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    Les Éblouis
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    Craoux
    Craoux

    24 abonnés 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2020
    La progression dans l'enlisement sectaire est dérangeante d'autant plus que l'angle de vue de la réalisatrice est celui du regard et des émotions de l'adolescente de la fratrie, dont on perçoit et ressent le trouble et la révolte, impuissante, face à ses parents qui perdent pied, petit à petit, avec le monde réel, rationnel. Ma grande réserve sur ce film porte sur l'exploitation scénaristique de l'évènement (dont je ne dirai rien) qui va enrayer le processus. C'est fort dommage de n'avoir pas pu éviter de surfer sur cette vague nauséabonde pour conclure le film car on n'apprend finalement rien sur les possibilités de lutter contre l'embrigadement sectaire. Sauf si la chair est faible.
    Georges P.
    Georges P.

    66 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2020
    Bon film sur le fond mais j'ai trouvé une photographie assez minable et une prise de son indigne. On sent le film avec un petit budget ce qui dessert des comédiens très bons et un bon scenario.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    656 abonnés 2 917 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2020
    Pourquoi sortons-nous à notre tour « éblouis » de ce premier long métrage ? Peut-être parce qu’il a l’intelligence de se saisir du point de vue d’une jeune adolescente, soit d’un esprit et d’un corps en pleine transformation et qui vont trouver dans la communauté à la fois un tuteur sur lequel s’appuyer pour grandir et un frein qui en limitera les modalités d’expression. Ce n’est pas un hasard si Camille étudie dans une école de cirque : on y enseigne la liberté de gestes et l’art de mettre en scène son corps à partir d’une chorégraphie pensée en harmonie avec ce que l’on est au plus profond de soi. La secte se situe aux antipodes de cette école : les gestes se réduisent aux mouvements, à du mécanique plaqué sur du vivant, à l’instar de cet accueil moutonnier au cours duquel les fidèles appellent leur berger en bêlant. Dès lors, la jeune adolescente est tiraillée entre une communauté qui a permis à sa famille de se solidifier et une lucidité sur l’endoctrinement galopant qu’elle lui fait subir à grand renfort d’exorcismes, de révélations douteuses sur des prétendus abus sexuels remontant à l’enfance, de repas pris ensemble où l’on partage le peu que l’on a : salade verte et pain dur. Ce que capte par sa caméra la réalisatrice, c’est un dilemme dont Camille a conscience sans pour autant pouvoir le résoudre. La séquence de première relation sexuelle est emblématique : s’adonner à son désir, oui, mais au seul prix de la robe de mariée et de la cérémonie religieuse. Présenter ses excuses, les doigts croisés. Voler dans la caisse du berger pour offrir à ses frères une crêpe au jambon-fromage. Nous comprenons que le dilemme de Camille est l’expression de son amour pour les siens, un amour complexifié par un besoin de croire à une puissance supérieure apte à guérir sa mère et à ordonner ce qui, pendant l’adolescence, apparaît confus. Sarah Suco ne cède à aucun cliché du genre, brosse le portrait sans concession ni excès du sectarisme à visage humain et ancré dans des régions de France que l’on ne soupçonnerait guère : Angoulême c’est aussi bien ma ville ou mon village, et les Loumet peuvent être mes proches ou mes voisins. Les Éblouis réussit le tour de force de mettre en scène l’emprise dans ce qu’elle a de plus commun, accessible à tous, redoutable. Seul bémol à signaler, suffisamment important pour qu’il mérite de l’être : le long métrage souffre d’une confusion de point de vue qui rend certaines scènes caduques et leur articulation parfois trop rapide. Nous aurions aimé, en lieu et place, nous concentrer exclusivement sur la focalisation de Camille, assister au divorce douloureux avec l’art du cirque, la suivre dans son quotidien. Tout cela va à toute vitesse et manque les étapes essentielles à l’emprise, la progression de cette dernière dans le temps. Fort heureusement, le film repose sur une réalisation maîtrisée et des acteurs magistraux, avec une mention spéciale pour la jeune Céleste Brunnquell qui campe le personnage le plus complexe du long métrage, ainsi que pour Camille Cottin qui trouve là son meilleur rôle. Une œuvre immense, forte et nécessaire.
    Ge0kok0
    Ge0kok0

