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Cinemadourg
779 abonnés
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2,5
Publiée le 21 juillet 2019
Adapté du film brésilien "O Invasor l'intrus" sorti en 2002, "Persona non grata" nous emporte sur la côte languedocienne où deux amis et associés dans le BTP vont aller un peu trop loin pour s'assurer un marché juteux en front de mer. Roschdy Zem, acteur et réalisateur ici, est excellent dans le rôle de ce tueur à gages envahissant. J'ai tout de même été un peu déçu par l'intrigue pourtant prenante dès le départ, mais se diluant petit à petit dans un drame sordide pas vraiment crédible et pas très emballant. En conclusion : de bons comédiens dans un film un peu maladroit. Site www.cinemadourg.free.fr
Il est dommage que ce filme sorte en période estivale il méritait une plus grande distribution. Une mise en scène parfaitement maîtrisée, chaque acteur tient sa place avec une mention pour Duvauchel et Personae. C’est un film noir qui interroge sur la corruption et les lien ambigus entre les municipalités et les entreprises du BTP ( toute ressemblance avec ....) l’amitié, les minorités. Il faut voire, c’est. Le genre de filme qui nous interroge ce qui est rare
un film tres efficace avec des escapades mystiques dans le monde gitan catalan. un excellent casting et des acteurs tous, justes avec une mention speciale pour Nadia TERESZKIEWICZ un petit stress oppressant qui coupe la respiration tout en ne vous bousculant pas a l image de ce personnage campé par Roschdy Zem qui est toujours la ou on ne l attend pas et qui comme les « vrais dangereux » n a pas besoin de vous toucher pour vous faire mal, il vous pousse a la faute comme ce duo Fou et tour dans le coin de l échiquier. un film qui vous met pat en 8 coups.
C'est un film maîtrisé et réussi, indéniablement. Mais toute cette immoralité donne le tournis et j'ai terminé le film vraiment écoeurée par tant de méchanceté. Bon en même temps, c'est le sujet de l'histoire, je suis allée voir ce film en connaissance de cause.
Pour constituer un bon thriller, il faut tout d’abord proposer du rythme et du suspense, puis une esquisse psychologique approfondie des personnages. Dans ce cinquième long-métrage de Roschdy Zem, réalisé en 2019, sur le premier point, on est proche du néant. En ce qui concerne le second item, cela reste laborieux ce qui est vraiment regrettable compte tenu du bon casting. La lente plongée dans la criminalité de deux entrepreneurs se déroule de manière confuse et peu crédible. Bref, un film policier complètement décevant.
Un film noir mais très moral qui traite de pouvoir, de magouille financière, et d'amitié. Roschdy Zem joue dans un registre inabituel: celui inattendu d'un tueur à gages avec une pointe d'humour. Tous les personnages sont habités par leur role. A voir!
La déception est à la hauteur de l'attente; ENORME! Scénarios invraisemblable, personnages caricaturaux, fin grotesque. Nicolas Duvauchelle est impérial mais dans un registre déjà vu. On oublie et on attend le prochain de tous ces gens-là !
Roschdy Zem est une nouvelle fois derrière la caméra, avec brio, mais également devant, et là nous prenons une grande claque! Roschdy Zem est ici de la trempe des grands acteurs américains tel Denzel Washington, Clint Eastwood ou Robert Mitchum dans la Nuit du Chasseurs. Face à lui, Raphael Personnaz (non grata !) et Nicolas Duvauchelle – très bon dans sa descente aux enfers – lui donne la réplique. Côté fille, Anne Charrier joue juste et Hafsia Herzi joue les belles mystérieuses, mais la petite surprise nous vient de Nadia Tereszkiewicz nonchalante à souhait, et sur qui personne ne semble avoir de prise. Ce film se lit sur plusieurs niveaux de lecture : l’histoire se déroule dans le milieu du BTP, mais parle également des inégalités sociales, passant des beaux quartiers aux friches industrielles où survivent les plus pauvres. Bref, un film à voir, ne serait-ce que pour la performance d’acteur du réalisateur
On ne va pas se mentir, on sait très bien que Roshdy Zem est un acteur et réalisateur assez quelconque. Il nous le prouve encore une fois avec ce film. Comme si ça ne suffisait pas, il s'est mit dans le meilleur rôle. Il fallait oser quand même. Cependant, l'histoire est assez prenante malgré un scénario plat. Le rythme est soutenu et on ne s'ennuie pas trop malgré quelques longueurs. Le duo Duvauchel-Personnaz est très bon, il faut être honnête. Même si les rebondissements se sentaient venir, ça rajoute un petit plus à ce thriller qui n'en n'est pas vraiment un. Et la fin est plutôt sympa de moins de vue, du moins je ne m'attendais pas spécialement à ça. Après, il fait dire que c'est du vu et revu et que les clichés sont omniprésents mais c'est assez français ce genre de choses. La BO est assez moyenne ou plutôt pas en accord avec les scènes. Bref, un long métrage plus que moyen qui fera passez le temps. 9/20.
voir sur une affiche de cinéma des noms comme rochdy zem ou nicolas Duvauchelle, c est comme avoir le label promotelec pour le batiment, un gage de qualité….mais alors la j ai pas compris, a prioris tiré d une histoire espagnol a la base,,est ce que rochdy a lu le scripte de droite a gauche ou l histoire a étè mal traduite,,??? c est dommage ça partais intéréssant ,j ai trouvé ça longuet et surtout limite chiant ,corruption délation baston bref..
Tourné chez moi ( Montpellier ) du coup trop cool de voir ce film. Les acteurs sont bons le scénario pas mal c’est un remake brésilien ça me donne envie de voir l’original. Un bon petit film cool quand on ne sait pas quoi aller voir.
« Persona non grata » est un thriller / drame nous présentant deux associés qui vont sombrer dans les magouilles et la corruption. Le scénario ne nous raconte finalement pas grand chose. Le thème est pourtant interessant mais le film ne fascine pas. Certains comportements sont clichés voir insensés spoiler: (comme la relation entre Moïse et Anaïs qui sort de nulle part).
Les acteurs principaux comme secondaires sont très bons mais cela ne suffit pas à porter le film. Le personnage incarné par Roschdy Zem n’est pas vraiment crédible et tire le film vers le bas. La réalisation est appréciable sans être exceptionnelle. Le fin est plate à l’image du film, je suis ressorti de la salle sur ma fin et c’est bien dommage.
Roschdy Zem nous décrit un monde de requins. Ce n'est pas une multinationale mais une boîte de BTP mais il n'empêche : c'est un monde de requins et ces requins se bouffent entre eux. Donc, exit les notions d'amitié, de complicité, d'entraide et de solidarité. Tout n'est que magouille pour s'accaparer des marchés, règlements de compte quand il s'agit d'éliminer un partenaire trop gênant, histoire de fesses : toutes les filles qu'on voit n'ont l'air d'être que de simples coups de passage. Ça vaut pour ces cols blancs comme pour les gars de la rue. Il y a un sens de la débrouille chez eux alors qu'on les a mis de côté. Mais la violence, elle est là, pareil. C'est pour ça que ce Moïse avec sa philosophie et ses chemises hawaïennes m'a fait rire. Au fond, il est comme tout le monde. Il rêve secrètement d'une vie meilleure, comme ces deux patrons, avec une jolie jeune femme et une immense baraque. Et à quoi ça se résume ? A une porte qui se ferme. Vision assez sombre de l'humanité. On dirait que le mieux, c'est encore de vivre seul, au jour le jour sans se poser de questions, sans tirer de plans sur la comète.