Avis : Godzilla - Page 4

Très Américain, et doté de beaucoup de clichés, Godzilla reste néanmoins un divertissement plaisant.

Emmerich s'attaque au mythe Godzilla, toujours cette approche catastrophique de la part du spécialiste de la fin du monde, mais pourquoi pas, ça se regarde.

Bon il est vrai que l'écart est grand entre le Kaiju préféré des fans et le Godzilla de ce film. Si Matthieu Broderick fait du Matthieu Broderick et Jean Reno fait du Jean Reno le film se laisse regarder tranquille.

Ce n'est pas un chef d'oeuvre on est d'accord. Ni même un grand film. Mais faut pas non plus déconner, il est même plus regardable que les 3/4 des films issus de la franchise Godzilla y compris le dernier en date produit par la Toho (Godzilla : final Wars).

Un Godzilla un peu classe sans être Kitsh mais qui aurait pu gagner plus s'il ne ressemblais pas à un rescapé du casting de jurrassic park

Un bon divertissement purement hollywoodien où les acteurs nous font passer un bon moment. Dommage que le scénario soit bien plat et que la morale soit encore que la fin justifie les moyens.
Cependant les images sont superbes et les effets visuels plutot réussis.

Ce n'est pas la meilleure version de Godzilla, mais c'est la première avec des effets spéciaux que l'on peu qualifier de "modernes". Le film vaut surtout pour son scénario assez originale et l'interprétation de Matthew Broderick (Nik Tatopoulos), de Vicky Lewis (Elsi Chapman) et de Jean Reno (Philippe Roaché).

Un film sympathique mettant en scène une créature désormais culte, avec des effets spéciaux impressionants....pour l'époque! En effet ce film a plutôt mal vieilli. Qui plus est, il traîne en longueur ( 2heures c'est un peu trop), la musique jovialement grandiloquante qui accompagne ces 2 heures de film est terriblement mal adaptée, au point ou on se demande si le film se prend lui même vraiment au sérieux ou n'est au final qu'une grosse blague. Scénario on ne peu plus improbable et prévisible. Cependant les scènes d'action prenantes et Jean Reno qui interprète l'agent de la DGSE sont au final les réels points forts de ce film.

Ce film était mon événement ciné à l'époque et je n'avais malheureusement pas eu l'occasion de me rendre dans les salles obscurs. Je mettais donc ruée sur la K7 (ce DVD d'un autre époque) que j'avais dévoré et adoré. En m'intéressant davantage au cinéma, j'ai vu qu'il était pas mal critiqué. Mon engouement pour ce film ne change pas, c'est mon premier Godzilla et je l'ai adoré et je trouve le scénario davantage travaillé et surtout réaliste que le dernier film sortie en 2014. En revanche, je reconnais qu'il a été très mal vieilli (en même temps, la qualité K7 aidait à la rendre plus sympathique puisque qu'on en voyait pas les trois quarts du film). Godzilla était certes bien fait à l'époque, il met toujours sympathique, mais l'animation ne rend plus du tout. Tant que le réalisateur nous laisse dans la suggestion c'est intéressant mais quand on le découvre on tombe un peu des nus, il fait tellement faux. Le rythme du film devient d'ailleurs assez mou au fur et à mesure de l'avancement de ce dernier, j'ai d'ailleurs décrocher avant la découverte finale. Mais je le connais tellement par cœur que sa n'est plus un soucis. A l'époque j'y avais découvert Matthew Broderick, que j'avais adoré et que je suivais de près. Aujourd'hui je le trouve un peu gauche et pas sûr de lui. Jean Reno est merveilleux même si à l'époque il avait refusé un bien meilleur rôle pour pouvoir campé Philippe Roaché, et quelques répliques sympathiques qui sont assez proche de nos comédies françaises même si elle font cliché. Ma principal découverte lors de ce film, la présence de Doug Savant au casting (comprené Tom Scavo de Desperate Housewife) et je me suis principalement concentré sur son personnage je l'avoue. Malgré tout il reste pour moi le meilleur Godzilla (ma prochaine étape est d'essayer de découvrir les premiers films du monstre) et son scénario est intéressant. Si vous n'avez pas aimé la version 2014, peut être apprécierez-vous la version d'Emmerich.