    3 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2020
    Un tronçon de vie autobiographique de Sarah Suco mettant en scène les dérives sectaires extrémistes d'une communauté religieuse auxquelles elle fit face.
    Une bonne adaptation avec une brillante interprétation de Céleste Brunnquell qui porte avec grâce les débats.
    Adapté à l'époque moderne elle met en garde contre l'embrigadement de ses bergers illuminés inspiré du model Américain
    FaRem
    FaRem

    8 287 abonnés 9 298 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2020
    Pour son premier long-métrage, Sarah Suco s'inspire directement de sa propre expérience après avoir vécu pendant dix ans au sein d'une communauté similaire. La réalisatrice est gentille avec son titre, car j'aurais plutôt parlé d'illuminés ou de détraqués, mais je suppose qu'ébloui est un mot moins provocant. Avec ce film, la réalisatrice cherche tout de même à dénoncer ce genre de dérive sectaire. Il ne s'agit pas d'attaquer les croyants qui vivent tranquillement leur foi de façon isolée ou pas, mais bien ces fous qui font tout pour laver le cerveau des gens avant de les forcer à couper les liens avec leurs proches et de leur prendre tous leurs biens. Sarah Suco a déclaré que ce qu'elle a vécu était bien pire que ce qu'elle raconte dans son film et qu'elle a attendu suffisamment longtemps pour ne pas être dans la haine. On peut dire qu'elle a respecté sa parole, car elle dénonce, mais sans en faire trop. Je trouve même qu'elle a été trop gentille avec le personnage de Camille qui leur laisse beaucoup de chance. Le personnage de Camille qui est le personnage central est très bien écrit. On découvre une fille suffisamment forte pour se battre, mais encore trop jeune pour tout faire toute seule. On peut dire qu'elle se laisse endoctriner pour rester auprès de ses frères et sœurs et continuer à les protéger de l'intérieur. Céleste Brunnquell, qui a été nommé pour le César du meilleur espoir féminin pour ce rôle, est bluffante pour son premier rôle. Ce que j'aurais aimé, c'est comprendre un peu plus pourquoi les parents se sont fait avoir aussi facilement. Dès le début, on sent que Christine, la mère, est étrange, mais on dirait que c'est exactement ce qu'elle cherchait comme si elle voulait lâcher prise sur tout. D'un autre côté, ça montre aussi que personne n’est à l'abri. Ce n'est malgré tout qu'un détail, car "Les éblouis" est un film fort avec un final bouleversant.
    Christoblog
    Christoblog

    791 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mars 2020
    Les éblouis fait partie de ces films dont on aimerait dire du bien : un projet cher au coeur de la réalisatrice (car en grande partie autobiographique), une distribution sympathique (Camille Cottin, Jean Pierre Darroussin en chef de secte, l'excellent Eric Caravaca - le réalisateur du très bon Carré 35) et un angle intéressant (la dérive sectaire vue à travers les yeux d'une pré-ado).

    Malheureusement, rien ne fonctionne dans le film. L'implication personnelle de la réalisatrice Sarah Succo dans l'écriture de l'histoire est sûrement contre-productive. Les émotions et les souvenirs liés à son histoire semblent l'avoir conduit à affadir l'histoire : le résultat est anecdotique et délayé.

    Le film manque de rythme dans le montage, de précision dans la mise en scène et de détermination dans la direction d'acteur. On se désintéresse progressivement de la destinée de la petite Camille, dont les aventures flirtent parfois avec l'invraisemblance onirique (la robe de mariée) et finissent par nous tenir à distance, un comble pour une narration dont la progression dramatique devrait conduire à un climax.

