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Votre avis sur Godzilla ?
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Après des attaques bizarres contre un cargo japonais, les Français puis les États-Unis apprennent l'existence d'un dinosaure moderne. On soupçonne que le rayonnement des essais d'armes nucléaires en Polynésie française a produit le monstre. Le spécialiste des rayonnements biologiques, le Dr Nick Tatopoulos est appelé sur les lieux. Ce n'est un secret pour personne que ce Godzilla a été très décrié. Dans les films japonais, Godzilla est un gars dans un costume en caoutchouc qui piétine sur des modèles de bâtiments et autres. La plupart des films de Godzilla le présentent en train de combattre un autre monstre dans un style de lutte professionnelle et Godzilla tombe arbitrairement, se relève alors qu'il est attaqué avec divers rayons de la mort. Moi je ne suis pas puriste. Pour moi il n'y a aucune bonne raison pour que le Godzilla d'Emmerich doive être similaire aux incarnations de la Toho, qui en fait sont souvent très différentes les unes des autres et incompatibles entre elles. Si Emmerich nous avait montré un gars dans un costume en caoutchouc agissant comme les Toho Godzillas ce film aurait cartonné et les fans auraient quand même trouvé quelque chose à redire. Moi je suis de ceux qui ont apprécié ce Godzilla de Roland Emmerich...
D'un point de vue moderne, le "Godzilla" de Roland Emmerich n'est pas un blockbuster rèussi et si vous voyez la version originale japonaise, vous trouverez la version amèricaine pas terrible! L'original de 1954 ètait l'un des films les plus intèressants de cette pèriode de monstres atomisès et possèdait une certaine honnêtetè qui a complètement disparue dans la version de Emmerich! De toute façon, ce monstre dètruisant des villes entières a pris complètement l'imagination des producteurs qui en ont fait ici un film spectaculaire et sans âme! Et fut en 1998 une dèception aussi ènorme que le monstre lui-même! Les effets spèciaux sont impressionnants mais ne sont guère relevès par le jeu faiblard des acteurs (Matthew Broderick est convaincant mais la palme du ridicule revient sans conteste à Jean Rèno) et par sa durèe excessivement longue! Reste un divertissement plaisant pour une histoire bâclèe par de trop nombreux clichès...
Caine78
Jamais revu depuis sa sortie au cinéma, c'est presque avec nostalgie que je redécouvre ce « Godzilla », très typique des blockbusters qu'a pu nous offrir les 90's. D'ailleurs, il y a de quoi avoir un semblant d'espoir dans le premier tiers : ce générique démarrant sur une « marseillaise » (!!) pour enchaîner sur des images « nucléaires » anxiogènes laissant espérer que les origines du monstre seront évoquées, une mise en place classique mais solide : rien d'exceptionnel, mais du solide, ne cherchant pas à se donner de grands airs pour divertir. Malheureusement, la suite va s'avérer (nettement) moins glorieuse. La raison est simple : le « scénario » et l' « écriture » dans son ensemble. La caractérisation des personnages est lamentable : au mieux inconsistants, au pire risibles, la palme revenant à l'équipe de français aux motivations et aux méthodes laissant songeurs. De plus, naïf comme j'étais, en voyant le regard plein de compassion jeté par Matthew Broderick sur la créature, j'aurais imaginé un propos humaniste quant à ceux étant les véritables « monstres » : pensez-vous ! Les bons ricains
spoiler:
triompheront de la bête (et de ses petits, nés entre-temps!)
, qui était juste...une bête, plus tyrannosaure que lézard, d'ailleurs, comme elle est pourtant censée l'être. Enfin, 120 grosses minutes, c'est long quand on a rien à raconter, les scènes d'action s'enchaînant avec constance, au point d'en être fatigantes. Dommage, car comme je l'ai écrit précédemment, nous étions dans les années 90 et qu'on l'aime ou pas, Roland Emmerich reste un vrai pro : visuel abouti, plans qui claquent, gigantisme évident... Cette destruction en bonne et due forme de New York reste fort bien orchestrée, les effets spéciaux (malgré quelques approximations) comme le découpage permettant une immersion totale dans l'action. Ce n'est, hélas, « que » ça, rendant donc ce spectacle total à la longue assez vide, tout en regrettant presque cette époque de divertissement bourrin mais généreux et sans prise de tête : ne manquait plus qu'une histoire.
