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Votre avis sur Godzilla ?
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"Godzilla", version Emmerich, 1998... Alors, comme dans la version de 2014, il y a du bon, et du moins bon... Mais je tiens à dire que cette version est un poil plus réussie que celle sortie cette année. En effet, là où Gareth Edwards privilégiait le spectaculaire et les effets visuels, Roland Emmerich se concentre un peu plus sur son scénario et sa mise en scène. Même si ça reste néanmoins un blockbuster bourré d'effets spéciaux ! Je regarde les différentes versions du monstre Japonais le plus connue de l'Histoire dans le désordre, car c'est seulement après être aller voir la nouvelle version, que j'ai décidé de mater les autres... Bref, tout ça pour dire que ces deux visions de l'histoire sont différentes. Le casting, ici, est bon, plus que dans le film d'Edwards en tous cas... Côté effets spéciaux, c'est sans aucuns doutes bien meilleur dans le film de 2014, car ici, la créature est peu esthétique et beaucoup moins crédible. Les personnages sont cependant trop niais, et même si les acteurs sont bons, ça ne change pas grand chose... L'histoire d'amour est légèrement plus romancée chez Emmerich, mais son film reste cliché et bébête ! Par exemple, les Français s'appellent respectivement Philipe, Jean-Luc, Jean-Claude, Jean-Pierre, et Jean-Philipe (très original ma foi !)... Et le final traîne, mais traîne, à cause de rebondissements à gogo entre autres... Et puis, tout-ceci est assez improbable, surtout le dénouement, et tous ces bébés de la créatures qui arrivent comme ça, sur le tas, avec qui-plus-est, un look trop "dinosauresque" à mon goût, et trop proche des dinos de "Jurassic Park" ! Mais ce film reste divertissant et ne prend pas la tête. Ça détend.
pierrre s.
Voilà un bon gros blockbuster qui tâche, comme Roland Emmerich sait les faire. Quelques années avant de plonger New York sous la glace, c'est un gros lézard qu'il lâche dans les rues. Alors bien-sûr le trait n'est pas fin, mais le film a le mérite de nous divertir.
Caine78
Jamais revu depuis sa sortie au cinéma, c'est presque avec nostalgie que je redécouvre ce « Godzilla », très typique des blockbusters qu'a pu nous offrir les 90's. D'ailleurs, il y a de quoi avoir un semblant d'espoir dans le premier tiers : ce générique démarrant sur une « marseillaise » (!!) pour enchaîner sur des images « nucléaires » anxiogènes laissant espérer que les origines du monstre seront évoquées, une mise en place classique mais solide : rien d'exceptionnel, mais du solide, ne cherchant pas à se donner de grands airs pour divertir. Malheureusement, la suite va s'avérer (nettement) moins glorieuse. La raison est simple : le « scénario » et l' « écriture » dans son ensemble. La caractérisation des personnages est lamentable : au mieux inconsistants, au pire risibles, la palme revenant à l'équipe de français aux motivations et aux méthodes laissant songeurs. De plus, naïf comme j'étais, en voyant le regard plein de compassion jeté par Matthew Broderick sur la créature, j'aurais imaginé un propos humaniste quant à ceux étant les véritables « monstres » : pensez-vous ! Les bons ricains
spoiler:
triompheront de la bête (et de ses petits, nés entre-temps!)
, qui était juste...une bête, plus tyrannosaure que lézard, d'ailleurs, comme elle est pourtant censée l'être. Enfin, 120 grosses minutes, c'est long quand on a rien à raconter, les scènes d'action s'enchaînant avec constance, au point d'en être fatigantes. Dommage, car comme je l'ai écrit précédemment, nous étions dans les années 90 et qu'on l'aime ou pas, Roland Emmerich reste un vrai pro : visuel abouti, plans qui claquent, gigantisme évident... Cette destruction en bonne et due forme de New York reste fort bien orchestrée, les effets spéciaux (malgré quelques approximations) comme le découpage permettant une immersion totale dans l'action. Ce n'est, hélas, « que » ça, rendant donc ce spectacle total à la longue assez vide, tout en regrettant presque cette époque de divertissement bourrin mais généreux et sans prise de tête : ne manquait plus qu'une histoire.
, qui était juste...une bête, plus tyrannosaure que lézard, d'ailleurs, comme elle est pourtant censée l'être. Enfin, 120 grosses minutes, c'est long quand on a rien à raconter, les scènes d'action s'enchaînant avec constance, au point d'en être fatigantes. Dommage, car comme je l'ai écrit précédemment, nous étions dans les années 90 et qu'on l'aime ou pas, Roland Emmerich reste un vrai pro : visuel abouti, plans qui claquent, gigantisme évident... Cette destruction en bonne et due forme de New York reste fort bien orchestrée, les effets spéciaux (malgré quelques approximations) comme le découpage permettant une immersion totale dans l'action. Ce n'est, hélas, « que » ça, rendant donc ce spectacle total à la longue assez vide, tout en regrettant presque cette époque de divertissement bourrin mais généreux et sans prise de tête : ne manquait plus qu'une histoire.