    Bien tenté, mais raté.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    334 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2020
    J’ai trouvé ce drame vraiment intéressant. Le thème des sectes est assez particulier et il est abordé ici de la bonne manière. Déjà car cela vient d’un vécu, et parce qu’il est vu à travers les yeux de l’ainée. On aura donc une vision totalement différente que si on avait pris celle des parents embrigadés. On voit bien tout le processus qui les faits plonger et forcément les conséquences qui vont avec. J’ai tout de même un bémol sur ce point. Je trouve qu’on saute un peu trop de moment dans le chemin qui les mène à cette intégration. On ne connaît que très peu leur vie avant la rencontre, et la dérive aurait pu être un peu plus détaillé. L’histoire reste très prenante, mais la découpe n’est pas à mon goût. Il y a un manque flagrant de transition. Afin de rentrer dans ce récit, il fallait forcément de bons acteurs et c’est le cas. Camille Cottin, que j’ai plus l’habitude de voir dans des comédies, m’a marqué. Quelque chose passe à travers elle, et on comprend sa chute. Eric Caravaca, qui joue son mari, est lui aussi excellent dans son registre de père mou. Et comment ne pas saluer la prestation de Jean-Pierre Darroussin qui est comme souvent impressionnant. Malheureusement, une actrice ne m’a pas du tout plu, et il s’agit de la principale, Céleste Brunnquell. J’ai trouvé son jeu beaucoup trop forcé. Ça sonnait faux. Même le comportement de son personnage recèle beaucoup d’incohérence. C’est dommage car cela m’a un peu gâché le film.
    Jmartine
    Jmartine

    161 abonnés 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2020
    Les Eblouis est un film fort, le premier film de Sarah Suco, qui raconte l'histoire d'une « famille ordinaire », les Lourmel, qui, en panne de sens dans son existence, choisit de refaire sa vie au sein d’une communauté chrétienne où l’on ne jure que par le partage, la joie et la dévotion. Progressivement, la communauté révèle son vrai visage : celui d’une secte qui impose sournoisement ses diktats religieux et ses règles liberticides. Si les parents, aveuglés par leur foi et leur confiance, acceptent de se soumettre, Camille, la fille aînée de la famille, 14 ans, rentre en conflit avec ses « maîtres » et, pour elle et pour ses petits frères, tente de sauver ce qui peut encore. Le pire est que Sarah Suco n’a rien inventé, elle a vécu avec sa famille près de dix ans dans une communauté de ce genre, elle retranscrit sans pathos ni surenchère le processus d’embrigadement et met en scène le combat de Camille, cette ado vivant un terrible conflit de loyauté entre son désir d’émancipation et sa fidélité à ses parents. Les communautés charismatiques de l’Emmanuel ou des Béatitudes ont voulu se démarquer du film , elles rappellent que des dérives sectaires ont malheureusement eu lieu au sein même de mouvements et communautés de l’Église Catholique mais ajoutent que les pratiques décrites dans le film restaient très minoritaires au sein même du renouveau charismatique catholique et que l’institution s’est dotée en 2013, d’une Cellule des dérives sectaires dans les communautés catholiques à l’instigation de la conférence des évêques de France, sensée réagir immédiatement en cas de nouvelle alerte.. On veut bien le croire… En attendant, Sarah Suco qui a affirmé sur les plateaux que tout ce qu’elle montre est bien en deçà de la réalité , a voulu réaliser là un film combatif, dirigeant avec maîtrise une brochette de comédiens impeccables, Jean-Pierre Daroussin que l’on attendait pas dans ce rôle du Berger à la suavité vénéneuse, une Camille Cottin transportée et habitée, Eric Caravaca en père un peu lâche et la révélation Céleste Brunnquell dans le rôle de Camille .Cette plongée au sein de ces talibans chrétiens (pas de tissus noirs, pas de contact avec la société extérieure, pas de musiques impies), le cirque, c’est l’abîme, la déchéance, la géhenne, suscite chez le spectateur successivement haine, compassion, dégoût, horreur , révolte, et donne à voir la réalité mal connue de ces sectes chrétiennes dites « charismatiques » Et ce film qui m’a beaucoup horripilé , reste bouleversant et quasiment d’utilité publique.
    Sophie Cha
    Sophie Cha

    8 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Très bon premier film ! realisatrice prometteuse...
    malgré quelques semaines longueurs, nous avons happés par la vie de cette famille.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 306 abonnés 4 080 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Sarah Suco que nous avons découvert dans “Discount” et “Les Invisibles” réalise son premier film avec “Les éblouis”. Au travers du personnage d’une jeune fille, elle tente de raconter comment une communauté de l’Eglise Catholique a embrigadé sa famille, en particulier sa mère. C’est Camille Cottin qui a la lourde tâche de jouer cette mère aux apparences saines, mais en réalité complètement emprise par les rouages du sectarisme. Basée sur le Saint-Esprit, la secte guide les journées de ses membres avec des chants, des prières et des rituels de groupe. “Les éblouis” nous éclaire sur des dérives méconnues et pose des questions le cheminement de la foi des extrémistes, qu’importe la religion. C’est une oeuvre profonde et spirituellement importante.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Galactus
    Galactus

