AlloCiné
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Votre avis sur Godzilla ?
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Un des rares films dont l'acharnement des critiques négatives n'est pas du tout justifié. C'est un très bon divertissement qui ne souffre pas de son âge. Les effets spéciaux n'ont pas grand chose à envier à ceux d'aujourd'hui. Le film n'a pas perdu son charme. L'histoire est parfaite, et ce Godzilla regorge de surprises et de scènes mémorables. Le look du monstre est certes très éloigné de l'original, mais ce n'est pas pour autant une mauvaise chose, l'idée étant de se démarquer de l'histoire originale. Roland Emmerich est certainement l'un des meilleurs réalisateurs de films catastrophes. Peut-être suis-je aveuglé par les souvenirs d'enfance que le film me rappelle, mais même en l'ayant revu récemment je maintiens que ce film est excellent et qu'il est regrettable qu'après un twist comme celui-ci, aucune suite ne soit jamais sortie ! 17/20
"Godzilla", version Emmerich, 1998... Alors, comme dans la version de 2014, il y a du bon, et du moins bon... Mais je tiens à dire que cette version est un poil plus réussie que celle sortie cette année. En effet, là où Gareth Edwards privilégiait le spectaculaire et les effets visuels, Roland Emmerich se concentre un peu plus sur son scénario et sa mise en scène. Même si ça reste néanmoins un blockbuster bourré d'effets spéciaux ! Je regarde les différentes versions du monstre Japonais le plus connue de l'Histoire dans le désordre, car c'est seulement après être aller voir la nouvelle version, que j'ai décidé de mater les autres... Bref, tout ça pour dire que ces deux visions de l'histoire sont différentes. Le casting, ici, est bon, plus que dans le film d'Edwards en tous cas... Côté effets spéciaux, c'est sans aucuns doutes bien meilleur dans le film de 2014, car ici, la créature est peu esthétique et beaucoup moins crédible. Les personnages sont cependant trop niais, et même si les acteurs sont bons, ça ne change pas grand chose... L'histoire d'amour est légèrement plus romancée chez Emmerich, mais son film reste cliché et bébête ! Par exemple, les Français s'appellent respectivement Philipe, Jean-Luc, Jean-Claude, Jean-Pierre, et Jean-Philipe (très original ma foi !)... Et le final traîne, mais traîne, à cause de rebondissements à gogo entre autres... Et puis, tout-ceci est assez improbable, surtout le dénouement, et tous ces bébés de la créatures qui arrivent comme ça, sur le tas, avec qui-plus-est, un look trop "dinosauresque" à mon goût, et trop proche des dinos de "Jurassic Park" ! Mais ce film reste divertissant et ne prend pas la tête. Ça détend.
Nous le savons tous, Emmerich est bien connu pour ses blockbusters, ses supers productions à gros budget, sonnantes et trébuchantes qui ont à plusieurs reprises, réduit le monde à l'état de néant. Godzilla n'échappe pas à la règle et New York en prend plein la gueule sans pincettes, ni modération. Il faut dire que le gros lézard n'en a rien à cirer des dommages collatéraux. C'est adorable de voir ces bons vieux marines américains à l'action qui ne lésinent pas sur l’artillerie lourde, en l’occurrence sur les buildings et bien sûr, tout s'écroule sauf le lézard. On frôle la parodie. À noter que la touche française avec la participation de Jean Reno, est forte appréciable au milieu de ses grands sauveurs du monde. Même si on se prend tous les clichés du monde, comme les prénoms des soldats (Jean-Pierre, Jean-Philippe, etc.). Là encore, l'humour américain fait son plein. Ce film reste un grand Emmerich comme on l'aime, c'est indiscutable.
Ayant d'abord vu - et DÉTESTÉ - le Godzilla 2.0 de 2014, je me suis laissé tenter par sa précédente version, un dimanche de pluie et de souffrance infligé à moi même... Et pourtant, la souffrance n'a pas vraiment été au RDV puisque cette version 98 m'a plu. J'ai trouvé ce film beaucoup moins ringard et plus intéressant que son petit frère. L'action est plus présente, le casting est mieux et les personnages sont moins chiants et plus intelligents. En 2014, je m'étais surpris à rire de ridicule et à pouffer de désespoir dans une salle de cinéma, alors que la version 98 m'a scotché devant de l'action bien faite, une intrigue mille fois plus intéressante et crédible. Et surtout, un Godzilla bien moins ringard et plus flippant. Comme quoi, le plus souvent, le mieux serait d'éviter les reprises, même si les nouvelles technologies d'effets spéciaux et de 3D peuvent paraître séduisante, parce que un bon film doit contenir beaucoup plus.
