Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Un thriller psychologique intense et bien mené.
Elle
par Françoise Delbecq
Tension garantie !
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une réussite.
L'Express
par Christophe Carrière
[...] la facture visuelle (après quatre longs-métrages, Zem a acquis une sacrée belle aisance dans la mise en scène) et narrative place l'ensemble largement au-dessus de la moyenne de la programmation estivale.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Le nouveau film de Roschdy Zem, adapté d’O Invasor du Brésilien Beto Brant, raconte comment deux hommes basculent de leur vie ordinaire à l’illégalité. Une manipulation dont la leçon, éternelle, est que l’homme est un loup pour l’homme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier de Bruyn
Aux côtés de Nicolas Duvauchelle (Maxime) et Raphaël Personnaz (José), Roschdy Zem s’est embauché lui-même pour camper Moïse, ce personnage insaisissable qui n’aime rien tant que nager en eaux troubles. Une prestation inquiétante qui justifie le détour dans les salles.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Persona non grata est un polar, plutôt de banale série, mais aussi une histoire d’ascension sociale et de revanche, attentif à la réalité du travail.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Roschdy Zem signe un drame d’une grande noirceur sur fond d’affaires immobilières véreuses. Composé de deux parties, il se concentre sur le face-à-face entre José et Eddy, avant de prendre une nouvelle tonalité avec l’arrivée de Moïse qui rappelle à sa manière ambivalente que tout se paie dans la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le scénario et son dénouement sont attendus, mais le récit maintient la tension jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Adrien Gombeaud
Passé une mise en place savoureuse où l'on s'enfonce dans son siège à la perspective d'une bonne séance, le scénario va, hélas, se diluer.
Télérama
par Guillemette Odicino
Ambition sociale, poison de l’envie qui lézardent une amitié prétendument en béton : même si son édifice est un peu bancal, l’acteur-réalisateur (épatant dans un second rôle crucial) sait regarder les hommes tomber.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Imaginez la noirceur d'Olivier Marchal transposée sous le soleil de la côte languedocienne : effet chaud-froid garanti.
L'Obs
par François Forestier
Un thriller mécanique où les promesses de départ, l'excellent casting, le ton décalé des dialogues et un scénario jouant brièvement la carte du paranoïaque anxiogène s'étiolent trop vite.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’horizon est à la fois criminel, social et métaphysique. Vaste dessein, qui s’étiole sous le teintage bleuté du Languedoc-Roussillon et le naturalisme un rien laborieux du polar à la française.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un scénario trop atone, que la réalisation nerveuse ne peut transcender.
Première
par Sophie Benamon
Si le duo de comédiens fonctionne, l’arrivée – après une ellipse soudaine – d’un troisième personnage, un voyou manipulateur vient hélas dérégler la mécanique. Reste une mise en scène musclée, une caméra au plus près des visages, et le plaisir de voir le film d’un cinéaste qui sait se remettre en question à chaque fois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un polar émoussé sans aucune idée de cinéma, une longue traversée du désert où tout le monde se demande ce qu'il fait là, à part Roschdy Zem qui semble beaucoup s'amuser devant la caméra en ange gardien/démon qui erre en chemise hawaïenne et grimace pour faire du De Niro.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
On en sort sans savoir si tout cela était censé nous inquiéter, nous édifier ou nous faire rire. Seuls les amateurs de second degré, collectionneurs de punchlines gratinées et de faux raccords gros comme des maisons trouveront de quoi se satisfaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Qu’il s’agisse du passif des personnages, de leurs relations, des enjeux de l’intrigue et même des actions censées faire avancer celle-ci... Tout nous est artificiellement raconté au travers des bavardages aussi poussifs que superficiels, que s’échangent des acteurs peu investis.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
Un thriller psychologique intense et bien mené.
Elle
Tension garantie !
Femme Actuelle
Une réussite.
L'Express
[...] la facture visuelle (après quatre longs-métrages, Zem a acquis une sacrée belle aisance dans la mise en scène) et narrative place l'ensemble largement au-dessus de la moyenne de la programmation estivale.
Le Figaro
Le nouveau film de Roschdy Zem, adapté d’O Invasor du Brésilien Beto Brant, raconte comment deux hommes basculent de leur vie ordinaire à l’illégalité. Une manipulation dont la leçon, éternelle, est que l’homme est un loup pour l’homme.
Marianne
Aux côtés de Nicolas Duvauchelle (Maxime) et Raphaël Personnaz (José), Roschdy Zem s’est embauché lui-même pour camper Moïse, ce personnage insaisissable qui n’aime rien tant que nager en eaux troubles. Une prestation inquiétante qui justifie le détour dans les salles.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Persona non grata est un polar, plutôt de banale série, mais aussi une histoire d’ascension sociale et de revanche, attentif à la réalité du travail.
La Croix
Roschdy Zem signe un drame d’une grande noirceur sur fond d’affaires immobilières véreuses. Composé de deux parties, il se concentre sur le face-à-face entre José et Eddy, avant de prendre une nouvelle tonalité avec l’arrivée de Moïse qui rappelle à sa manière ambivalente que tout se paie dans la vie.
Les Fiches du Cinéma
Le scénario et son dénouement sont attendus, mais le récit maintient la tension jusqu’au bout.
Positif
Passé une mise en place savoureuse où l'on s'enfonce dans son siège à la perspective d'une bonne séance, le scénario va, hélas, se diluer.
Télérama
Ambition sociale, poison de l’envie qui lézardent une amitié prétendument en béton : même si son édifice est un peu bancal, l’acteur-réalisateur (épatant dans un second rôle crucial) sait regarder les hommes tomber.
Voici
Imaginez la noirceur d'Olivier Marchal transposée sous le soleil de la côte languedocienne : effet chaud-froid garanti.
L'Obs
Un thriller mécanique où les promesses de départ, l'excellent casting, le ton décalé des dialogues et un scénario jouant brièvement la carte du paranoïaque anxiogène s'étiolent trop vite.
Le Monde
L’horizon est à la fois criminel, social et métaphysique. Vaste dessein, qui s’étiole sous le teintage bleuté du Languedoc-Roussillon et le naturalisme un rien laborieux du polar à la française.
Ouest France
Un scénario trop atone, que la réalisation nerveuse ne peut transcender.
Première
Si le duo de comédiens fonctionne, l’arrivée – après une ellipse soudaine – d’un troisième personnage, un voyou manipulateur vient hélas dérégler la mécanique. Reste une mise en scène musclée, une caméra au plus près des visages, et le plaisir de voir le film d’un cinéaste qui sait se remettre en question à chaque fois.
Les Inrockuptibles
Un polar émoussé sans aucune idée de cinéma, une longue traversée du désert où tout le monde se demande ce qu'il fait là, à part Roschdy Zem qui semble beaucoup s'amuser devant la caméra en ange gardien/démon qui erre en chemise hawaïenne et grimace pour faire du De Niro.
Libération
On en sort sans savoir si tout cela était censé nous inquiéter, nous édifier ou nous faire rire. Seuls les amateurs de second degré, collectionneurs de punchlines gratinées et de faux raccords gros comme des maisons trouveront de quoi se satisfaire.
aVoir-aLire.com
Qu’il s’agisse du passif des personnages, de leurs relations, des enjeux de l’intrigue et même des actions censées faire avancer celle-ci... Tout nous est artificiellement raconté au travers des bavardages aussi poussifs que superficiels, que s’échangent des acteurs peu investis.