Nice Girls Don’t Stay for Breakfast : Critique presse
Nice Girls Don’t Stay for Breakfast
Note moyenne
3,5
15 titres de presse
L'Humanité
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Voici
aVoir-aLire.com
Bande à part
Critikat.com
Libération
Positif
Première
Télérama
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cerise sur le gâteau : le rapport du Big Bob avec la musique. Car, au-delà de ses rôles, Mitchum était un crooner à la façon de Dean Martin. Ce documentaire nuancé et touffu donne un bel aperçu de cette facette méconnue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Désinvolture du récit, noir et blanc grené, solitude qui affleure : Mitchum se serait retrouvé dans ce film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Le résultat a mis du temps à sortir. Cela valait la peine d'attendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Si Weber érige un monument en hommage à cette virilité toute hollywoodienne, il a aussi la finesse de faire de Mitchum moins une réalité qu’une pure projection fantasmatique, une icône sexuelle qui fascine autant les hommes, les femmes que les enfants.
Le Parisien
par Marine Quinchon
Mêlant des témoignages truffés d’anecdotes savoureuses, des séquences de films et des images d’archive des années 1990 avec Mitchum, ce documentaire est un magnifique hommage à ce passionné de jazz, jeune délinquant devenu une figure incontournable du western et du film de guerre, qui cultivait dans la vie l’élégance et l’humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Bruce Weber consacre à Mitchum un portrait mêlant des témoignages, des séquences de films et des images d’archive au fil d’un montage habile et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Comme il l'avait fait pour Chet Baker, Bruce Weber filme le monument Mitchum de façon peu académique. So cool !
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Si Bruce Weber ne fait qu’épaissir le mystère Robert Mitchum, en livrant une biographie paradoxalement sans épaisseur, grâce à ses talents, le photographe réalisateur compile un magnifique livre d’images qui donnera assurément envie à son public de se replonger dans la filmographie de cette gloire hollywoodienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Pierre Charpilloz
À conseiller surtout aux avertis, le film de Bruce Weber, plutôt qu’un biopic sur la star, est une rencontre avec Robert Mitchum, l’homme, le personnage.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Josué Morel
Le mérite (mais aussi la limite) du documentaire tient dès lors qu’à défaut de résoudre le « mystère Mitchum », il suscite le désir de replonger dans la filmographie du « dernier des Mohicans » pour explorer ses aspérités.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Il n’est pas sûr que Weber soit parvenu à percer la muraille infranchissable que Mitchum, avec ses airs d’ours à l’œil de velours, avait érigée entre lui et la majorité des gens qui le voyaient comme un mythe ambulant, le «dernier des Mohicans».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Lorenzo Codelli
Le style "cool" du réalisateur ne réchauffe pas assez notre ancien enthousiasme envers le flambeur.
Première
par Frédéric Foubert
Le film ne parvient pas à retrouver la beauté crépusculaire tétanisante de Let’s get lost, certes, mais comment refuser de passer 1h30 à s’égarer dans des volutes cinéphiles aussi délicieuses ? Une capsule temporelle pour gourmets nostalgiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Le film ressemble parfois à un succédané de Let’s get lost — consacré à Chet Baker. Il contient néanmoins quelques pépites, dont deux duos chantés, l’un avec Marianne Faithfull, l’autre avec Rickie Lee Jones. Où l’on découvre, derrière la façade du dur à cuire énigmatique, le talent méconnu d’un véritable crooner.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Tout cela est d’un intérêt inégal, et la façon dont Mitchum s’adresse subitement, à la fin, à la caméra de Weber, avec humour et sans ambages, fait regretter l’absence de simplicité d’un film qui, pour sa part, tourne beaucoup autour du pot.
L'Humanité
Cerise sur le gâteau : le rapport du Big Bob avec la musique. Car, au-delà de ses rôles, Mitchum était un crooner à la façon de Dean Martin. Ce documentaire nuancé et touffu donne un bel aperçu de cette facette méconnue.
L'Obs
Désinvolture du récit, noir et blanc grené, solitude qui affleure : Mitchum se serait retrouvé dans ce film.
Le Figaro
Le résultat a mis du temps à sortir. Cela valait la peine d'attendre.
Le Monde
Si Weber érige un monument en hommage à cette virilité toute hollywoodienne, il a aussi la finesse de faire de Mitchum moins une réalité qu’une pure projection fantasmatique, une icône sexuelle qui fascine autant les hommes, les femmes que les enfants.
Le Parisien
Mêlant des témoignages truffés d’anecdotes savoureuses, des séquences de films et des images d’archive des années 1990 avec Mitchum, ce documentaire est un magnifique hommage à ce passionné de jazz, jeune délinquant devenu une figure incontournable du western et du film de guerre, qui cultivait dans la vie l’élégance et l’humour.
Les Fiches du Cinéma
Bruce Weber consacre à Mitchum un portrait mêlant des témoignages, des séquences de films et des images d’archive au fil d’un montage habile et sensible.
Voici
Comme il l'avait fait pour Chet Baker, Bruce Weber filme le monument Mitchum de façon peu académique. So cool !
aVoir-aLire.com
Si Bruce Weber ne fait qu’épaissir le mystère Robert Mitchum, en livrant une biographie paradoxalement sans épaisseur, grâce à ses talents, le photographe réalisateur compile un magnifique livre d’images qui donnera assurément envie à son public de se replonger dans la filmographie de cette gloire hollywoodienne.
Bande à part
À conseiller surtout aux avertis, le film de Bruce Weber, plutôt qu’un biopic sur la star, est une rencontre avec Robert Mitchum, l’homme, le personnage.
Critikat.com
Le mérite (mais aussi la limite) du documentaire tient dès lors qu’à défaut de résoudre le « mystère Mitchum », il suscite le désir de replonger dans la filmographie du « dernier des Mohicans » pour explorer ses aspérités.
Libération
Il n’est pas sûr que Weber soit parvenu à percer la muraille infranchissable que Mitchum, avec ses airs d’ours à l’œil de velours, avait érigée entre lui et la majorité des gens qui le voyaient comme un mythe ambulant, le «dernier des Mohicans».
Positif
Le style "cool" du réalisateur ne réchauffe pas assez notre ancien enthousiasme envers le flambeur.
Première
Le film ne parvient pas à retrouver la beauté crépusculaire tétanisante de Let’s get lost, certes, mais comment refuser de passer 1h30 à s’égarer dans des volutes cinéphiles aussi délicieuses ? Une capsule temporelle pour gourmets nostalgiques.
Télérama
Le film ressemble parfois à un succédané de Let’s get lost — consacré à Chet Baker. Il contient néanmoins quelques pépites, dont deux duos chantés, l’un avec Marianne Faithfull, l’autre avec Rickie Lee Jones. Où l’on découvre, derrière la façade du dur à cuire énigmatique, le talent méconnu d’un véritable crooner.
Cahiers du Cinéma
Tout cela est d’un intérêt inégal, et la façon dont Mitchum s’adresse subitement, à la fin, à la caméra de Weber, avec humour et sans ambages, fait regretter l’absence de simplicité d’un film qui, pour sa part, tourne beaucoup autour du pot.