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ned123
156 abonnés
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3,5
Publiée le 25 mai 2020
J'ai vu un film... qui reprend la fibre de "Bienvenue en Terre Inconnue", avec une dimension dramatique d'une occidentale qui retrouve goût à la vie en se retrouvant dans une tribu mongole, pour suivre une formation de Chaman... On suit son parcours de reconstruction et sa reconnexion à elle-même. Cécile de France est vraiment touchante dans ce rôle. On plonge dans une histoire qui évoque l'idée d'un autre monde, derrière celui des apparences, de la vie, de l'esprit. Les scènes de transes sont incroyables... On est admiratif de la prestation de Cécile de France, d'une beauté rayonnante, naturelle. Ce film est un inspiré d'une histoire vraie, du livre de Corine Sombrun. Les décors sont magnifiques et on ressent la nature... En se disant que dans notre civilisation moderne, l'Homme a un peu loupé quelque chose. Parfois le film est un peu lent.
Un superbe film avec Cecile de France (qui n'est pas de France puisqu'elle est belge). C'est une partie de l'histoire de Corine Sombrun, qui après la perte de son amour, a connu l'ayahuasca puis est allée en Mongolie pour decouvrir qu'elle etait elle-même shamane.
il se passe rien , le temps est long , autant regarder en terre inconnue , c'est mieux filmé. Le réalisateur aurait mieux fait de faire un documentaire , car un film de cinéma il faut quand même construire un scénario! marre de perdre mon temps avec des navets pareil !
Très déçu. Pour moi c'est de très loin le plus mauvais film de Cécile de France. Histoire ennuyante, scénario absent, vision réductrice à l'absolue de la culture mongole... J'ai du vraiment me forcer pour finir le film.
C est un film intéressant qui s'intéresse aux traditions chamaniques de Mongolie. Basé d'un fait réel et d'un livre. Le tout est très bien filmé et nous explique le parcours d'une femme qui a du mal à faire son deuil et part pour son travail en Mongolie. C est là-bas qu'elle se trouvera des dons de chamane. L'intensité du film ce trouve entre ce que peut ressentir le personnage dans la réalité d'un point vue spirituel et du regard des autres, sa famille et de la médecine.
Un Monde plus grand navigue entre deux rives qui sont autant d’écueils pour lui : le drame psychologique d’une part, le feel good movie d’autre part. Et si son louvoiement ne l’empêche pas d’accoster sur l’une ou l’autre par facilité, nous retiendrons davantage la beauté de ce parcours initiatique au terme duquel une femme aura su faire son deuil tout en contribuant au progrès des sciences neurologiques. Ce que représente Corinne, au-delà de sa trajectoire strictement individuelle, c’est la détresse de l’homme occidental qui ne croit plus en rien, qui dégrade les cultes étrangers en pratiques occultes et malfaisantes similaires à l’emprise sectaire. La croyance est ici taxée de folie : elle marginalise, on l’examine par laser ou transmetteurs posés sur le crâne telles des sondes que l’on aurait plongées dans un au-delà incertain et seulement connu par ses fréquences sonores. Aussi le travail de Corinne confère-t-il au long métrage une porte d’entrée passionnante dans le chamanisme : en prenant le son, elle accède aux rythmes de l’âme de la communauté des Tsaatans qu’elle confronte aux vibrations de son cœur blessé ; en résulte un apprentissage pas seulement culturel, mais aussi et surtout spirituel, sensible parce que mobilisant et perfectionnant les sens. Néanmoins, Un Monde plus grand ne réussit pas à nous faire ressentir cet élargissement promis par son titre et réduit ici au statut de thématique : les séquences de transe fonctionnent grâce à une imagerie qui travaille accélérations et ralentis au service d’un montage épileptique, mais l’éveil spirituel est constamment coupé par des ellipses dommageables. À peine arriver, on repart ; à peine reparti, on revient ; à peine revenu… Tout va trop vite, tout est expédié sans que l’amour infini ne nous monte dans l’âme, si bien que les étapes initiatiques paraissent souvent grossières ou frôlant la caricature. Il aurait fallu ralentir la machine et dépouiller le récit d’intrigues secondaires qui absorbent et annulent l’énergie créée par le village mongol. Demeure un film sensible et pourvu de réussites locales qui justifient, à elles seules, son visionnage. D’autant que Cécile de France est ici parfaite. Tout comme la partition composée par Valentin Hadjadj, sous influence Max Richter.
