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L’histoire se base sur des faits réels... en y ajoutant une dose d’humour, de pure fantaisie, et le plaisir de s'échapper un peu sur les terrasses de La Havane.
Une satire mélancolique, qui montre les conditions de vie à Cuba dans les années 1990, entre précarité et débrouillardise. Seul regret : que la mise en scène n'insiste pas plus sur la dimension absurde de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si la peinture de la société cubaine perclue de pénuries, écrasée par le soupçon institutionnalisé donne au film une acuité certaine, la propension du réalisateur à l’onirisme et au sentimentalisme le dessert.
"Sergio et Sergei" est, lui aussi, un film de son époque, qui cherche laborieusement à créer du consensus et à mettre en avant l’extraordinaire de la communication entre des univers culturels différents.
Mais ce film attachant est plombé par trop d’afféteries (rythme lancinant, pénible voix off scolaire) pour pleinement convaincre. Vouloir faire trop joli se retourne contre lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
L’histoire se base sur des faits réels... en y ajoutant une dose d’humour, de pure fantaisie, et le plaisir de s'échapper un peu sur les terrasses de La Havane.
L'Obs
Une satire mélancolique, qui montre les conditions de vie à Cuba dans les années 1990, entre précarité et débrouillardise. Seul regret : que la mise en scène n'insiste pas plus sur la dimension absurde de l'histoire.
Le Journal du Dimanche
Un film modeste, tendre et gentiment loufoque.
Les Fiches du Cinéma
Entre absurde, humour et tendresse, un film qui, tel un conte, plaide pour la fraternité.
Télérama
Portée par des interprètes attachants, voilà une chronique chaleureuse et critique, ancrée dans le quotidien d’un pays en transition.
Le Monde
Si la peinture de la société cubaine perclue de pénuries, écrasée par le soupçon institutionnalisé donne au film une acuité certaine, la propension du réalisateur à l’onirisme et au sentimentalisme le dessert.
Positif
"Sergio et Sergei" est, lui aussi, un film de son époque, qui cherche laborieusement à créer du consensus et à mettre en avant l’extraordinaire de la communication entre des univers culturels différents.
Première
Mais ce film attachant est plombé par trop d’afféteries (rythme lancinant, pénible voix off scolaire) pour pleinement convaincre. Vouloir faire trop joli se retourne contre lui.