara est belle, mais la longueur des promenades qu'on y fait en arrive à nous impatienter encore davantage que d'autres films de Kawase basés sur le même principe.