, qui était juste...une bête, plus tyrannosaure que lézard, d'ailleurs, comme elle est pourtant censée l'être. Enfin, 120 grosses minutes, c'est long quand on a rien à raconter, les scènes d'action s'enchaînant avec constance, au point d'en être fatigantes. Dommage, car comme je l'ai écrit précédemment, nous étions dans les années 90 et qu'on l'aime ou pas, Roland Emmerich reste un vrai pro : visuel abouti, plans qui claquent, gigantisme évident... Cette destruction en bonne et due forme de New York reste fort bien orchestrée, les effets spéciaux (malgré quelques approximations) comme le découpage permettant une immersion totale dans l'action. Ce n'est, hélas, « que » ça, rendant donc ce spectacle total à la longue assez vide, tout en regrettant presque cette époque de divertissement bourrin mais généreux et sans prise de tête : ne manquait plus qu'une histoire.
🎬 RENGER 📼
Plus de quarante ans après la première version Japonaise (1954), Roland Emmerich, le grand habitué des blockbusters Hollywoodiens avec Independence Day (1996) & 2012 (2009) réalise le remake officiel du premier volet, tout en se permettant de faire un clin d’œil aux essais nucléaires Français (dont Jacques Chirac avaient officiellement annoncé son souhait de reprendre les essais, trois ans avant la sortie du film). Fervent défenseur de la nature, Roland Emmerich ne pouvait passer à côté de cela, et transpose l’histoire de Godzilla en Polynésie Française. Ainsi, le lézard préhistorique est le résultat des nombreux essais Français de la bombe A. C’est d’ailleurs pour cela que dans le film, il y a une équipe de la DGSE chargée de résoudre les soucis causés par Godzilla en plein New York !
Très loin des versions kitch Japonaises, ici les moyens sont conséquents, pour ne pas dire astronomiques. Ce blockbuster décérébré où des F14 lâchent des missiles dans les rues de la "grosse pomme", confirme le potentiel du film. Un "pop-corn movie" divertissant à destination des adolescents, mais très loin de révolutionner le genre. Quant on sait qu’il existe une trentaine d’adaptations de Godzilla (contre Megalon, contre King Kong, contre Mothra, le fils de Godzilla, etc), on se demande réellement ce que vient faire cette énième adaptation, dénuée d’un intérêt quelconque ! Même les SFX pâtissent du poids des ans, sauf la B.O qui heureusement n’a rien perdu de sa saveur (Jamiroquai, Puff Daddy, The Wallflowers, etc).
Très loin des versions kitch Japonaises, ici les moyens sont conséquents, pour ne pas dire astronomiques. Ce blockbuster décérébré où des F14 lâchent des missiles dans les rues de la "grosse pomme", confirme le potentiel du film. Un "pop-corn movie" divertissant à destination des adolescents, mais très loin de révolutionner le genre. Quant on sait qu’il existe une trentaine d’adaptations de Godzilla (contre Megalon, contre King Kong, contre Mothra, le fils de Godzilla, etc), on se demande réellement ce que vient faire cette énième adaptation, dénuée d’un intérêt quelconque ! Même les SFX pâtissent du poids des ans, sauf la B.O qui heureusement n’a rien perdu de sa saveur (Jamiroquai, Puff Daddy, The Wallflowers, etc).
selenie
Un Godzilla énorme qui se promène tranquille dans le métro, c'est ça qui est ENORMEMENT NUL comme tout le film. Comme par hasard les américains sont les innocents et courageux héros qui vont réparer les bêtises de ces cons de français !... Rien d'original et sans ancun suspense, Jean reno est comme un cheveu sur la soupe, il n'y croit guère et nous non plus !
Faire un remake de ces mauvais films japonais n'était pas une bonne idée, et pour le coup, le réalisateur nous fournit une prestation calamiteuse. Jean Réno participe au naufrage comme les autres (il n'y a pas de raison !)
NeoLain
Un film avec un gros gros budget et un joli casting, mais ce n'est vraiment pas suffisant pour éviter le naufrage...Un film vraiment ennuyant avec des caricatures à tout va entre les Français s'appelant Jean Philippe ou Jean Pierre totalement beauf qui mangent du chewing gum pour avoir l'air plus américain ou bien la journaliste gentille, trop gentille. Puis tous les méchants de l'autre côté... Bref malgré des scènes d'action vraiment chouettes, un décor de New York en pleine dévastation totalement hallucinant, le film est ennuyant. A éviter sauf si vous aimez voir un monstre démolissant ou se faisant tirer dessus durant près de 2h.
Roub E.