En dépit de moyens importants et d'une bande son tonitruante, on est plutôt déçu devant ce film centré autour du célèbre monstre japonais Godzilla.
Suite aux essais nucléaires français en Polynésie, un monstre va surgir et s'approcher des côtes américaines, New York en l’occurrence... Un scientifique va aider les militaires à traquer l'animal...
Dialogues ridicules, scènes incohérentes ternissent l'ensemble qui aurait pu être bien plus fort que ce qui nous est proposé. Vraiment dommage car l'idée était excellente.
Bref : un semi échec pour un Roland Emmerich plus motivé que jamais.
Suite aux essais nucléaires français en Polynésie, un monstre va surgir et s'approcher des côtes américaines, New York en l’occurrence... Un scientifique va aider les militaires à traquer l'animal...
Dialogues ridicules, scènes incohérentes ternissent l'ensemble qui aurait pu être bien plus fort que ce qui nous est proposé. Vraiment dommage car l'idée était excellente.
Bref : un semi échec pour un Roland Emmerich plus motivé que jamais.
Godzilla est le premier film à grand spectacle que je vois du célèbre réalisateur Roland Emmerich et mon avis est assez mitigé. Une fois de temps en temps ça peut aller un film de ce genre, mais si le film avait duré 3 heures, j'aurai sûrement éteint ma télévision. Je connais Godzilla que parce que je regardais la série animée qui faisait directement suite au film quand j'étais petit. C'est ça ce qui m'a vraiment donné envie de voir ce film qui m'a laissé très perplexe. Si on doit parler des acteurs, c'est un bon point! Matthew Broderick ( je le connais grâce à Inspecteur Gadget le film ) arrive plutôt bien à diriger le film en tant que personnage principal même si l'originalité n'est pas là, mais au moins ça reste correct. Jean Reno est très convaincant dans son rôle de français qui se bat pour sa patrie et est assez marrant curieusement. Maria Pitillo est mignonne comme héroïne et on accroche assez à son personnage, Hank Azaria a de bonnes répliques et a un rôle qui lui va comme un gant ce qui lui facilite le jeu d'acteur et se débrouille donc très bien. Kevin Dunn, Michael Lerner et Doug Savant jouent plutôt bien leurs rôles également ainsi que le reste du casting. Côté visuel, j'accroche pas vachement à la photo qui est un peu trop blanche-grise et pas super colorée pour un blockbuster comme c'est généralement le cas dans les films de Michael Bay. Les effets spéciaux étaient pour l'époque révolutionnaires! Aujourd'hui, ça a quand même vieilli malgré que la film ne date que de 1998. On remarque à plusieurs reprises que Godzilla est fait aux effets spéciaux même s'il reste en général convaincant. Les bébés de Godzilla sont encore moins convaincants, ils sont très inégaux et font beaucoup trop images de synthèse à l'ordinateur! Effets spéciaux datés donc! Côté sonore, les bruitages de Godzilla sont remarquables et méritent d'être culte mais je n'aime pas la musique de David Arnold, les instruments sont pas super et les thèmes sont assez bof bof. Les scènes d'action sont encore aujourd'hui très impressionnantes et très bien filmées avec des plans très larges comme on les aime dans les gros films d'action!! Et évidemment, c'est au niveau du scénario que ça pêche. Déjà, le fait qu'un aussi gros dinosaure ait réussi à survivre et à se cacher durant tout ce temps, ce n'est pas du tout crédible malgré les explications que les scénaristes essaient de donner dans le film, et je dis bien " essaient ". Ensuite, c'est super gros qu'à la toute fin, lorsque Godzilla poursuit les héros, il ne réussit JAMAIS à les attraper malgré ses 50 à 100 mètres de haut!!!!! Je sais pas moi, ils sont en voiture, Godzilla est gigantesque et ne parvient même pas à les attraper et à chaque fois qu'il réussit à les toucher on a droit à une situation complètement débile qui fait que les héros survivent plusieurs fois pendant le film! Roland Emmerich veut rendre cette scène spectaculaire mais c'est tellement pas crédible et débile qu'on en rit presque! Après, le reste du scénario est plus ou moins efficace mais se situe dans un univers que je n'apprécie pas trop. Ce décor permanent du film à Manhattan où il pleut tout le temps et où il n'y a jamais une seule lueur de soleil ne me plaît pas du tout. Il y a un peu d'humour dans le film et c'est pas trop nul, c'est même pas mal. Les personnages sont pas mauvais sans être incroyables. Godzilla se regarde une fois mais pas deux comme un bon nombre de films à grand spectacles. J'espère être plus convaincu par les prochains films de Roland Emmerich, sinon il faut croire que je n'accroche qu'au cinéma de Michael Bay.
