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Un visiteur
3,0
Publiée le 19 juillet 2010
Roland Emmerich nous pose "Godzilla" en 1998, deux ans après ses martiens de "Independance day". Ce gros lézard sorti du fond des âges et pondant une floppée de petits monstres à New York, ca ne peut que plaire, surtout devant des effets spéciaux pas mal fait. Emmerich signe, au travers d'un casting dominé par le français Jean Reno ("Léon"), un condensé de films catastrophes, mais on se régale quand même pendant plus de 2 heures. Spectateurs, venez affrontez ce dinosaure échappé du Jurassique.
Un film qui surfait sur la vague des Jurassic Park des années 1990 et qui a fait connaître un peu plus Jean Reno aux yeux du monde, face à un des monstres les plus connus du cinéma. Quelques échanges et clichés sont naïfs au cours de cette grosse production, mais je trouve qu'elle est injustement sous-notée aussi, peut-être qu'elle ne vaut pas un 3,5, mais en tout cas, je lui donne plus que 3/5.
Godzilla est un bon divertissement qui ne prend pas assez au sérieux, hélas, et qui tombe irrémédiablement dans les clichés des films hollywoodiens à gros budget avec des scènes d'action improbable et un humour pipi-caca. Jean Reno est un excellent acteur mais il passe pour un clown dans ce film et c'est dommage.
Un film assez distrayant à regarder. Ca sent un peu trop le réchauffé a mon goût: les américains qui sauvent les USA et donc en loccurence le monde, mais c'est un des meilleurs du genre. Heuresement qu'il y a Jean Reno pour relever le tout. Par contre les français sont très largement caricaturés : ils s'appellent Philippe, Jean-pierre, Jean-Luc, et Jean-Claude, ils cherchent à boire du café français (et pas ce pseudo café qu'ose faire les américains), se languisent de manger des croisssants, veulent parler anglais "comme Elvis", etc... C'est assez amusant à voir l'iimage que nous avons aux USA.
Film Science/Fiction, non ! Ceci est un film catastrophe ! Comme a son habitude, Roland Emmerich nous propose toujours des scénario, peu originale, le coup "le héro est dans une situation déséspérer où il ne pourra jamais s'en sortir, et au tout dernier moment, son intelligence va le sauver", nous avons vu sa des tonnes et, des tonnes de fois, et c'est dommage car c'est l'un des seuls points qui font tache, et qui empéche le film d'étre plus que divertissant. Malgrés le peu de temp que l'ont vois Jean Reno, il joue vraiment bien, Matthew Broderick est convaincant ainsi que Hank Azaria, par contre Maria Pitillo est un peu ridicule, je sais pas si son role est censer nous faire rire, en tous cas elle n'est pas marrante du tout. Un Godzilla vraiment impressionnant, mais par contre ses petits ont des gestes qui ressemble a ceux des dinosaures dans Jurassic Park. Les amateurs de film avec des monstres qui ressemble aux dinosaures trouveront leurs bonheur la-dedan.
Emmerich s'attaque au mythe Godzilla, toujours cette approche catastrophique de la part du spécialiste de la fin du monde, mais pourquoi pas, ça se regarde.
Amis de l'apocalypse soyez les bien venus! Vous reprendrez bien un petit peu de gros Emmerich qui tâche. Le king du blockbuster fait plaisir aux amateurs de décrochage de machoire. Pour ma part la mienne l' a été à plusieur reprises au cour du film..ce n'est pas pour déplaire de se laisser une nouvelle fois surprendre par la qualité des effets spéciaux made in US. La grosse bestiole née de l'imagination Jap de l'après guerre et de la peur du nucléaire est de retour.Pour sa énième réapparition au cinoche, Godzilla (comprendre gorille-baleine) est fringuant et plus taquin que jamais. Des poursuites géniales dignes de Tex Avery et un final qui a dû couter le PIB de la Bolivie. On en redemande.
pour moi, un trois et demi, le jeu des acteurs est super (Meme si le choix de Matthew Broderick me déplais un peu , j'apprécie celui de Hank Azaria en caméra man un peu décalé), malgré avoir un peu vieillis, ont reste scotché devant tout le long du film ! Bien sur il s'agit d'un des film qui ont bercer mon enfance !
Godzilla de Roland Emmerich est l’un de mes films d’enfance et a donc une place particulière dans mes souvenirs. Il faut dire que le long-métrage avait tout pour plaire l’enfant que j’étais : un monstre géant semant la terreur à New York, de la destruction massive d’infrastructures, une excellente et puissante musique de David Arnold, des scènes d’action dynamiques aux effets visuels titanesques, un scénario basé sur la science et une touche émotionnelle à la fin du film quand Godzilla meurt.
Aujourd’hui, c’est toujours un plaisir certain de replonger dans l’œuvre mais les défauts sont nettement plus flagrants pour mes yeux d’adulte. A commencer par la créature en elle-même (qui a bien vieilli visuellement). Godzilla avez-vous dit ? En réalité, elle aurait bien pu avoir un autre nom, cela aurait été exactement la même chose ! Le monstre n’a rien à voir avec la légende japonaise d’origine (look de dinosaure, origine, comportement) et fait des choses physiquement incohérentes. Le remake américain n’en est pas un et Godzilla est un film sur un monstre géant quelconque à Manhattan.
Mais comme dans « Independence Day », Emmerich maitrise l’art de la mise en place et propose une mise en scène et des cadrages intelligents. Le scénario est bien écrit et assez fluide (sauf le dernier tiers), avec une morale écologique et des touches d’humour bien senties, mais parfois répétitif et aux personnages stéréotypés. La blonde Maria Pitillo notamment, mauvaise, n’est pas crédible du tout (et énervante). Enfin, une excellente touche française est présente en la personne de Jean Reno.
Après le ratage de "Independence day", Roland Emmerich retente le film catastrophe, mais cette fois-ci il est bien plus efficace dans ses traits parodiques et ses scènes d'action dantesques. Chapeau pour Patrick Tatopoulos et sa très belle créature.