Un blockbuster aussi mauvais qu amusant. Un plaisir coupable du dimanche soir quand on est fatigué et que l on a pas envie de réfléchir. Mais quand on pense que Jean Reno a refusé Matrix pour faire ça ...
Godzilla existant depuis 1954, c'était presque incroyable que les américains attendent 1998 pour en faire un remake à leur sauce. Évidemment le tout était une question de droits et la Toho ayant cédé les leurs aux studios américains, voilà Roland Emmerich qui s'empare du projet et qui nous livre sa version avec son habituelle "subtilité". Le résultat devait être impressionnant en 1998 mais les effets numériques ont assez mal vieillis et l'on voit bien que plusieurs plans sont truqués. S'il n'impressionne pas, il ne reste plus grand chose à ce "Godzilla" qui ne brille pas pour son scénario et qui dans sa deuxième partie, vient faire penser à un sous "Jurassic Park". Parmi la distribution, Matthew Broderick s'en sort plutôt pas mal face à un Jean Reno qui semble ravi de jouer le français de service ("Mâcher des chewing-gums, ça fait plus américain"), ayant refusé au passage (Dieu merci !) de jouer l'Agent Smith dans "Matrix" pour tourner dans ce blockbuster. Il y a certes de bons moments dans le film mais l'ensemble manque cruellement d'âme. Autant revoir la version japonaise de 1954 !
Un film-catastrophe pompier et de mauvais goût qui adapte une légende japonaise avec du sens(le monstre symbolisait les dérives radioactives post-Hiroshima) à une tambouille hollywoodienne déplorable. Roland Emmerich s'y connaît pourtant en destructions massives et spectaculaires,mais il ne peut sauver grand chose dans "Godzilla"(1998). Interprétations épouvantables(Matthew Broderick n'y est pas du tout),effets spéciaux déjà dépassés pour l'époque(Jurassic Park et sa suite étaient passés par là),longueurs inexcusables et action brouillonne. Un vrai programme de nanar XXL.
Si vous le voyez comme une comédie, une sorte de film parodique pro américain, Godzilla vaut le détour ! C'est bien débile, il y a de la casse, genre... Beaucoup ! Et de l'action carnage comme seuls les américains savent faire. La touche française avec la présence de Jean Reno au casting est un vrai plus ! Les militaires se croient plus au Vietnam que jamais en bazardant du gros calibre dans les immeubles, faisant plus de dégâts que le monstre... peu importe s'ils ne le touchent pas. La presse est à fond dans le scoop, peu importe les risques et les effets spéciaux passent encore bien. Merci à Jean Reno pour ses répliques, ses touches humoristiques et sa déception de la "bouffe" américaine. Sans lui, Godzilla ne serait qu'un vulgaire nanard. A noter les noms des hommes de Jean Reno : Jean-Philippe, Jean-Pierre, Jean-Luc, Jean-Yves
Yannickcinéphile
Euh… ai-je vu le même film que les autres allocinéens ? Non parce que là soit il y a erreur sur le métrage, soit il y a de la mauvaise foi. Ceux qui mettent 0.5 à ce film n’ont jamais vu un The Asylum ou une petite Sy fy production de derrière les fagots ? Moi j’en ai vu une pelletée, et je peux vous dire que Godzilla à coté est un monument du 7ème art (et je ne juge pas les effets spéciaux pour lesquels la différence de budget ne permet pas d’équivalence). Bon soyons direct, avec Roland Emmerich on sait à quoi s’attendre : du blockbuster pas prise de tête pour un sou et qui vous en met plein la vue. C’est réussi. Godzilla est simplement doté du monstre le plus impressionnant du cinéma, et arrêtons de dire des bourdes, il est aujourd’hui indétroné en termes d’effets spéciaux et de scènes de destructions. J’ai vu tout les Michael Bay, tout les Emmerich, les Peter Berg, les Brian Synger, les Stephen Sommers, bref je ne crains pas le film à gros budget, et soyons clair Godzilla EST le monstre ultime. Gigantesque ses apparitions sont magistrales, et il n’est pas empoté de sa carcasse. Par ailleurs il a une vraie matérialité, à l’image des dinosaures de Jurassic Park, et il n’y a aucun problème d’incrustation. Les scènes de destructions de New York sont superbes (si on peut dire cela d’une scène de destruction) et en mettent plein la vue. C’était encore plus vrai à l’époque que de tels films étaient beaucoup plus rares qu’aujourd’hui. C’est là évidemment l’énorme point fort du métrage. Pour le reste le scénario ne casse pas des briques, mais enfin Godzilla c’est ca (sauf si certain espérait voir débarquer Mégalon et sa clique). Alors il est vrai que tout n’a pas la qualité des effets spéciaux. Les personnages sont ultra-clichés, Mathew Broderick est un peu fade (quoiqu’il colle bien à son statut de M. ver de terre), Maria Pitillo est un peu agaçante, Jean Reno est certes caricatural à souhait, mais c’est clairement voulu. Franchement est ce qu’il y en a qui on réellement cru que le coup de la troupe des français qui s’appellent tous Jean quelque chose était sérieux ? Emmerich égratigne un peu les français, comme on aime égratigner les anglais ou les belges, comme les russes aiment égratigner les américains etc. etc. Godzilla est bourré de second degré, et dire que c’est un nanar ne peut venir que de gens qui n’ont jamais vu de vrais nanars. Certes l’humour est bas de gamme, certes il est parfois un peu lourd, mais il est toujours voulu.