" Godzilla " très bon blockbuster de Roland Emerich .
C'est l'histoire de Nick Tatopoulos ( Mathew Broderick ) un chercheur qui est réquisitionner par l'armée pour les aider à tuer une créature gigantesque baptiser Godzilla qui se dirige vers la ville de New York ou elle risque de semer le chaos . Cette créature était à la base un reptile qui a muter suite à la retomber radioactive de certains essais nucléaire du gouvernement français dans le pacifique . Le gouvernement français se sentant responsable de la naissance de la créature décide d' envoyer à New York Philippe Roache ( Jean Reno ) un agent secret français pour aider les américains à détruire la créature ...
Le réalisateur Roland Emerich connu pour avoir réaliser d’énorme Blockbusters au succès planétaire ( " Stargate , La porte des étoiles " , " Indépendance Day " , " 2012 " ... ) signe avec " Godzilla " un très bon blockbuster bien bourin et très spectaculaire comme il sait les faire . Bien évidemment le scénario est simpliste et il n'évite pas les clichés , les personnages caricaturaux ni le patriotisme américain chère à Roland Emerich ( les américains sont les plus fort ) qui risque de taper encore une fois sur le système de certains mais le film est très efficace.
Le casting est très bon avec Matthew Broderick parfait dans le rôle de Nick Tatopoulos un chercheur qui s'associe à Jean Reno efficace dans le rôle de Philippe Roache un agent secret français pour aller détruire Godzilla une créature géante qui va semer le chaos à New York et sa va être explosif donnant lieu à son lot d’action , de suspense et de séquences spectaculaires le tout saupoudrer de quelques touches d’humour sympathique . Le duo Mathew Broderick / Jean Reno fonctionne bien .
Les effets spéciaux donnant vie à Godzilla qui date de 1998 sont très réussit et n'on pas beaucoup vieillit plus de 20 ans après . Godzilla est vraiment impressionnant . Le film enchaîne pour notre plus grand plaisir les scènes spectaculaire très efficace et impressionnante qui nous en mettent plein la vue et nous divertissent bien ( Godzilla qui sème le chaos dans la ville de New York , Godzilla qui se fait courser dans les rues de New York par les hélicos de l'armée , Godzilla qui poursuit le taxi ... ) . La musique du générique final chanter par Jamiroquaï est excellente . On peut regretter tout de même certaines choses comme le fait que les militaires du film qui veulent détruire Godzilla sont tous des gros bourrins avec un poid chiche dans la tête qui te détruisent la moitié de la ville pour tuer le monstre et qui te font plus de dégâts que Godzilla lui même . Niveau crédibilité et subtilité on repassera donc . On peut regretter également quelques longueurs par moment qui casse un peu le rythme du film et le fait que le film lorgne plus du côté de " Jurassic Park " que du côté de " Godzilla " notamment vers la fin
spoiler: ( avec les Mini Godzilla à la fin du film qui n'est pas s'en rappeller les Raptors de " Jurassic Park " )
.
Néanmoins , malgré ses quelques points négatifs au final assez mineures , sa reste un très bon divertissement qui nous fait passer un bon moment de détente et c’est bien la le principale .
C'est l'histoire de Nick Tatopoulos ( Mathew Broderick ) un chercheur qui est réquisitionner par l'armée pour les aider à tuer une créature gigantesque baptiser Godzilla qui se dirige vers la ville de New York ou elle risque de semer le chaos . Cette créature était à la base un reptile qui a muter suite à la retomber radioactive de certains essais nucléaire du gouvernement français dans le pacifique . Le gouvernement français se sentant responsable de la naissance de la créature décide d' envoyer à New York Philippe Roache ( Jean Reno ) un agent secret français pour aider les américains à détruire la créature ...
Le réalisateur Roland Emerich connu pour avoir réaliser d’énorme Blockbusters au succès planétaire ( " Stargate , La porte des étoiles " , " Indépendance Day " , " 2012 " ... ) signe avec " Godzilla " un très bon blockbuster bien bourin et très spectaculaire comme il sait les faire . Bien évidemment le scénario est simpliste et il n'évite pas les clichés , les personnages caricaturaux ni le patriotisme américain chère à Roland Emerich ( les américains sont les plus fort ) qui risque de taper encore une fois sur le système de certains mais le film est très efficace.
