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Pascal F.
5 abonnés
34 critiques
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1,5
Publiée le 15 octobre 2018
film ennuyeux car une belle pléiade d'acteurs et actrices très bon jean Paul rouve, karin Viard en fait des tonnes et ce n'est pas son habitude dommage car Michel Blanc nous à habitue à beaucoup mieux
Le film est loin d'être un chef d'oeuvre mais il a le grand mérite qu'on s'ennuie jamais, le rythme, les acteurs nous tiennent en haleine; ce qui est plutôt un bon point; Une comédie rafraichissante au final.
Michel Blanc nous sert ce qui ressemble à une suite de "Embrassez qui vous voudrez" avec un casting changé pour moitié. Ce film choral est assez inégal tant on s'attache plus ou moins à ses personnages. Jean-Paul Rouve est excellent ainsi que Karin Viard (comme souvent), et il flotte dans la première partie un petit vent de folie bien agréable. La suite a tendance à s'empêtrer dans des histoires de famille qui ne font pas toujours mouche. L'ensemble reste drôle et la patte de Michel Blanc est reconnaissable dans quelques répliques bien senties.
Entre sa femme (Carole Bouquet) et sa maîtresse (Sara Martins), Julien (Jean-Paul Rouve) ne sait plus où donner de la tête. Son fils Alex (William Lebghil) vient d'apprendre qu'il allait être père. Son amie Eva (Jeanne Guitet) a dix-sept ans seulement. La mère d'Eva (Karin Viard) prend très mal la nouvelle. La marraine d'Eva (Charlotte Rampling) la prend, elle, plus sereinement alors même que son mari Bertrand (Jacques Dutronc), sous le coup d'une enquête pour fraude fiscale, est sur le point de la quitter.
Michel Blanc invente une suite à "Embrassez qui vous voudrez". Son film était inspiré de "Vacances anglaises", un roman de Joseph Connolly qui en avait écrit une suite intitulée "N'oublie pas mes petits souliers". Mais celle-ci, qui reprenait les mêmes personnages, se déroulait six mois après seulement. "Voyez comme on danse" n'a donc plus qu'un lien ténu avec les personnages de Joseph Connolly, mélangeant les acteurs de la première génération (Dutronc, Rampling, Viard et Blanc lui-même) avec d'autres qui n’apparaissaient pas dans le premier volet (Rouve, etc.).
Même si le souvenir s'en est brouillé avec le temps, j'avais ri aux éclats à "Embrassez qui vous voudrez". Au point de me ruer sur le livre de Joseph Connolly - que Points Seuil avait opportunément ressorti avec l'affiche du film en couverture. Ce souvenir est pour beaucoup dans ma hâte à aller voir cette suite.
Hélas, j'ai été affreusement déçu. Est-ce parce que la suite est mauvaise ? Sans doute. J'aurais du me méfier de cette affiche où chaque personnage est photographié dans la pause caricaturale qu'il est censé incarner : Karin Viard a le sourire coincé de la quarantenaire dépressive, Jean-Paul Rouve la mine interloquée du mari surpris en plein adultère, Carole Bouquet le regard suspicieux de l'épouse à qui on ne la fait pas, etc.
Mais n'est-ce pas aussi tout simplement que le premier volet n'était pas aussi bon que le souvenir que j'en ai gardé ? Ou plutôt que les ressorts sur lesquels ils fonctionnaient (le récit chorale, les dialogues ciselés, les hommes adultères et les femmes célibattantes) ne fonctionnent plus ? "Voyez comme on danse" aurait été drôle s'il avait été tourné à l'époque et dans la foulée de "Embrassez qui vous vous voudrez". Mais ce cinéma là, en 2018, a tout bonnement perdu sa raison d'être.
Une comédie chorale bien menée mais sans grande originalité. Les dialogues sont bien écrits, les personnages sont volontairement caricaturaux et par moment un peu sur-joués sans que cela ne soit un gros problème. L’apparition de Michel Blanc pose question. Sans grand intérêt elle ne semble là que pour singer Woody Allen qui s’octroie toujours un rôle dans ces films. On sent d’ailleurs nettement l’influence de l’américain sur le français dans ce film. Il y a pire comme référence.
Carine Viard dans toute sa splendeur. Ce film est drôle du début à la fin et il n'y a aucune fausse note les dialogues les personnages sont tellement drôles que toute la salle rigole de bon coeur et ça fait du bien de parler des ennuis de la vie avec un tel humour et détachement on ressort apaisée et optimiste
Les censeurs ont visiblement rien d'autre à faire que de modérer des critiques suffisamment étayées; je précise que des critiques insipides de deux lignes sont publiées donc je la republie telle quelle : Dans cette suite de "Embrassez qui vous voudrez", on retrouve (presque) les mêmes bobos moqués et visiblement toujours au bord de la crise de nerf... Toutefois, le résultat s'avère poussif et assez réchauffé, et ce malgré quelques bons passages...
Je ne savais pas que ce film était la suite de « Embrassez qui vous voudrez » sorti en 2002, et que je n’avais donc pas vu. Et parfois les relations entre les personnages étaient difficiles à suivre, je ne voyais pas quelles étaient leurs rapports, comment ils se connaissaient etc. Ce n’était pas vraiment expliqué. On arrivait quand même à suivre l’histoire, mais parfois il y avait des moments peu clairs. J’ai bien aimé ce film choral avec une distribution impressionnante, et les chassés-croisés entre les personnages qu’il faut suivre. C’est bien joué, il y a des moments drôles, d’autres plus émouvants. Un film agréable à regarder, un bon moment de cinéma.
Le titre m'avait accroché...... normal !!! Avec une telle brochette d'acteurs confirmés pour certains, dans le registre de la comédie, je me réservais une tranche de rire et de plaisir pour le Week-End. Je dois dire que je suis assez déçu de la dernière réalisation de Michel Blanc, pas la plus réussie - car sorte de redite - et malgré tout le talent d'une Karin Viard ou Jean Paul Rouve, je suis resté sur ma faim. En effet un ressenti personnel de déjà vu - et d'un trait exagéré, sarcastique lassant. Dommage car bien entendu, il y a de très bonnes choses et on rit aussi ! Le film mérite son titre pour les 4 dernières minutes - excellentes du reste - pour ce qui précède "Grosse fatigue" aurait convenu !! **
C'est moyen et c'est dommage. Avec des acteurs de premiers plans et surtout Charlotte Rampling et Jacques Dutronc en formes et toujours délicieux, le film se perds un peu en sur-rebondissements malgrès de jolis dialogues qui n'apparaissent pas aussi naturel que ça par moment. Au final, on regrette le scénario de Grosse Fatigue ou Embrassez plus nets et inattendus. Esthétiquement, le film accuse d'une photographie un peu datée et pas toujours soignée avec des décors aléatoires alors que Grosse Fatigue (encore lui) avait été exemplaire sur ces points. Michel Blanc est assurément un très bon acteur, scénariste, dialogue et réalisateur, sur ce film là, petite fatigue.