Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
"The Long Excuse" est un film bouleversant, où l'émotion n'est jamais forcée.
La Croix
par Céline Rouden
Un beau film intimiste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film a une légèreté mélancolique, la gravité d'un séisme intime. À tous les coups, Sachio en fera un livre. C'est tout le mal qu'on lui souhaite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La réalisatrice Miwa Nishikawa, qui adapte ici son propre roman, parvient à (...) une finesse désarmante d'intelligence.
Transfuge
par Damien Aubel
C’est un exercice de funambulisme, mais Nishikawa se tient toujours au bord du gouffre de la mièvrerie sans jamais y verser.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Le film parvient à s'extraire de ses lieux communs mélodramatiques pour offrir des scènes justes et délicates.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film sur le deuil, le déni de la douleur, le transfert affectif et la reconfiguration de la cellule familiale. Thèmes chers à Kore-eda, dont cette cinéaste fut la collaboratrice. Si elle n'a pas la précision et l'acidité feutrée de son mentor, elle ne doit pas rougir de la comparaison.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
D’une douceur infinie, le film choisit la voie de l’harmonie et de l’exploration subtile du deuil, mais s’essouffle par manque de matériau lyrique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Découverte d'une disciple de Kore-eda, qui mêle avec brio satire et ligne claire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
"The Long Excuse" révèle une écriture sensible et appliquée qui prend son temps pour dresser le portrait d'un homme complexé par l'amour.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Cécile Mury
Délicate mosaïque de séquences modestes, quotidiennes, le film est touchant, singulier, tant qu’il préserve l’opacité de son héros blessé. Dès lors que ce dernier entreprend de s’aider lui-même en aidant les autres et se transforme en super-nounou pour bambins, le récit emprunte les chemins balisés de la rédemption made in Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si on adhère au rythme lent qui permet de mieux comprendre les contradictions du personnage, dommage que le récit reste en surface et manque de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette piste ambiguë est abandonnée pour racheter une rédemption au héros, et l’ensemble s’enfonce dans les bons sentiments.
Libération
par Didier Péron
Le pouvoir du deuil de reconfigurer les liens en les bousculant par la force du traumatisme, c’est probablement le sujet profond du film, mais on ne peut pas dire que la mise en scène de Miwa Nishikawa (...) parvienne jamais à transcender un sentiment général de déjà-vu maussade et de cruauté tempérée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
(...) l’exploitation excessive des émotions sentimentales finit par nuire à l’oeuvre en cherchant par tous les moyens à pousser les spectateurs à s’identifier aux personnages.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Ce film sur le deuil souffre malheureusement d’une mise en scène aussi figée que ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
"The Long Excuse" est un film bouleversant, où l'émotion n'est jamais forcée.
La Croix
Un beau film intimiste.
Le Figaro
Le film a une légèreté mélancolique, la gravité d'un séisme intime. À tous les coups, Sachio en fera un livre. C'est tout le mal qu'on lui souhaite.
Studio Ciné Live
La réalisatrice Miwa Nishikawa, qui adapte ici son propre roman, parvient à (...) une finesse désarmante d'intelligence.
Transfuge
C’est un exercice de funambulisme, mais Nishikawa se tient toujours au bord du gouffre de la mièvrerie sans jamais y verser.
Critikat.com
Le film parvient à s'extraire de ses lieux communs mélodramatiques pour offrir des scènes justes et délicates.
L'Obs
Un film sur le deuil, le déni de la douleur, le transfert affectif et la reconfiguration de la cellule familiale. Thèmes chers à Kore-eda, dont cette cinéaste fut la collaboratrice. Si elle n'a pas la précision et l'acidité feutrée de son mentor, elle ne doit pas rougir de la comparaison.
Les Fiches du Cinéma
D’une douceur infinie, le film choisit la voie de l’harmonie et de l’exploration subtile du deuil, mais s’essouffle par manque de matériau lyrique.
Les Inrockuptibles
Découverte d'une disciple de Kore-eda, qui mêle avec brio satire et ligne claire.
Paris Match
"The Long Excuse" révèle une écriture sensible et appliquée qui prend son temps pour dresser le portrait d'un homme complexé par l'amour.
Télérama
Délicate mosaïque de séquences modestes, quotidiennes, le film est touchant, singulier, tant qu’il préserve l’opacité de son héros blessé. Dès lors que ce dernier entreprend de s’aider lui-même en aidant les autres et se transforme en super-nounou pour bambins, le récit emprunte les chemins balisés de la rédemption made in Hollywood.
Le Journal du Dimanche
Si on adhère au rythme lent qui permet de mieux comprendre les contradictions du personnage, dommage que le récit reste en surface et manque de finesse.
Le Monde
Cette piste ambiguë est abandonnée pour racheter une rédemption au héros, et l’ensemble s’enfonce dans les bons sentiments.
Libération
Le pouvoir du deuil de reconfigurer les liens en les bousculant par la force du traumatisme, c’est probablement le sujet profond du film, mais on ne peut pas dire que la mise en scène de Miwa Nishikawa (...) parvienne jamais à transcender un sentiment général de déjà-vu maussade et de cruauté tempérée.
Positif
(...) l’exploitation excessive des émotions sentimentales finit par nuire à l’oeuvre en cherchant par tous les moyens à pousser les spectateurs à s’identifier aux personnages.
aVoir-aLire.com
Ce film sur le deuil souffre malheureusement d’une mise en scène aussi figée que ses personnages.