Le casting est très bon avec Matthew Broderick parfait dans le rôle de Nick Tatopoulos un chercheur qui s'associe à Jean Reno efficace dans le rôle de Philippe Roache un agent secret français pour aller détruire Godzilla une créature géante qui va semer le chaos à New York et sa va être explosif donnant lieu à son lot d’action , de suspense et de séquences spectaculaires le tout saupoudrer de quelques touches d’humour sympathique . Le duo Mathew Broderick / Jean Reno fonctionne bien .
Les effets spéciaux donnant vie à Godzilla qui date de 1998 sont très réussit et n'on pas beaucoup vieillit plus de 20 ans après . Godzilla est vraiment impressionnant . Le film enchaîne pour notre plus grand plaisir les scènes spectaculaire très efficace et impressionnante qui nous en mettent plein la vue et nous divertissent bien ( Godzilla qui sème le chaos dans la ville de New York , Godzilla qui se fait courser dans les rues de New York par les hélicos de l'armée , Godzilla qui poursuit le taxi ... ) . La musique du générique final chanter par Jamiroquaï est excellente . On peut regretter tout de même certaines choses comme le fait que les militaires du film qui veulent détruire Godzilla sont tous des gros bourrins avec un poid chiche dans la tête qui te détruisent la moitié de la ville pour tuer le monstre et qui te font plus de dégâts que Godzilla lui même . Niveau crédibilité et subtilité on repassera donc . On peut regretter également quelques longueurs par moment qui casse un peu le rythme du film et le fait que le film lorgne plus du côté de " Jurassic Park " que du côté de " Godzilla " notamment vers la fin
spoiler: ( avec les Mini Godzilla à la fin du film qui n'est pas s'en rappeller les Raptors de " Jurassic Park " )
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Néanmoins , malgré ses quelques points négatifs au final assez mineures , sa reste un très bon divertissement qui nous fait passer un bon moment de détente et c’est bien la le principale .
Bon c'est clair que j'ai largement préféré le nouveau. Mais celui-ci n'est pas dégueux non plus. Enfin je veux dire, les effets spéciaux étaient époustanflants pour l'époque et même aujourd'hui ça reste tout à fait honorable. Au niveau de l'apparence du monstre, je la trouve bien personnellement. Le Monstre fait très pensé à un dinosaur mais moi c'est surtout sa tête que j'aime bien. Bon après pour le reste, c'est vrai que les acteurs et l'histoire en général est pas folichon mais pour moi ça reste un bon divertissement !
A voir et à revoir. Le Godzilla de Roland Emmerich (1998) est une valeur sûre.
Un générique magnifique, puis une scène d'ouverture grandiose, puis encore une scène formidable, le film ne vous lâchera pas, un excellent casting, un enchaînement de scènes toujours prenantes. C'est bien fait, c'est filmé, c'est bien mené. Nostalgie de l'époque où Roland Emmerich était derrière la caméra et ne faisait pas que signer des films sous-traités à d'autres. On y retrouve le rythme et l’ambiance du Independence Day original. Son dernier coup de maître restera 2012. Souvenons nous également de l'excellent Stargate de 1994. L'art du Blockbuster bien fait et bien réalisé, du bon spectacle efficace.
Mais où est donc passé ce si bon cinéma qui fait cruellement défaut aujourd'hui, malgré des moyens techniques facilités et des moyens financiers toujours plus important ? Certainement que la réponse se trouve dans le talent. Dans le fait que Roland Emmerich appartient à la génération où, comme chez Spielberg, on sait tenir une caméra, la fixer sur un pied, découper les plans correctement, les monter astucieusement, faire la lumière qu'il faut et cadrer proprement. Du grand art dont il faut souligner l'importance lorsqu'il se fait de plus en plus rare.
Un générique magnifique, puis une scène d'ouverture grandiose, puis encore une scène formidable, le film ne vous lâchera pas, un excellent casting, un enchaînement de scènes toujours prenantes. C'est bien fait, c'est filmé, c'est bien mené. Nostalgie de l'époque où Roland Emmerich était derrière la caméra et ne faisait pas que signer des films sous-traités à d'autres. On y retrouve le rythme et l’ambiance du Independence Day original. Son dernier coup de maître restera 2012. Souvenons nous également de l'excellent Stargate de 1994. L'art du Blockbuster bien fait et bien réalisé, du bon spectacle efficace.
