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Votre avis sur Le Dossier Mona Lina ?
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excellent....comme chaque film d’Eran Riklis ..... on s’attache immédiatement aux personnages et on reste surpris de sequence en séquence jusqu’à la dernière image.
Une histoire palpitante, parfois compliquée à suivre tant les traitrises sont multiples. Désir de vie et désir de mort ont partie liée. L'une aspire à être mère, l'autre l'est, mais a dû laisser son enfant. La violence est d'essence masculine et il faudra un jour s'en préoccuper pour montrer que d'autres alternatives sont possibles. L'opposition juifs/arabes sert des causes, dont les acteurs ne sont sans doute pas les bénéficiaires...
Ce thriller d'espionnage est très réussi.
Il y a beaucoup de tension et des émotions (notamment deux très belles scènes de larmes).
Certains disent que la fin est compliquée, je ne trouve pas du tout, la fin est tout à fait compréhensible.
En effet, si on est bien attentif tout au long du film, on comprend parfaitement.
Il y a beaucoup de tension et des émotions (notamment deux très belles scènes de larmes).
Certains disent que la fin est compliquée, je ne trouve pas du tout, la fin est tout à fait compréhensible.
En effet, si on est bien attentif tout au long du film, on comprend parfaitement.
dominique P.
Ce thriller est topissime !
J'ai adoré.
J'ai été captivée par l'ambiance et le suspense.
Par ailleurs, la réalisation est très soignée, le scénario est bien ficelée et ce fut pour moi un réel plaisir de voir cette histoire.
Les deux actrices sont épatantes, en particulier Neta Riskin.
Je mets la note maximale tellement j'ai aimé.
A ce point là c'est rare.
J'ai adoré.
J'ai été captivée par l'ambiance et le suspense.
Par ailleurs, la réalisation est très soignée, le scénario est bien ficelée et ce fut pour moi un réel plaisir de voir cette histoire.
Les deux actrices sont épatantes, en particulier Neta Riskin.
Je mets la note maximale tellement j'ai aimé.
A ce point là c'est rare.
Très bon thriller à mi chemin entre le reportage froid d'une opération de services secrets et l'étude psychologique de deux femmes dans un huis clos en milieu hostile. L'histoire est soutenue, réserve des surprises, sans s'éloigner du vraisemblable et du plausible. Les personnages sont sobres, bien campés dans leurs logiques respectives nationales : chacun défend les intérêts de son pays. Cette banalité semble utile à rappeler dans une époque qui cherche à nous vendre "Le monde est mon village" et "on est tous frères". Dans la vraie vie, celle des guerres qui se cachent, les soldats de l'ombre travaillent pour leur pays, juste pour cela.
Le réalisateur est passé à côté de son sujet, rien ne fonctionne ici, on ne ressent aucune tension, aucune émotion. La mise en scène est trop classique, elle se contente de filmer les temps morts, la posture de Golshifteh Farahani et son parler sont insupportables, les dialogues entre les deux femmes insipides et l'intrigue assez banale arrive à paraître compliquée. A oublier.
traversay1
Eran Riklis ne refera sans doute jamais un film aussi brillant que le sublime Les citronniers. Mais le reste de sa filmographie étant plutôt d'un bon niveau, le voir réaliser un thriller d'espionnage était l'assurance presque certaine de découvrir autre chose qu'un banal concentré d'action et de suspense. C'est la cas en effet mais sans convaincre vraiment. Temps Mossad sur Le dossier Mona Lina autour de la protection des espions des services secrets israéliens et qui débouche sur un huis clos féminin qui ne tient pas tout à fait ses promesses. Le résultat est en effet mi-figue, mi-raisin, avec un certain respect des codes du film de genre, à savoir une intrigue qui ne cesse de s'embrouiller avec quelques rebondissements distrayants, Et surtout un dialogue censé avoir une haute teneur psychologique entre deux femmes blessées et dont on attend les confidences respectives. A vrai dire, il manque un peu de profondeur à ces portraits aussi rapidement esquissés que leur carrière au service du Mossad. Le visage recouvert de bandages pendant la majeure partie du film, Goldshifteh Farahani ne démérite pas mais laisse la vedette à l'actrice israélienne Neta Riskin qui livre une belle interprétation et donne un vrai souffle de vie à un personnage fragile que le cinéaste aurait pu encore davantage étoffer.