La mise en scène d’Emmerich est de bonne qualité, jamais brouillonne, les scènes d’actions sont ultra lisible et en jette. Je n’ai pas vu Godzilla au cinéma, mais sur grand écran il doit accrocher sérieusement. S’il pouvait ressortir en 3d comme Jurassic Park ! Alors il y a des invraisemblances, c’est vrai. Le coup du taxi new yorkais qui résiste à tout même à la gueule de Godzilla, le monstre de 300 mètres de long qui arrive à jouer à cache-cache, par exemple. C’est vrai aussi que la partie avec le nid est un peu plus faiblarde, même si elle est franchement sympathique. Pour ceux qui comparent la chose à Alien, j’ai envie de dire quel film de monstre digne de ce nom ne place pas à un moment donné ses héros dans le nid ?
Pour ceux qui n’ont jamais vu ce film, surtout ne vous fiez pas à la note allociné. C’est un très bon blockbuster, ultra divertissant, rythmé à souhait, parfaitement mis en scène, et s’il manque de profondeur, au moins le budget de 130 millions se voit à l’écran. Pour ceux qui se permettent de critiquer sans discernement, arrêter de regarder du Bergman, du Peckinpah, du Cimino ou du Fritz Lang, et aller regarder du Jim Winorsky, du Jason Bourque, du David de Cotteau ou du Uwe Boll. Cela va très vite vous faire relativiser votre note sur la qualité des personnages, l’étalage d’invraisemblance et autres joyeusetés du genre.
La mise en scène d’Emmerich est de bonne qualité, jamais brouillonne, les scènes d’actions sont ultra lisible et en jette. Je n’ai pas vu Godzilla au cinéma, mais sur grand écran il doit accrocher sérieusement. S’il pouvait ressortir en 3d comme Jurassic Park ! Alors il y a des invraisemblances, c’est vrai. Le coup du taxi new yorkais qui résiste à tout même à la gueule de Godzilla, le monstre de 300 mètres de long qui arrive à jouer à cache-cache, par exemple. C’est vrai aussi que la partie avec le nid est un peu plus faiblarde, même si elle est franchement sympathique. Pour ceux qui comparent la chose à Alien, j’ai envie de dire quel film de monstre digne de ce nom ne place pas à un moment donné ses héros dans le nid ?
Pour ceux qui n’ont jamais vu ce film, surtout ne vous fiez pas à la note allociné. C’est un très bon blockbuster, ultra divertissant, rythmé à souhait, parfaitement mis en scène, et s’il manque de profondeur, au moins le budget de 130 millions se voit à l’écran. Pour ceux qui se permettent de critiquer sans discernement, arrêter de regarder du Bergman, du Peckinpah, du Cimino ou du Fritz Lang, et aller regarder du Jim Winorsky, du Jason Bourque, du David de Cotteau ou du Uwe Boll. Cela va très vite vous faire relativiser votre note sur la qualité des personnages, l’étalage d’invraisemblance et autres joyeusetés du genre.
Yetcha
Si les effets spéciaux ont pris un petit coup de vieux, surtout lorsqu'on voit les jeunes reptiles, l'histoire reste toujours divertissante, les blagues et poncifs sur les français sont drôles et certains moments restent impressionnants. Un classique souvent mal aimé, mais plutôt réussi tout de même.
Du spectacle pop-corn dans son plus simple appareil avec un bagage très léger au final.
Un bon thriller / fantastique. Se laisse regarder.
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