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    Joker
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    3 571 critiques spectateurs

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    lewis
    lewis

    5 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2020
    D’abord gênant, ensuite angoissant et enfin violent, la montée en tension dans ce film est permanente et superbement orchestrée par le réalisateur. Joaquin Phoenix interprète magistralement un rôle-titre qui donne enfin de la profondeur au plus emblématique des ennemis de Batman. Tout compte fait, et c’est peut-être là le plus important, ce film représente un miroir de nos sociétés occidentales, car Gotham City porte en elle-même les germes de la violence humaine et sociale qui y prévaut, et dont Joker n’est qu’un drôle de spécimen.
    Anesia
    Anesia

    10 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2020
    Ce film ne mérite aucun prix. C'est juste l'histoire d'un psychopathe... La seule leçon que l'on en retire c'est qu'il faut prendre son traitement quand on est schizophrène.
    Laurentfromnice
    Laurentfromnice

    10 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    que de longueurs dans ce film !!! Un film d'une vingtaine de minutes - et encore - aurait largement suffit. Ok, le mec est un bon psychopathe mais quel ennui !!!!!
    Pirel
    Pirel

    8 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    Un film très sympa mais clairement surestimé à mes yeux.
    Le film se laisse regarde, l'histoire est sympa, mais il y a quand même pas mal de défauts...
    Pas mal de longueurs inutiles qui font ressentir un profond ennui à certains passages, par exemple.
    Des séquences qu'un enfant de 8 ans aurait pu scénariser tellement c'est grotesque [spoiler](genre le passage dans le frigo, on peut pas faire plus bête comme métaphore ? Ca ne m'a pas étonné quand j'ai appris que ça avait été improvisé et que ce n'était pas dans le scénario... Scénariste, c'est un vrai métier !)
    Les personnages manquent pas mal de profondeur quand même... A part le Joker, mais comme il est quand même franchement détestable, à moins d'être un futur psychopathe, et qu'on arrive difficilement à lui trouver des excuser, ben ça nuit carrément à l'immersion je trouve.
    Un autre défaut, mais plus personnel, c'est que je ne suis pas arrivé à me raccorder à l'univers de Batman. Disons que ce Joker n'a aucune crédibilité dans l'univers DC, il serait bien incapable de monter une organisation criminelle. Du coup, de deux choses l'une... Soit on reste dans l'univers DC, et c'est pas crédible. Soit on sort de cet univers, et à ce moment là, pourquoi faire un film aussi manichéen ? C'est grotesque, parfois...
    Le jeu d'acteur de Joachin Phoenix est très bon, mais que j'entend qu'il est magistral, faut pas pousser... On a vu mieux dans ce rôle.

    Bien entendu, ce film a également plein de qualités, il est intéressant dans sa mise en scène, son jeu d'acteur, dans certaines astuces scénaristiques qui nous font vraiment réfléchir à la situation de la personne, par son dénouement qui, s'il est un peu grotesque, a le mérite de vouloir dénoncer les comportements de foule... Quoique le réalisateur dise le contraire et ne semble même pas comprendre lui-même ce que son film raconte... x)
    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 octobre 2019
    Je connais le personnage du Joker à travers le personnage de Batman évidemment.
    Notamment j'avais beaucoup apprécié la prestation de Jack Nicholson dans le film "Batman" de Tim Burton qui date de 1988.
    J'étais au lycée en seconde cette année là et j'avais adoré ce "Batman".
    Je trouve que c'était inutile de faire un film uniquement sur ce Joker.
    Je n'ai pas aimé et franchement je suis très étonnée de toutes ces critiques positives.
    Ce film qui dure deux heures est un véritable pensum long, pénible et très dérangeant.
    C'est beaucoup trop glauque et violent.
    Je suis sortie de là agacée et fatiguée.
    lograt
    lograt

    10 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 février 2020
    Un film acclamé par la critique et pourtant. Personnellement je l'ai trouvé ennuyeux, simpliste à l'extrême et incohérent avec les films batman (ici le joker est trop âgé par rapport à batman et le joker est plus simple d'esprit que génial). Dommage je me suis fait avoir par les bonnes notes
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    527 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2022
    Dans le contexte actuel, Joker est une anomalie. Il ne bénéficie pas d'un gros budget et se concentre sur l'une des figures majeures de la pop culture. Les deux pieds dans l'univers Comics et pourtant détaché du DCEU mis en place en 2013. Il n'a pas l'ambition de fracasser le Box Office et est pourtant un risque (artistique et commercial). Une anomalie, je vous dis. En même temps, quoi de plus normal puisqu'on parle du Joker. Ironiquement, le film de Todd Phillips est presque le dernier espoir pour un genre menacé par l'indigence. L'équation fut donc simple : réduire les dépenses, acquérir plus de liberté et y aller au culot. Et il fallait au moins ça pour se mesurer à l'icône, immortalisée à l'écran par Jack Nicholson et Heath Ledger.

