Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Sauvagerie, bestialité et beauté surgissent par tous les pores de ce portrait détonnant d'un monstre au visage d'ange : biopic du serial-killer Carlos Robledo Puch, "L'Ange", premier film de l'argentin Luis Ortega, produit par Pedro Almodovar, vaut délicieusement le détour.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le 'crime movie' trouve une alternative rafraîchissante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film dont la mise en scène stylisée exacerbe l'attraction-répulsion qu'exerce sur nous cet ange macabre. Une parabole sanglante et érotique sur l'idée que les régimes fascisants finissent, tels des Frankenstein contemporains, par créer les monstres qu'ils méritent et qui finissent immanquablement par se retourner contre eux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Avec L'Ange, le réalisateur signe un thriller magistral sur l'histoire vraie d'un serial killer dans les années 1970. Et permet au jeune acteur Lorenzo Ferro de crever l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La mise en scène est inventive, la bande-son du tonnerre, la photographie splendide. Des choix contrastant avec la noirceur des actes de Carlitos.
Le Point
par Olivier Ubertalli
Le réalisateur Luis Ortega traite avec humour l'histoire d'un tueur de 19 ans qui a terrorisé l'Argentine dans les années 1970. Planant et jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"L’Ange" est un film qui marche dans les pas de son héros, jeune tueur volubile à la beauté irradiante et ridicule, en s’affranchissant des schèmes pour s’atteler avec génie à magnifier les causes et à négliger les conséquences, dans un bel hymne à la gratuité de l’acte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Si les effets de manche commencent par rebuter, se dessine peu à peu une fresque qui n’a pas grand-chose à voir avec le film policier, s’intéressant plutôt à l’appétit sans frein de l’ado cherchant une limite, auquel l’apparente vulgarité des images rend service.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Luis Ortega, dont c'est le quatrième film, crée admirablement cette ambiance de folie, de cauchemar somnambule, jusqu'au réveil brutal de la séquence finale.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Luis Ortega ne juge pas et n’explique rien – c’est la force de son film (produit par les frères Almodovar) : faire apparaître la figure très sexuée, vénéneuse et troublante de cet archange du mal qui se voyait en espion de Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce thriller argentin vintage se pare d’emblée d’une teinte singulière : la lumière du soleil, et du crime, y prend des reflets rosés ; un fuchsia très pop impose une gaieté brutale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Une proposition exaltante qui rappelle par moments Almodóvar - ici producteur.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Âpre et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Cette sorte d’hommage mimétique n’est pas sans charme – mais à ne se risquer à aucun approfondissement, il s’avère aussi assez anecdotique.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Luis Ortega filme sans (éclairs de) génie, mais avec une constante élégance, avec une bonne dose de poésie onirique et d’humour plus ou moins noir, son Carlos Puch et le monde dans lequel il évolue.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un fait divers devenu une légende, tout comme Bonnie and Clyde dont ces deux garçons seraient une version encore plus troublante, plus androgyne, car questionnant aussi le genre et le pansexualisme.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Ce que réussissait Gus Van Sant, dans “Elephant”, pour évoquer la tuerie perpétrée par deux ados au lycée de Colombine, Luis Ortega n’y parvient pas tout à fait. Son film se regarde avec intérêt, mais sans soulever chez le spectateur les interrogations qu’il eût dû légitimement faire naître.
Ouest France
par La Rédaction
Pas de complaisance, ni de psychologie de bazar.
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Pablo LarraÍn chez Luis Ortega dans cette façon de donner à son film des allures de messe noire.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Antoine Le Fur
Le film convainc quand il s’intéresse au basculement dans la folie meurtrière de ce gamin à peine sorti de l’enfance. Il l’est beaucoup moins dans sa mise en scène, maniérée, recréant sans conviction le psychédélisme des années 1970.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film de Luis Ortega reprend la figure de l'éphèbe exterminateur. Il le fait avec élégance en se gardant bien d'explorer les recoins les plus sombres de sa thématique (...).
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Mais le film, recouvert d’un vernis vintage, usant d’une mise à distance trop grande et d’une fascination clinique pour la violence, finit par perdre un peu de son étrangeté pour ressembler à un impeccable objet pop (…).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Vincent Ostria
Hélas, l’aspect ludique et rétro domine tellement le processus qu’il rend la dimension criminelle quasi gratuite et insignifiante ; c’est une pose, au même titre que l’habillement et la musique, sans lesquels il n’y aurait pas de film.
Bande à part
Sauvagerie, bestialité et beauté surgissent par tous les pores de ce portrait détonnant d'un monstre au visage d'ange : biopic du serial-killer Carlos Robledo Puch, "L'Ange", premier film de l'argentin Luis Ortega, produit par Pedro Almodovar, vaut délicieusement le détour.