Quel fin compliqué, c'est tordu, on y comprend plus rien. Sur les phases intimistes, je ne mords pas. Elles sont surréalistes, j'avais l'impression d'être dans un film de science fiction perdu au milieu d'un film d'espionnage. Beaucoup de lourdeurs. Impression que le film fait semblant.
Yves G.
Naomi (Neta Riskin) est une agent du Mossad qui peine à se reconstruire après la tragédie qu'elle a vécue. Son chef, Gad (Lior Ashkenazi), lui propose une mission a priori sans risque : être la babysitteur de Mona (Golshifteh Farahani), une taupe exfiltrée du Hezbollah durant sa convalescence après l'opération esthétique qu'elle vient de subir afin de changer d'identité.
Le cinéaste israélien Eran Riklis n'est pas un inconnu. Il a déjà réalisé plusieurs films remarquables qui interrogent la place des Arabes dans la société israélienne : "La Fiancée syrienne", "Les Citronniers", "Mon fils"... Il change de registre en signant un film d'espionnage que l'affiche et le sous-titre sursignifiant destinent pachydermiquement à un public féminin.
Pourtant "Le Dossier Mona Lina" n'a rien de féminin ni de féministe si ce n'est le sexe de ses deux principaux protagonistes. Il s'agit d'un polar comme on en a déjà vu beaucoup. Le genre suit des règles éprouvées. "Le Dossier Mona Lina" n'y déroge pas. Mais les séries américaines ("Homeland") ou française ("Le Bureau des légendes") placent désormais la barre très haut qu'il n'est pas toujours facile de franchir.
Dans sa première partie, "Le Dossier Mona Lina" réussit à entretenir une ambiance paranoïaque. Le spectateur se met dans la peau de Naomi et, comme elle, voit partout des menaces : un appel téléphonique soi-disant mal aiguillé, un vendeur de journaux au regard insistant, un voisin à son balcon... Tout est dangereux, pour elle qui est parano et pour le spectateur qui est habitué à donner une signification à chacun des signes qu'on lui montre.
Le film perd de son intérêt dans sa seconde partie. Les deux personnages principaux sont lestés d'une lourde psychologie qui, sans qu'il soit ici question de déflorer l'intrigue, a trait à leur relation à la maternité.Et le film se termine, comme il est désormais d'usage, par un twist passablement alambiqué auquel je ne suis pas certain d'avoir tout compris.
Le résultat est globalement décevant qui nous avait mis l'eau à la bouche mais nous laisse sur notre faim.
Le cinéaste israélien Eran Riklis n'est pas un inconnu. Il a déjà réalisé plusieurs films remarquables qui interrogent la place des Arabes dans la société israélienne : "La Fiancée syrienne", "Les Citronniers", "Mon fils"... Il change de registre en signant un film d'espionnage que l'affiche et le sous-titre sursignifiant destinent pachydermiquement à un public féminin.
Pourtant "Le Dossier Mona Lina" n'a rien de féminin ni de féministe si ce n'est le sexe de ses deux principaux protagonistes. Il s'agit d'un polar comme on en a déjà vu beaucoup. Le genre suit des règles éprouvées. "Le Dossier Mona Lina" n'y déroge pas. Mais les séries américaines ("Homeland") ou française ("Le Bureau des légendes") placent désormais la barre très haut qu'il n'est pas toujours facile de franchir.
Dans sa première partie, "Le Dossier Mona Lina" réussit à entretenir une ambiance paranoïaque. Le spectateur se met dans la peau de Naomi et, comme elle, voit partout des menaces : un appel téléphonique soi-disant mal aiguillé, un vendeur de journaux au regard insistant, un voisin à son balcon... Tout est dangereux, pour elle qui est parano et pour le spectateur qui est habitué à donner une signification à chacun des signes qu'on lui montre.