Brochure de propagande pro-chamanisme où l'on suit une Cécile de France, en totale roue libre, faire son deuil en Mongolie. C'est lent, peu inspiré, et surtout beaucoup trop simpliste et partisan.
Super film car il ne ressemble a aucun autre, thème assez troublant et une actrice naturelle extraordinaire . A certain moment un peu triste, ça reste un film vraiment touchant qui raconte une histoire vrai hors d'une commun (un peu romancée) 4,5 Excellent !
Malgré quelques aspects prometteurs, je n’ai pas été emballé par ce drame. Concrètement, la construction du scénario me laisse un peu dubitatif. On vogue dans l’inconnu allant de droite à gauche, au gré du vent sans trop de cohérence. Une fois que j’ai appris que c’était tiré d’une histoire vraie, j’ai mieux compris. Je pense que certains raccourcis ont dû être faits afin que cela ne dure pas trop longtemps et donc forcément ça peut faire perdre de la clarté au déroulé. Paradoxalement, le rythme va être plutôt lent. Je commençais même à perdre patience avant qu’on rentre dans le dur du sujet. Par contre, une fois qu’on est bien dans la thématique, il y a quelques scènes qui sont vraiment fortes. C’est d’ailleurs le sujet qui m’a interpelé. On va aborder ici plusieurs notions spirituelles passionnantes. Il y aura une perspective de la vie après la mort mais aussi la découverte d’une culture et ses croyances. On aborde tout ce qui touche au domaine des chamanes et transes. Un monde qui nous est inconnu en Occident mais qui recèle énormément de richesses. Le film a d’ailleurs véritablement été tournée en Mongolie avec une tribu locale. Cela donnera des plans magnifiques. J’ai apprécié ces moments de dépaysement. Cependant, malgré ces points majeurs, je n’ai pas ressenti d’émotion. Habituellement j’apprécie beaucoup Cécile de France, mais cette fois-ci le courant n’est pas passé. Je ne la sentais pas dedans.
Un très joli film sur un thème relativement peu commun du chamanisme moderne. Loin d'être trop ésotérique, le film le traite sous un angle émotionnel très fort et assez réaliste.
Plutôt sceptique sur le chamanisme et les sciences occultes, j'ai trouvé cette adaptation de l'expérience de Corine Sombrun enthousiasmante. En effet, qui de mieux que Cécile de France pour assurer la crédibilité de cette femme qui vient de perdre son compagnon, et décide de partir en Mongolie. Les scènes de transe ne sont pas ce qui est le mieux réussi par la réalisatrice, par contre la relation avec le peuple des steppes et les paysages merveilleux transcendent le film. Le tout filmé avec délicatesse et au risque de me répéter, le panel d'émotions délivré par Cécile de France est remarquable.
Que c'est lent !!! J'attendais ce film avec impatience, j'en suis ressortie très déçue. Sans saveur. C'est mou. Je ne le recommande pas. En terme de voyage initiatique j'ai préféré "mange, prie, aime".
Voilà un film dont il vaut mieux lire le livre. Malgré toutes les belles images de l'Himalaya et une belle prestation des acteurs on a du mal à voyager. Le visuel pourtant grandiose ne dépasse pas l'imaginaire transcendée par l'auteure du livre. à voir cependant... ou à relire...car l'histoire vaut la peine d'être connue
Superbe film ! Cécile de France est juste incroyable dedans ! hâte de voir le documentaires "Visions Chamaniques, Territoires Oubliés" qui devrait bientôt sortir !! Enfin des points de vue différents sur le chamanisme...
Un film qui fait du BIEN et qui introduit parfaitement bien dans l'univers complexe des traditions chamaniques. A travers le regard de Cécile de France, le spectateur vit passionnément ses moments envoûtants de transe mais également de doutes. D'ailleurs, pour tous les passionnés du sujet, j'ai ouïe dire de la sortie d'un nouveau documentaire mi mars s'intitulant "Visions Chamaniques" réalisé par David Paquin. (Pour les curieux, je tire ces infos du site de Jupiter Film).