Loin d'être un chef-d'oeuvre parmi les films de monstres, "Godzilla" version Emmerich remplit en revanche son contrat. Malgré un scénario bateau, on est quand même embarqué dans l'histoire, saupoudrée d'effets spéciaux spectaculaires qui n'ont pas grand chose à envier à ceux d'aujourd'hui (film de 1998!). Quelques scènes angoissantes, en particulier vers la fin, de l'humour, un Jean Reno qui fait du Jean Reno (et on aime ça) donnent finalement un film sympatoche, qui fera passer une soirée sans prises de tête.

Remake américain du premier film sorti en 1954 qui exploite les thèmes écologiques et la peur du nucléaire dans un Japon d'après-guerre traumatisé par les bombardements, Godzilla est une bonne modernisation de la célèbre créature avec Matthew Broderick et Jean Reno au casting. Le film est assez long mais est suffisamment bien rythmé pour être intéressant de bout en bout, vaguant entre phases d'action, de catastrophe et de recherche. Le suspense est bien maintenu sur l'apparence du monstre : on voit vaguement une partie de lui alors qu'il attaque un bateau au début du film, on voit ensuite l'étude de ses empreintes géantes, on l'aperçoit dans les rues sans voir son visage, puis ses dents et ses yeux sont petit à petit dévoilés. Le principal intérêt du film est le traitement de Godzilla, qui n'st pas spécialement montré comme un monstre à absolument anéantir mais plutôt comme un animal complètement perdu par sa grande taille anormale due à la radio-activité de Tchernobyl qui donc davantage comme un animal qui subit une chasse alors qu'il n'a rien demandé. S'il avait pu faire couler des bateaux par effroi, on voit qu'il n'est pas agressif envers les humains qui ne leur font pas de mal quand il ne fait rien à Matthew Broderick alors qu'il se tient tout près : un certain attachement s'installe entre les deux et on peut remarquer la tristesse voire les regrets du héros tout à la fin alors que la bête ferme sa paupière. Si le film parle avant tout de science fiction et reste donc sérieux, l'humour n'est pas en reste avec Jean Reno dans le rôle de l'agent secret français qui balancent une vanne par-ci par-là comme le fait qu'il n'y ait que des donuts et non des croissants et du café assez dégueulasse (il dit même qu'il se sentira mieux après un bon café à la fin du film !). Techniquement, Godzilla fait assez vieillot (surtout comparé à Jurassic Park sorti cinq ans avant) mais la qualité de son traitement vient bien vite effacer ce vulgaire défaut. La dernière partie du film est intéressante dans la survie qu'elle propose quand ils se retrouvent coincés dans les sous-sols face aux œufs qui viennent d'éclore (non sans rappeler Alien), on se croirait dans le jeu Dino Crisis. Malgré l'accent pas spécialement pointé sur l'émotion, on peut ressentir de l'empathie pour Godzilla qui ne fait que se défendre et qui termine vaincu par les missiles aériens, alors coincé dans les mailles du grand pont de New York, passage d'ailleurs assez violent sur le rendu des blessures de la créature. Un bon classique de la science-fiction !

"Godzilla" est un film catastrophe et de monstres ni meilleur ni pire que ce qui s'est fait et qui continuera sans doute à se faire dans les années à venir. Les effets spéciaux sont réussis, but premier de ce genre de film. Ça pète de partout, les scènes d'action sont assez divertissantes, les personnages caricaturaux au possible. Le problème est peut-être le manque de distance critique de la part de Roland Emmerich vis-à-vis de son sujet. Mais l'humour est bien présent, ce qui est déjà pas si mal.