    Deux influences majeures : le roman graphique Killing Joke d'Alan Moore (contant les origines du clown prince du crime) et le cinéma Scorsesien fin des années 70/début 80. Deux balises maousses que le film ne perd jamais de vue. On retrouve le feuillage psychologique de Moore, le tronc désenchanté de La Valse des pantins sous l'écorce urbaine et poisseuse de Taxi Driver. Le climat de rêve pour ciseler le portrait du Joker sous un angle inédit au cinéma : l'émotion. Loin de se livrer à l'éloge morbide d'un joueur psychotique, le long-métrage veut susciter l'empathie pour Arthur Fleck afin de rendre sa chute tristement glaçante (Jolie référence directe au Dark Knight Returns de Frank Miller).

    Philips y va franco, alors mettons les pieds dans le plat : le cinéaste n'a ni le génie d'un Scorsese ni la profondeur d'un Moore. Pas de vraie fulgurance sur la mise en scène (beaucoup de caméras à l'épaule pas folichonnes), et pas mal d'éléments scénaristiques repris stricto-sensu de The King of Comedy. La frontière entre hommage et pillage est poreuse, Joker n'essayant jamais de s'affranchir de cette influence, elle joue immanquablement contre lui. Oubliez le titre, vous l'avez déjà vue cette histoire - ses thèmes, sa symbolique - depuis 40 ans. Et ça n'a rien de péremptoire, juste une remise à plat qui me semble opportune alors que le long-métrage cumule les éloges depuis la Mostra de Venise. Surtout que le coup dans le rétro n'a franchement pas grand intérêt. Officiellement située dans la décennie eighties, cette relecture reprend avant tout l'esthétique des seventies. L'autre problème - de taille, également - résulte du même problème d'approche : Arthur Fleck.

    Non, n'allez pas croire que Joaquin Phoenix passe à côté du rôle. Pas du tout, le comédien est totalement crédible quelle que soit l'émotion qu'il veut faire partager. Sa réussite est doublement exemplaire puisque le script n'est pas des plus fins avec le personnage. D'entrée de jeu, on fait de Fleck un perturbé, donc peut-on parler d'évolution si le clown malade devient un peu plus maboul à la fin ? C'est hautement discutable. Une erreur scénaristique qui aurait pu être rattrapée avec une mise en scène jouant subtilement sur la retenue ou l'ambivalence, pavant la route pour un croisement soudain. Todd Philips ne joue cette carte là que dans sa dernière partie (forte) ou au gré d'une poétique rencontre entre Fleck et son futur adversaire. Est-ce que ça empêche néanmoins la proposition de toucher juste ? En dépit de ces marqueurs écrasants, de ses redîtes empotées, la réponse est non.

    Symboliquement, le film prend le parti de ne pas trancher sur les évènements qui se déchaînent au dehors. D'aucuns pourraient lire cela comme de la lâcheté, je ne le vois pas ainsi. Avant de s'échapper du commun des mortels, le personnage principal est le symptôme d'une époque malade. Pris en étau entre deux mondes voisins pourtant étrangers, le Joker en devenir subit la rage qui couve entre les nécessiteux et les possédants. Aux problèmes de communication et de compréhension, Fleck répond par un rire pathologique dont le sens devient de moins en moins certain. Jusqu'à devenir le cri de guerre dans une lutte contre tous, l'homme cessant d'être (comme ses origines) pour devenir un symbole mensonger dans un sens comme dans l'autre. Une vaste blague. Qui a malheureusement mis dans le mille.