Le film perd de son intérêt dans sa seconde partie. Les deux personnages principaux sont lestés d'une lourde psychologie qui, sans qu'il soit ici question de déflorer l'intrigue, a trait à leur relation à la maternité.Et le film se termine, comme il est désormais d'usage, par un twist passablement alambiqué auquel je ne suis pas certain d'avoir tout compris.
Le résultat est globalement décevant qui nous avait mis l'eau à la bouche mais nous laisse sur notre faim.
Mona, libanaise, informatrice des services secrets israéliens est exfiltré vers l’Allemagne et change de visage. Pendant deux semaines, Noami agent du Mossad est chargée de lui tenir compagnie et de la protéger. Mais le Hezbollah est à la poursuite de Mona et la planque ne s’avère pas aussi sûre que prévue…
Ce dossier Mona Lina est un vrai petit bijoux, comme seul le cinéma indépendant peut nous offrir.
Très loin des films d’espionnage « classique » d'Hollywood , le scénario est digne de John Le Carre. Les ingrédients sont relevés petits à petits, pour mieux entretenir le suspense.
La relation entre les deux héroïnes que tous oppose au premier abord et qui finiront par se rapprocher spoiler: sur le préoccupations maternelles: l'un désir un enfant tandis que l'autre veut retrouver le sien
est également filmé avec justesse
A voir absolument en VO, pour apprécier toute sa richesse. En effet, pas moins de cinq langues ( l'Hebreux, l'Anglais, l'Arabe, mais aussi l'Allemand et quelques passages en Francais) donnent toute leurs profondeurs aux personnages et au récit.
Ce dossier Mona Lina est un vrai petit bijoux, comme seul le cinéma indépendant peut nous offrir.
Très loin des films d’espionnage « classique » d'Hollywood , le scénario est digne de John Le Carre. Les ingrédients sont relevés petits à petits, pour mieux entretenir le suspense.
La relation entre les deux héroïnes que tous oppose au premier abord et qui finiront par se rapprocher spoiler: sur le préoccupations maternelles: l'un désir un enfant tandis que l'autre veut retrouver le sien
est également filmé avec justesse
A voir absolument en VO, pour apprécier toute sa richesse. En effet, pas moins de cinq langues ( l'Hebreux, l'Anglais, l'Arabe, mais aussi l'Allemand et quelques passages en Francais) donnent toute leurs profondeurs aux personnages et au récit.
J'ai trouvé ce film délicat, presque ambivalent dans la force de son scénario…..On est dans le politique entre Israël et le hezbollah, avec des implications américaines et le film se passe en Allemagne…
spoiler:
.Une femme doit être protégée 15 jours à Hambourg, mais elle menace autant Israël que les libanais et les palestiniens….On lui envoie une professionnelle israélienne
.Le film est techniquement abouti, même si je lui reprocherais des extérieurs trop courts, que ce soit en Israël ou en Allemagne…..Le film est aussi un film de relation entre deux femmes...Et ne vous attendez pas à un film d'action, même s'il y a un ou deux moments dans le genre…..La scène dans le cimetière est d'une grande émotion, comme la fin du film d'ailleurs….c'est de la belle réalisation, entourée d'une musique discrète, et doué d'une réelle sensibilité…..Je conseille sans insister sauf pour les cinéphiles et l'aspect politique du film…..
.Le film est techniquement abouti, même si je lui reprocherais des extérieurs trop courts, que ce soit en Israël ou en Allemagne…..Le film est aussi un film de relation entre deux femmes...Et ne vous attendez pas à un film d'action, même s'il y a un ou deux moments dans le genre…..La scène dans le cimetière est d'une grande émotion, comme la fin du film d'ailleurs….c'est de la belle réalisation, entourée d'une musique discrète, et doué d'une réelle sensibilité…..Je conseille sans insister sauf pour les cinéphiles et l'aspect politique du film…..
Le début m'avait emballé... le milieu m'a un peu fatigué, à cause notamment de la pose de pharaon hiératique de Golshifteh Farhani et de son tempos monocorde et dolent et la fin m'a déçu car je déteste quitter la salle avec le sentiment de n'avoir rien compris. L'intrigue est vraiment TRES emberlificotée et on ne sait plus bien qui a tué qui et pourquoi ...
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