Cette nouvelle apparition de Godzilla est réussi sans pour autant être exceptionnelle, c'est juste un film sympathique, rien de plus.
L'histoire est originale et prenante, Godzilla est immense est très impressionnant, les batailles sont spectaculaires, en revanche j'ai trouvé que Godzilla a été trop vite tué.
Ce film manque un peu de réalisme même si c'est un film fantastique. Certaines séquences sont très réussis et les effets spéciaux ainsi que les effets visuels sont tout à fait correctes.
Les acteurs sont correctes mais j'ai trouvé la reporter très énervante et c'est dommage qu'elle soit intégré dans l'histoire, de plus sa romance avec elle et le personnage principal Nik Tatopoulos interprété par Matthew Broderick est vraiment mal mis en valeur.
Ce film est sympathique et plaisant à regarder. Il correspond à mes attentes.

Visuellement, il n'est pas parfait puisque le numérique n'en est qu'à ses réels début. Emmerich met en scène le mythe japonais avec ce qu'il fait de lui un As sur le plan de l'action et des grosses scènes de combat. Un réel étonnement de voir Jean Reno dans un tel film mais bonne interprétation. Chaque grande scène même si elle n'est pas parfaite visuellement est bonne à suivre. Un bon dans l'ensemble mais reste bien des points à revoir. Le remake des années 2010 lui est une perfection en la matière.

Acteurs à ch.er des briques tricolores en mousse, scénario débile, personnages totalement débiles aussi (les militaires, et d'une manière générale les responsables de l'autorité - maire, flics, etc - sont tous des têtes remplies d'eau de vaisselle, incapables de prendre de bonnes décisions, mention spéciale au personnage joué par Kevin Dunn et à celui du maire et de son conseiller adjoint souffre-douleur) effets spéciaux réussis en revanche.
Le film est mauvais, il a failli faire de la concurrence au "Monde Perdu" de Spielberg sorti à peu près en même temps (en fait, un peu après), mais même si le Spielby est loin d'être un grand cru, il s'en sort nettement mieux.
Mais malgré les défauts du film, je ne peux m'empêcher d'adorer "Godzilla" et de le revoir assez régulièrement (une fois par an, disons une fois tous les 18 mois), parce que je m'éclate comme un ballon de baudruche dans un container de punaises en le revoyant. Les militaires qui tirent sur tout, absolument tout, sauf sur Godzilla, explosant à eux seuls une partie des gratte-ciels de Nouillorque, Jean Reno qui peste contre le mauvais café qui ne ressemble pas au bon cahoua français, ses acolytes qui s'appellent tous Jean-quelque chose, Broderick et sa tronche d'ahuri post-pubère, Hank Ahuri et sa tête d'Azaria (euh, c'est l'inverse), le pêcheur qui a capturé Godzy du bout de sa ligne et qui manque de se faire envoyer loiiiiin dans la mer spoiler: , le Madison Square Garden transformé en pouponnière géante pour reptile radioactif
...
Et ces répliques ("Y'à pas d'lézard", balance un sous-off' probablement inconscient d'en avoir sorti une bonne)...
Ce film est génial. Nul, mais génial. 3.5 pour le coup. Sincèrement, ça n'en vaut pas plus de 1.5 ou 2, mais je suis de bonne humeur aujourd'hui, et vraiment, j'adore ce film, je ne suis donc pas objectif.

Roland Emmmerich américanise le célèbre monstre géant made in Japon. Et le résultat est positif, sur le plan visuel la qualité est là, et les scènes d'actions très maîtrisées. Je mets ce Godzilla dans la catégorie pop-corn movie, où l'on savoure cette chasse au monstre démentielle. Sur le plan scénaristique, rien de bien novateur dans le domaine, les effets spéciaux faisant l'essentiels de l'histoire. Dans l'ensemble le divertissement est là, Godzilla remplissant ainsi son cahier des charges. Bien.

Certe le scénario n'est pas bien lourd mais l'histoire est agréable et les effets spéciaux convaincant.