    Dans une autre configuration, Joker n'aurait jamais fait l'évènement. C'est parce que le genre ne joue plus que la sécurité que la proposition de Philips génère un tel engouement. On palabre sur sa dimension politique et on loue sa prétendue subversion. Derrière la fausse impression de fraicheur, les arômes sont largement familiers et la mise en images on ne peut plus classique. En faire une œuvre politique (plutôt pertinente, d'ailleurs) ne suffit pas à renverser le jeu. Tout au plus, le long-métrage pourra relancer la partie et permettre l'émergence de projets plus "difficiles". Puis, impossible de dénier le cœur mis à l'ouvrage, avec un acteur principal magnifique, une très belle photographie ainsi qu'une bande-originale inspirée. On ne va donc pas s'en priver, et plutôt l'en féliciter.
    Marie Breton
    Marie Breton

    67 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    La bande annonce vue maintes fois au cinéma ne m’a jamais donné envie. Les critiques dithyrambiques lues le jour de sa sortie ont fortement attisé ma curiosité. Alors quelques jours après, j’y suis allée avec la peur d’être déçue (comme je l’avais été avec « Ad Astra » quelques semaines plus tôt).
    Joker est un film dont il est difficile de parler à des inconnus. C’est une expérience personnelle très forte. Chacun y verra miroiter un(des) thème(s) différent(s) en fonction de sa propre vie, se l’appropriera à sa façon, en fera un bilan unique, privé ou non. La réaction de la salle une fois le générique lancé et les lumières allumées est peut-être plus parlante que n’importe quelle critique : personnes qui restent sur leurs sièges sans échanger un mot ni oser se regarder, petits groupes qui rient nerveusement, murmures lents et confus, visages serrés ou inexpressifs : oui, on vient de disséquer quelque chose de brutal et de très intime, et ce n’est pas du tout agréable qu’il y ait autant d’inconnus autour de soi quand on tente d’encaisser le choc. Chacun semble gérer le stress à sa manière. Mais tout le monde est tendu, c’est palpable. On veut vite quitter la salle, rentrer chez soi, et digérer.
    Un chef d’œuvre comme on en voit peu dans sa vie.
    Byrlthek
    Byrlthek

    17 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2020
    Tout simplement fabuleux, on entre dans une sorte de malaise permanent, ambiance anxiogène, malgré quelques situations cocasses, la violence psychologique nous emmène peu à peu vers son paroxysme. Joaquin Phoenix est hors normes, il est le Joker et de très loin devant tous ses prédécesseurs en terme de Grand Acteur de Cinéma.
    Il n'a plus qu'à aller chercher son Oscar bien mérité car cette pépite le place au summum de ses plus belles prestations au cinéma, il est temps de récompenser ce travail titanesque ! Un pur chef d'oeuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    Grand passionné de cinéma depuis ma tendre enfance, amoureux des Kubrick, Tarantino, Malick, Scoresse et j'en passe.

    Je viens pour la première fois à 28 ans de m'inscrire à ALLOCINÉ pour écrire sur ce chef d'oeuvre et remercier ses créateurs.
    Oui en effet, ce n'est pas un film que j'ai vu en avant première Vendredi 4 Octobre 2019, mais bien un chef d'oeuvre.

    J.Phoenix est bien evidemment GARGANTUESQUE, mais MERCI à toute l'équipe d'avoir participé à la réalisation de cette pépite, MERCI aux producteurs de croire encore à ce genre de projet.

    Il est difficile pour certains d'accepter que la perfection puisse exister car parait-il qu'elle n'existe pas, mais parfois les Hommes peuvent rendre une copie parfaite et lorsque c'est le cas, il ne faut pas hésiter à le souligner.

    La mise en scène
    La réalisation
    Le scénario
    Les jeux d'acteurs
    Le ryhme
    La montée en pression
    Les rélexions
    Le final, sont tout simplement magnifiques.

    Merci le CINOCHE <3
    Jeremy L
    Jeremy L

    10 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 octobre 2019
    Vraiment rien de spécial dans ce film qui retrace les débuts du Joker. Film assez froid et long.
    Personnage très bien joué par Joaquin Phoenix qui prend son rôle au sérieux, mais malheureusement le film film ne relève pas le niveau attendu...
    ps: ne vous attendez pas à aller voir un film de super-héros car se film retrace la vie d'un psychopathe.
    selenie
    selenie