CinemaTeaser
Le 'crime movie' trouve une alternative rafraîchissante.
L'Obs
Un film dont la mise en scène stylisée exacerbe l'attraction-répulsion qu'exerce sur nous cet ange macabre. Une parabole sanglante et érotique sur l'idée que les régimes fascisants finissent, tels des Frankenstein contemporains, par créer les monstres qu'ils méritent et qui finissent immanquablement par se retourner contre eux.
Le Figaro
Avec L'Ange, le réalisateur signe un thriller magistral sur l'histoire vraie d'un serial killer dans les années 1970. Et permet au jeune acteur Lorenzo Ferro de crever l'écran.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est inventive, la bande-son du tonnerre, la photographie splendide. Des choix contrastant avec la noirceur des actes de Carlitos.
Le Point
Le réalisateur Luis Ortega traite avec humour l'histoire d'un tueur de 19 ans qui a terrorisé l'Argentine dans les années 1970. Planant et jubilatoire.
Les Fiches du Cinéma
"L’Ange" est un film qui marche dans les pas de son héros, jeune tueur volubile à la beauté irradiante et ridicule, en s’affranchissant des schèmes pour s’atteler avec génie à magnifier les causes et à négliger les conséquences, dans un bel hymne à la gratuité de l’acte.
Libération
Si les effets de manche commencent par rebuter, se dessine peu à peu une fresque qui n’a pas grand-chose à voir avec le film policier, s’intéressant plutôt à l’appétit sans frein de l’ado cherchant une limite, auquel l’apparente vulgarité des images rend service.
Positif
Luis Ortega, dont c'est le quatrième film, crée admirablement cette ambiance de folie, de cauchemar somnambule, jusqu'au réveil brutal de la séquence finale.
Sud Ouest
Luis Ortega ne juge pas et n’explique rien – c’est la force de son film (produit par les frères Almodovar) : faire apparaître la figure très sexuée, vénéneuse et troublante de cet archange du mal qui se voyait en espion de Dieu.
Télérama
Ce thriller argentin vintage se pare d’emblée d’une teinte singulière : la lumière du soleil, et du crime, y prend des reflets rosés ; un fuchsia très pop impose une gaieté brutale.
Voici
Une proposition exaltante qui rappelle par moments Almodóvar - ici producteur.
aVoir-aLire.com
Âpre et réjouissant.
Cahiers du Cinéma
Cette sorte d’hommage mimétique n’est pas sans charme – mais à ne se risquer à aucun approfondissement, il s’avère aussi assez anecdotique.
Culturopoing.com
Luis Ortega filme sans (éclairs de) génie, mais avec une constante élégance, avec une bonne dose de poésie onirique et d’humour plus ou moins noir, son Carlos Puch et le monde dans lequel il évolue.
La Septième Obsession
Un fait divers devenu une légende, tout comme Bonnie and Clyde dont ces deux garçons seraient une version encore plus troublante, plus androgyne, car questionnant aussi le genre et le pansexualisme.
Le Dauphiné Libéré
Ce que réussissait Gus Van Sant, dans “Elephant”, pour évoquer la tuerie perpétrée par deux ados au lycée de Colombine, Luis Ortega n’y parvient pas tout à fait. Son film se regarde avec intérêt, mais sans soulever chez le spectateur les interrogations qu’il eût dû légitimement faire naître.
Ouest France
Pas de complaisance, ni de psychologie de bazar.
Première
Il y a du Pablo LarraÍn chez Luis Ortega dans cette façon de donner à son film des allures de messe noire.
L'Express
Le film convainc quand il s’intéresse au basculement dans la folie meurtrière de ce gamin à peine sorti de l’enfance. Il l’est beaucoup moins dans sa mise en scène, maniérée, recréant sans conviction le psychédélisme des années 1970.
Le Monde
Le film de Luis Ortega reprend la figure de l'éphèbe exterminateur. Il le fait avec élégance en se gardant bien d'explorer les recoins les plus sombres de sa thématique (...).
Les Inrockuptibles
Mais le film, recouvert d’un vernis vintage, usant d’une mise à distance trop grande et d’une fascination clinique pour la violence, finit par perdre un peu de son étrangeté pour ressembler à un impeccable objet pop (…).
L'Humanité
Hélas, l’aspect ludique et rétro domine tellement le processus qu’il rend la dimension criminelle quasi gratuite et insignifiante ; c’est une pose, au même titre que l’habillement et la musique, sans lesquels il n’y aurait pas de film.