Mais où est donc passé ce si bon cinéma qui fait cruellement défaut aujourd'hui, malgré des moyens techniques facilités et des moyens financiers toujours plus important ? Certainement que la réponse se trouve dans le talent. Dans le fait que Roland Emmerich appartient à la génération où, comme chez Spielberg, on sait tenir une caméra, la fixer sur un pied, découper les plans correctement, les monter astucieusement, faire la lumière qu'il faut et cadrer proprement. Du grand art dont il faut souligner l'importance lorsqu'il se fait de plus en plus rare.
Alexarod
Bon, sans surprises hein ? on connait l'histoire, et c'est LE blockbuster de l'été habituel, bref on sait à quoi s'attendre tout le film.
Mais je dirais, à cela près, que les effets spéciaux sont bien fait, qu'ils en font pas trop (sauf Jean Reno dans la caricature, on sent qu'il veut percer en Amérique) et que même s'il y a pas besoin de bien jouer dans ces must américains ça allait.
J'ai passé nu bon moment, j'ai pas trouvé que ça faisait une énième répétition du monstre déjà trop connu, et le tout pas trop chiant, nu peu cohérent donc ça va.
Mais je dirais, à cela près, que les effets spéciaux sont bien fait, qu'ils en font pas trop (sauf Jean Reno dans la caricature, on sent qu'il veut percer en Amérique) et que même s'il y a pas besoin de bien jouer dans ces must américains ça allait.
J'ai passé nu bon moment, j'ai pas trouvé que ça faisait une énième répétition du monstre déjà trop connu, et le tout pas trop chiant, nu peu cohérent donc ça va.
Ce film mérite quand même sa célébrité. C'est vrai, l'ensemble n'a pas vieillit. Il n'est pas vieu, mais 1998 quand même pour ce genre de film. Le réalisateur de Independance Day assure un spectacle réussit avec des effets spéciaux incroyables et soignés, un scénario bien ficelé. Le monstre est vraiment bluffant, énorme, très bien fait. On ne s'ennuie pas tellement, même si le sombre du film a tendance à lasser. Un bon casting également avec le brillant Jean Reno. La fin est très bonne avec tous les petits Godzillas et leur nid. A voir.
lhomme-grenouille
Dhabitude, Roland Emmerich aime ouvrir ses films sur la bannière étoilée flottant au vent, mais pour ce "Godzilla", nous Français avons le grand honneur douvrir le bal avec une Marseillaise qui prend très vite des tons menaçants. Autant dire que nous avons de la chance, car nous serons les seuls à pouvoir rire de ce film du début jusquà la fin tant il accumule les clichés et ne sen cache même pas ! Parce quà par ça, pas grand-chose à se mettre sous la dent : notre Godzilla nippon tant aimé à été substitué par un T-Rex mutant probablement recyclé dun projet tombé à leau de Paul Anderson, genre "Jurassic Park versus X-Men". Seul lot de consolation donc, notre Jean « Weno » national (prononçons comme la bande annonce après tout) et de ses sept acolytes, tous prénommés Jean-quelque chose ! Quand je vous disais quil y avait quoi rire dans ce film
Le gros lézard casse des buildings. Et pond des œufs.
Les personnages sont ridicules, et comme par enchantement Godzilla débarque à New York. Mais le plus extraordinaire; c'est la tronche de Godzilla, plus proche de Jurassic Park que des films originaux. Encore une fois, tant pis pour les grincheux, mais Godzilla 2014 a le mérite de respecter l'oeuvre originelle.
"Gode Zilla" avais-je cru lire, m'imaginant qu'il s'agissait d'un film sur les sex-toys et leur utilisation. Imaginez ma déception !
pierrre s.
Voilà un bon gros blockbuster qui tâche, comme Roland Emmerich sait les faire. Quelques années avant de plonger New York sous la glace, c'est un gros lézard qu'il lâche dans les rues. Alors bien-sûr le trait n'est pas fin, mais le film a le mérite de nous divertir.
Des tas de gens disent que c'est nul, moi j'adore! Il ya des tas de trucs que j'aime dans ce film: Un gros monstre genre Tyrannosaure radioactif trés réaliste, ça se passe a New York, c'est optimiste, il ya de l'humour, de l'action délirante et Jean Reno. Que vouloir de plus? Un scénario? Eh ben oui, il y'en a un, mais c'est un film d'aventures fantastique, un truc marrant c'est pas a analyser comme du Shakespeare. Ceux qui veulent s'en prendre plein les yeux et les oreilles vont s'eclater, les autres retournez a la bibliothéque. Mais ce film est beaucoup moins con qu'on peut le croire.
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