Ma toute première critique sur le site pour m'a part le film de la décennie . Touchant, poignant, dérangeant voir choquant un film qui prend au tripe une ambiance délicieusement anxiogène du début a la fin porté par un joaquin phoenix criant de justesse une interprétation en tous points remarquable . Je suis sortis de la salle le cœur léger la gorge sèche mais tellement content de mettre pris cette claque cinématographique en pleine face je n'y était pas préparé comme quoi en 2019 il y a encore des film que l'on peut d’or et déjà qualifier de "chef-d’œuvre" .Merci la warner , todd, joaquin pour m'avoir fais rêver il y a un avant et un après joker...
Quel plaisir de voir l’envers du décor des films de super-héros avec une dimension tragique des plus bouleversantes ! Le « Joker » de Todd Phillips est un franc succès d’écriture qui parvient à mettre en exergue toute l’ambivalence d’un des personnages les plus complexes de DC Comics. Ce film est une introduction aux délires psychotiques d’un homme rejeté par la société, Arthur Fleck. Bien avant de devenir le Joker, nous découvrons un homme souffrant de troubles mentaux qui ne trouve pas sa place socialement et professionnellement. Sa seule satisfaction sur terre semble être sa mère et l’attention qu’il lui porte au quotidien. Qui dit homme divergent dit société qui ne s’adapte pas ou en tout cas très peu, à l’image des coupes budgétaires d’assistance sociale et des collègues de travail relativement peu compréhensifs envers sa maladie. Un sentiment de révolte se déploie en nous tout au long du film et nous réalisons à quel point l’évolution du personnage se justifie de par les gens qui l’entourent mais aussi de par ses origines (spoiler: notamment l’adoption d’une mère atteinte de démence et d’un père violent rejetant l'existence de son fils ). Dans un monde sans merci et cruel, Arthur représente cette population balayée, niée au quotidien et pour laquelle rien n’est fait. C’est pourquoi ce film est une réussite. Il complète bien le Joker de Christopher Nolan (The Dark Knight, 2008) en se concentrant ici sur les raisons du délire de l’homme et l'absence d'interlocuteurs pour l'aider à surmonter ses peines. Les prouesses du jeu d’acteur de Joaquin Phoenix permettront aussi de dire que le rôle lui allait comme un gant et qu’il rend crédible tout le parcours du combattant d’Arthur. Une très bonne bande originale et de bons choix de chansons perfectionnent le résultat final. Todd Phillips, vous redonnez du sens et de la profondeur aux productions DC Comics, et nous ne pouvons que vous en remercier !
j'ai pas aimé du tout , je me suis réellement fait chier avec se film beaucoup trop long a démarrer , si ont peut vraiment dir si il démarre vraiment !!!!
L'ambiance du film est pesante et la musique accompagne merveilleusement la mise en place du personnage en montant en intensité alors que sa personnalité s'installe. Joachim Phénix est tout simplement génial dans ce rôle.
Joker, une vision déprimante et hors contexte du personnage. Il faut accrocher et surtout s’accrocher. Long, étrange et totalement bizarre. Les fans de l’univers du chevalier noir aimeront (ou pas) cette vision du célèbre clown. De mon côté, j'ai pas accroché... dommage.
D'après ce film, Le Joker estspoiler: timide, paumé, vie chez maman a 45 ans, veut être humoriste, est dépressif, a un rire ridicule et a le QI d'une huître .Comment bousiller un mythe, un génie fou , machiavélique, sur de lui, craint par tous, parrain de Gotham, charismatique qui n'a peur de rien et fait trembler Batman. Ils l'on fait et bientôt ce sera Magnéto se faisant piqué son goûter a la récré ou bien Thanos qui danse en tutu ?
tout est fait pour le jeu du comédien qui au bout d'un moment devient lassant et insupportable , on nage dans le sordide et le réalisateur s'en délecte. un film est d'une platitude et d'un ennuie prodigieux. c'est une escroquerie cinématographique d'une prétention affligeante. c'est de la politique infecte, bref a éviter sauf si vous désirez avoir envie de quitter la salle a toute jambe.
Ce film est claqué, mais vraiment claqué, on me l’as vendu comme un chef d’œuvre, avec un grand Joaquin Phœnix, mais il joue bien les 10 dernières minutes, c'est surjoué le rythme est foireux, plein de clichés enfin j’ai même pas envie de m’étaler j’ai déjà perdu 2h en regardant ça et 2min pour le critiquer c’est déjà trop
JOKER (2019): Une musique d'ambiance très parlante, aussi puissante que toutes les images qui décriront cette descente aux enfers d'Arthur Fleck. Un adulte fragile qui s'exilera peu à peu en marge d'une société violente. Un film crédible, sans fioritures lourdes. L' histoire prendra le temp de se poser afin de nous faire comprendre la construction psychologique du futur Joker. Un homme faible, déstabilisé par un monde haineux alimenté par la réussite moqueuse d'hommes puissants. Un monde destructeur pour Arthur, un sociopathe qui se voudra gentille, mais fragilisé par ses difficultés à s'exprimer. Un homme limité, dont la seul arme qu'il possèdera contre cette brutalité sera cette grande violence couvée en lui Cette réalisation nous plongera directement dans les dérives d'un personnage malade. Une maladie neurologique qui provoquera chez lui des délires mais aussi des crises de rire macabres devant des situations stressantes. Une histoire surprenante, racontant la métamorphose d'un homme simple, dont les traumas le transformeront en un meurtrier incontrôlable. Joaquin Phoenix (Joker) sera d'une grande efficacité, Robert De Niro très convaincant en présentateur vedette de talk-show . Un film prenant, excellent.
Très ennuyeux, les bruitages et la musique, très forts, tentent de masquer le vide du scénario, énormément de longueurs, aucune évolution du personnage... Prises de vue esthétisantes mais vides. Et très mélodramatique, le Joker a eu une enfance très malheureuse, que voulez-vous, à sa place, vous auriez fait pareil... A fuir !
Grosse déception. Film lourdingue et ultra-démonstratif (pour les neuneus ?). Violences gratuites, provocations faciles, histoire d'amour grotesque, message politique simplet ("c'est la faute de la société"). "Le Père Noël est une ordure" est plus fin et plus rythmé.