Des effets spéciaux qui laisse à désirer (les bébés godzilla), un humour balourd et des personnages caricaturaux. A voir au moins au second degré.
Le défaut principal de ce film est qu'il se répété bien trop souvent. Que ce soit les pièges tendus à Godzilla ou encore le parcours de Tatopoulos et de son équipe. Ça me fait rire les réalisateurs qui introduisent des acteurs Français, même si ceux-ci n'ont rien à foutre ici. " Qui sait ? Si le film fait un flop aux USA, on aura toujours le Québec et la France grâce à ce con de Réno ! " La première fois que j'ai vu ce remake signé Emmerich, je me suis dit " Pas mal " mais, en y repensant, les personnages sont complétements con quoi ! Pas foutu de stopper un désastre nucléaire sur pattes quand celui-ci est en train de s'empiffrer de poiscailles et se trouve juste à côté d'un escadron de tanks et d'hélicoptères. Et c'est seulement après qu'ils se disent qu'on devrait peut être se mettre à tirer. Juste avant ça il y a la mini séquence ou Broderick vient flatter le front de Godzilla, que j'ai trouver presque touchant ( un peu comme avec le tricératops dans Jurrasik Park ) Bref, après on voit Godzilla dévaler New York comme une grosse pute parce qu'il y a deux putains d'hélico de combat qui le poursuivent avec des sulfateuses. Dieu que l'on serre les dent à ce moment là. Il y a également la scène du missile sous-marin ou Godzilla se met à construire un tunnel parce qu'il est poursuivit par une torpille de merde. Pourquoi ne pas passer en dessous du sous-marin ? Après tout pour échapper aux hélico, Godzilla a bien confectionner un semblant de plan ( certes très merdique ) mais ça a le mérite de marcher. Alors pourquoi ne pas réfléchir ? Pour que le téléspectateur ne se mette pas à se dire " Ciel... Mais qu'il est con ! " Enfin bref.
spoiler:
La mort de Godzilla est assez bonne en fin de compte, assez réaliste. Mais rien n'est sauver dans ce film car il n'y a rien de sauvable ! ( Hormis les effets spéciaux )
Roub E.
Un blockbuster aussi mauvais qu amusant. Un plaisir coupable du dimanche soir quand on est fatigué et que l on a pas envie de réfléchir. Mais quand on pense que Jean Reno a refusé Matrix pour faire ça ...
Godzilla existant depuis 1954, c'était presque incroyable que les américains attendent 1998 pour en faire un remake à leur sauce. Évidemment le tout était une question de droits et la Toho ayant cédé les leurs aux studios américains, voilà Roland Emmerich qui s'empare du projet et qui nous livre sa version avec son habituelle "subtilité". Le résultat devait être impressionnant en 1998 mais les effets numériques ont assez mal vieillis et l'on voit bien que plusieurs plans sont truqués. S'il n'impressionne pas, il ne reste plus grand chose à ce "Godzilla" qui ne brille pas pour son scénario et qui dans sa deuxième partie, vient faire penser à un sous "Jurassic Park". Parmi la distribution, Matthew Broderick s'en sort plutôt pas mal face à un Jean Reno qui semble ravi de jouer le français de service ("Mâcher des chewing-gums, ça fait plus américain"), ayant refusé au passage (Dieu merci !) de jouer l'Agent Smith dans "Matrix" pour tourner dans ce blockbuster. Il y a certes de bons moments dans le film mais l'ensemble manque cruellement d'âme. Autant revoir la version japonaise de 1954 !
Un nanar XXL qui ne fait qu'enchaîner situations débiles, dialogues vides, effets spéciaux ratés, personnages superficiels et action a gogo d'une longueur accablante. Quant aux français, et Jean Reno, il ne s'agit qu'accumulation de clichés, d'un autre temps complètement gênants.
https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
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2 aspects bien disinct : 1 la modernité des effets pour recréer ce monstre asiatique légendaire et 2 un banal film d'action avec un peu d'humour.
Une bonne note juste pour le résultat visuel par rapport à la date de création du film.
Une bonne note juste pour le résultat visuel par rapport à la date de création du film.
Film vu durant le collège, Godzilla ne m'a pas vraiment laissé un souvenir impérissable, et ça veut bien dire ce que ça veut dire.
Un bon film avec un schéma classique et ultra prévisible. Mais on passe un bon moment !!
Pour moi, c'est surement le meilleur film d'Emmerich que j'ai vu pour l'instant. On y trouve quand même les défauts présents dans tous ces films.
Je me suis bien marré à plusieurs reprises...je devrais avoir honte je suppose. de la série B voire Z, mais sympathique.
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