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Parfaitement maîtrisé dans sa structure, sa mise en scène et sa narration, "Todos lo saben" donne pourtant le sentiment que les personnages comme le spectateur sont libres et donc responsables de leurs jugements, de leurs décisions et de leurs actions.
Ashgar Farhadi creuse son oeuvre de cinéaste du dérèglement intime et du désordre social. Dans le cadre d'un petit village espagnol, il en resserre avec une rigueur implacable le noeud dramatique.
Sans doute parce qu'il ne maîtrise pas le cadre ibérique, Farhadi se contente de livrer un thriller psychologique, là où la pincée morale faisait d'habitude le sel de ses films. Cela dit, dans le genre vu et revu par d'autres, c'est très brillant. Largement au-dessus du panier, même.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Avec son nouveau film qui sort ce mercredi et fait également l’ouverture du Festival de Cannes ce mardi, l’Iranien Asghar Farhadi continue d’ausculter le poids que le secret et le passé font peser sur les êtres. Une leçon de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Comme toujours, le réalisateur aux deux Oscars a veillé à injecter du mystère dans son intrigue. Filmant au plus près ses personnages en crise, il sème les indices et l’ambiguïté pour créer le trouble. La tension monte jusqu’au règlement de comptes.
Marchant sur les traces d'Hitchcock et de Bergman, le cinéaste signe un cluedo psychologique étouffant, où ses deux stars, sans fard et au jeu sobre, sont au sommet de leur art.
Faux-semblants, secret et ressentiments sont au coeur de ce thriller intimiste oppressant. Emmenée par le couple Javier Bardem-Penélope Cruz, toute la distribution de ce film, palpitant de vie à chaque seconde, excelle.
Malgré un fond et des thématiques solides, Farhadi s'empêtre dans un scénario de telenovela, qui évoque plus les délires Z de Francis Huster que les élans dostoïevskiens de ses précédentes oeuvres.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
"Everybody Knows" n’est pas franchement désagréable, en lorgnant du côté d’un traitement hitchcockien sous le soleil d’Espagne. Mais il est tissé de ficelles trop grosses pour trouver sa place dans une compétition cannoise.
La mise en scène d’une grande virtuosité d’Asghar Farhadi, trouve également dans ce dépaysement une ampleur inédite. Pourtant le film, sans doute en raison d’un scénario qui donne le sentiment de déjà-vu et cède parfois à la facilité, n’atteint jamais la puissance et la cruauté qui faisaient toute la force d’Une séparation ou du Client.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
On n’est pas très loin de certains auteurs de romans noirs américains, Jim Thompson par exemple. Il aurait peut-être fallu que Farhadi sacrifie aux règles du film de genre, à commencer par la concision, pour que Todos lo saben soit une totale réussite.
Malgré quelques longueurs, le réalisateur iranien Asghar Farhadi captive pendant 2h12. Grâce à une enquête qui laisse le spectateur dans le doute jusqu’au bout. Et, surtout, grâce à la justesse de ses intrigues d’une famille rongée par le silence, le mensonge et la jalousie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'intrigue aurait mérité à être plus concise mais le cinéaste sait conclure avec habilité. Sa description d'une Espagne rurale où la lutte des classes n'a pas disparu est d'une perversité assez réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Farhadi déploie sa logique implacable de conteur, reste au plus près des corps, ausculte les moindres faits et gestes et distille les révélations pour mieux fissurer les masques.
Le film s’ouvre, des engrenages apparaissent à l’écran. Tic-tac, la grosse mécanique d’Asghar Farhadi se met en place. (...) L’image a beau être lourdingue, elle est juste : pendant deux longues heures, des créatures vont se débattre avec l’arbitraire que le cinéaste iranien a mis en place autour d’eux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
À la manière d’un « whodunit » mâtiné de psychodrame, le film alterne seulement ses coups de théâtre et autres maigres rebondissements sans que le cinéaste se donne la peine de traiter ses scènes ou ses situations.
Le talentueux Iranien s'égare dans ce drame qui évoque les séries diffusées l'été sur TF1. Asghar Farhadi empile les clichés, filme les champs comme autant de cartes postales (on regrette presque le dernier Klapish, situé en Bourgogne).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Femme Actuelle
Un thriller psychologique d'une grande force émotionnelle, superbement joué et réalisé.
Positif
Parfaitement maîtrisé dans sa structure, sa mise en scène et sa narration, "Todos lo saben" donne pourtant le sentiment que les personnages comme le spectateur sont libres et donc responsables de leurs jugements, de leurs décisions et de leurs actions.
Bande à part
Ashgar Farhadi creuse son oeuvre de cinéaste du dérèglement intime et du désordre social. Dans le cadre d'un petit village espagnol, il en resserre avec une rigueur implacable le noeud dramatique.
L'Express
Sans doute parce qu'il ne maîtrise pas le cadre ibérique, Farhadi se contente de livrer un thriller psychologique, là où la pincée morale faisait d'habitude le sel de ses films. Cela dit, dans le genre vu et revu par d'autres, c'est très brillant. Largement au-dessus du panier, même.