    6 228 abonnés 6 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2019
    Logiquement, le premier atout du film reste la performance hallucinée et hallucinante de Joaquin Phoenix. Mais si l'acteur est au sommet et prouve une fois de plus qu'il a bel et bien sa place au Panthéon des génies, les effets seraient sans doute moindre si le réalisateur Todd Philipps n'avait pas lui-même transcendé son sujet avec une mise en scène inspirée avec une collection de plans icôniques démentiels avec, en prime, une photographie sublime au ton un brin délavé pour une mise en abîme d'une société en perdition. Son Lion d'Or obtenu à la Mostra de Venise suivi de ses 8 minutes de standing ovation ont eût un écho certain pour créer un buzzz mérité. Sur le podium 2019 sans aucun doute...
    Site : Selenie
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 octobre 2019
    Lion d'or à Venise et rumeur plus qu'alléchante, il n'en fallait pas moins pour piquer ma curiosité. Même si le nom du réalisateur Todd Phillips (celui qui a commis les Very Bad trip et autres comédies potaches pas très drôle) faisait peur. Contre toute attente, sa mise en scène est plus que maitrisée, elle est virtuose. Tout comme l'interprétation aussi habitée qu'hallucinante de Joaquin Phoenix, l'une des toutes meilleures de ses dernières années et celle de l'année assurément. Il nous avait déjà gâté avec quelques prestations de haute volée, mais là elles sont toutes surpassées. Difficile de voir un autre favori pour les prochains Oscar. Lui qui en a déjà raté trois (Gladiator, Walk the line, The master) devrait logiquement raflé la mise cette fois-ci. A ses côtés, Frances Conroy (le rôle est vraiment trop fin), Zazie Beetz et même Robert de Niro sont totalement éclipsés. Si le scénario n'a peut être rien d'original sur le fond (même s'il traite de quelques thèmes importants, de la lutte des classes aux origines du mal et à la filiation), il nous offre un récit sombre et tragique, violent, parfois drôle, souvent délirant et toujours suffocant. Il s'éloigne surtout des habituelles adaptations de comics en créant une histoire originale autour du Joker, ennemi juré de Batman, non tirée d'une bande dessinée. Le film sort donc des sentiers battus aussi grâce à cela. Si on ajoute à tout ceci, une direction artistique superbe et une très belle musique, on obtient, dans cette année cinéma assez terne, l'un des meilleurs film de 2019, si ce n'est le meilleur. A l'opposé des super-héros clinquants, voilà une antithèse des Marvel et autres productions du genre, le portrait d'un homme cassé par la société pour un grand film. Puissant, noir, passionnant. Une excellente et jubilatoire surprise.
    T-Tiff
    T-Tiff

    92 abonnés 1 184 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2019
    Evidemment, nous avions un maximum d'attentes pour "Joker", le film revenant sur l'histoire inconnue d'Arthur Fleck, celui qui deviendra l'adversaire mythique de Batman. Il était donc compliqué pour le film de ne pas décevoir ces attentes, qui pouvait laisser imaginer que ce film serait un chef-d’œuvre. Ce n'est pas le cas, mais ça en est très proche. Le film commence directement en présentant un personnage atteint de démence, au rire compulsif, on n'a donc pas une histoire où le protagoniste tombe progressivement dans la folie. En revanche, cette folie entraînera progressivement la violence. Une violence souvent sadique, retranscrit tellement bien à l'écran qu'elle donne un sentiment de dégoût au spectateur. Le film reconstruit alors la mythologie du Joker, étroitement liée à celle du Chevalier noir, qui apparaît ici enfant, avant la mort de ses parents. Joaquim Phoenix est absolument spectaculaire dans le rôle principal, incarnant un personnage presque rachitique. Si le début est peut-être un tout petit peu lent, le final est absolument spectaculaire, avec cela dit une morale un peu douteuse. "Joker" sera sans aucun doute très important dans l'histoire des films de super-héros, avec ici une histoire complètement centrée sur la psychologie du personnage, ce qui est une totale réussite.
    jaggg
    jaggg

    21 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2019
    Pauvre Arthur Fleck, pauvre gamin qui ne demandait qu’un peu d’amitié, de sourires et de rires. Sa vie n’a été composée que de glauquitude, moquitude, miséritude, solitude, et comme si ce n’était pas suffisant, schizo et affligé de crises maladives de rire irrépressible.
    Tout ce qui lui apportait un peu de « baume » dans la vie, sa mère dont il s’occupe avec grand amour, sa psy, son père (père ???), son idylle avec la voisine, son personnage de clown qui lui tient à cœur mais ne fait rire personne, le jour où cette bulle explose, lui, Arthur, bascule sans retour possible dans les bras du Joker.
    Tout chez lui nous met mal à l’aise, et pourtant on ne peut pas s’empêcher de ressentir un je ne sais quoi de commisération.
    Pour ce rôle hors norme, Joachin Phoenix s’est délesté de 23 kg pour se … « fondre » dans ce personnage tordu de dégénéré digne de Gotham City, son interprétation est magistrale. Entre nous, il ne sortira sans doute pas intact de ce Joker.
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