L'Obs
C'est du cinéma virtuose, intelligent et… cruel.
La Voix du Nord
Avec son nouveau film qui sort ce mercredi et fait également l’ouverture du Festival de Cannes ce mardi, l’Iranien Asghar Farhadi continue d’ausculter le poids que le secret et le passé font peser sur les êtres. Une leçon de cinéma.
Le Journal du Dimanche
Comme toujours, le réalisateur aux deux Oscars a veillé à injecter du mystère dans son intrigue. Filmant au plus près ses personnages en crise, il sème les indices et l’ambiguïté pour créer le trouble. La tension monte jusqu’au règlement de comptes.
Ouest France
Marchant sur les traces d'Hitchcock et de Bergman, le cinéaste signe un cluedo psychologique étouffant, où ses deux stars, sans fard et au jeu sobre, sont au sommet de leur art.
Première
Des stars, l’Espagne et un suspens bergmanien : Farhadi pose ses caméras loin de l’Iran pour mieux réaffirmer son style et ses obsessions.
Télé 7 Jours
Faux-semblants, secret et ressentiments sont au coeur de ce thriller intimiste oppressant. Emmenée par le couple Javier Bardem-Penélope Cruz, toute la distribution de ce film, palpitant de vie à chaque seconde, excelle.
Télérama
Le cinéaste confirme par ailleurs qu’il est aussi un formidable directeur d’acteurs, malgré la barrière de la langue.
Voici
Un polar intime à l'engrenage complexe.
Ecran Large
Malgré un fond et des thématiques solides, Farhadi s'empêtre dans un scénario de telenovela, qui évoque plus les délires Z de Francis Huster que les élans dostoïevskiens de ses précédentes oeuvres.
Franceinfo Culture
"Everybody Knows" n’est pas franchement désagréable, en lorgnant du côté d’un traitement hitchcockien sous le soleil d’Espagne. Mais il est tissé de ficelles trop grosses pour trouver sa place dans une compétition cannoise.
La Croix
La mise en scène d’une grande virtuosité d’Asghar Farhadi, trouve également dans ce dépaysement une ampleur inédite. Pourtant le film, sans doute en raison d’un scénario qui donne le sentiment de déjà-vu et cède parfois à la facilité, n’atteint jamais la puissance et la cruauté qui faisaient toute la force d’Une séparation ou du Client.
La Septième Obsession
Malgré les réserves, Farhadi retrouve le meilleur de cette mise en scène tout en tension sèche.
Le Monde
On n’est pas très loin de certains auteurs de romans noirs américains, Jim Thompson par exemple. Il aurait peut-être fallu que Farhadi sacrifie aux règles du film de genre, à commencer par la concision, pour que Todos lo saben soit une totale réussite.
Le Parisien
Malgré quelques longueurs, le réalisateur iranien Asghar Farhadi captive pendant 2h12. Grâce à une enquête qui laisse le spectateur dans le doute jusqu’au bout. Et, surtout, grâce à la justesse de ses intrigues d’une famille rongée par le silence, le mensonge et la jalousie.
Paris Match
L'intrigue aurait mérité à être plus concise mais le cinéaste sait conclure avec habilité. Sa description d'une Espagne rurale où la lutte des classes n'a pas disparu est d'une perversité assez réjouissante.
Studio Magazine
Farhadi déploie sa logique implacable de conteur, reste au plus près des corps, ausculte les moindres faits et gestes et distille les révélations pour mieux fissurer les masques.
aVoir-aLire.com
Un récit troublant et efficace, magistralement interprété, mais qui traduit un certain académisme chez un cinéaste que l’on a connu plus inspiré.
CNews
Une œuvre sur la complexité de l’âme humaine qui peine à convaincre.
Critikat.com
Le film accouche (...) d’une fable grossièrement tricotée et d’une tragédie enflée.
Libération
Le film s’ouvre, des engrenages apparaissent à l’écran. Tic-tac, la grosse mécanique d’Asghar Farhadi se met en place. (...) L’image a beau être lourdingue, elle est juste : pendant deux longues heures, des créatures vont se débattre avec l’arbitraire que le cinéaste iranien a mis en place autour d’eux.
Transfuge
À la manière d’un « whodunit » mâtiné de psychodrame, le film alterne seulement ses coups de théâtre et autres maigres rebondissements sans que le cinéaste se donne la peine de traiter ses scènes ou ses situations.
Cahiers du Cinéma
Une auberge espagnole qu’on dirait filmée par un téléphone portable tenu par un hyperactif atteint de cécité.
Le Figaro
Le talentueux Iranien s'égare dans ce drame qui évoque les séries diffusées l'été sur TF1. Asghar Farhadi empile les clichés, filme les champs comme autant de cartes postales (on regrette presque le dernier Klapish, situé en Bourgogne).