    7 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    Très bon film, c'est très crédible. Darroussin est parfait dans son rôle, avec un naturel incroyable.
    tonton29
    tonton29

    20 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2020
    La 1ère minute du film est légère, subtile, une bulle de grâce, un ange évolue dans les airs. C'est Camille, ado de 12 ans qui fait une représentation artistique dans le cadre joyeux de son école de cirque. Un des très (trop) rares instants d'abandon de soi et de joie de vivre. Elle se retrouve alors vite rattraper par la froideur cartésienne de sa mère qui essaie d'équilibrer tous les éléments de la cellule familiale. Face à cette rigidité apparente, la douceur de la communauté religieuse associée à l'église du village semble être l'espoir de renaissance globale pour la mère qui s'y investit de plus en plus surtout pour le salut de son âme et la protection de sa famille. Le père est conciliant sans trop y croire au début mais suit sa femme dans cet écrin de bien-être. Le Prêtre de la Communauté étant humble et fraternel accordant son Pardon aux pêcheurs involontaires, a un ascendant moral et une perniciosité psychologique alors que bon fond, il veut guider les moutons vers la voie de la rédemption et sauver les âmes. Mais Camille, en période de questionnements ado et confrontée à ses doutes malgré son Amour filial, se retrouve en rejet de certaines décisions et ne trouve pas sa juste place entre sa famille, la Communauté, le collège, le cirque. Un sentiment de danger pour ses frères et soeurs embarqués dans l'histoire la fait hésiter sur le comportement adéquat à avoir. À part quelques jolies scènes lumineuses (les séances de jeux, ses premiers émois, les balades, le mariage) le film évolue dans une ambiance assez lourde voire malaisante dans notre rapport à l'autre, à la Religion (ici Catholique mais le film aurait le même effet si Religion Juive, Musulmane, Bouddhiste) car sans toujours le montrer ou l'expliciter, il y a des ambiguïtés de rapports, des relations familiales qui se délitent au lieu de se renforcer sous le feu de l'Amour de Dieu. Le thème n'est pas facile à traiter, on sent la sincérité de la réalisatrice de retranscrire son vécu mais malheureusement un sentiment de confusion (le sien durant sa période au sein d'une communauté religieuse) donne une impression brouillonne. On se débrouille pour comprendre les comportements versatiles de Camille alors qu'à certains moments on la sent sûre d'elle. Elle est en vrai partagée entre tout ce qui lui arrive, ses envies et les peurs d'éclatement de la cellule familiale si elle agit.
    Mais à vouloir trop bien faire, sans être trop didactique, démonstrative ou montrer le côté pernicieux de la communauté qui n'est pas une secte mais une frange traditionaliste forte, la réalisatrice de perd dans tout ce qu'elle veut exposer, dénoncer, sans juger l'Église Catholique et les Croyants dans leur ensemble car elle concède que ce n'est qu'une infime part mais qui est destructrice plus que salvatrice.
    Et on retombe sur les travers classiques de chaque religion exposés au ciné (le catholique pédophile, le musulman djihadiste, le juif manipulateur) Elle sait que les messages 1ers sont sagesse partage rédemption pénitence fraternité pardon.
    Mais, si la réalisation du film lui a été salutaire pour exorciser les derniers démons de cette période, elle n'a pas tous les codes filmiques pour accoucher sereinement d'une oeuvre ample et singulière. C'est donc une débutante qui veut dire beaucoup mais qui bredouille son cinéma et son message. Aurait-elle mieux fait d'attendre un peu plus, faire quelques films pour apprendre le métier et alors poser un regard neuf sur son histoire perso ? La jeune comédienne (quelle âge a t'elle réellement ?) qui propose une grande palette de jeu et d'émotions, est parfois très en phase et des fois confuse ou perdue dans les demandes de la réalisatrice. Son 1er frère a des moments de présence forts. JP Daroussin met en confiance. Camille Cottin est en contre-emploi mais parfois surjoue. Il manque quelques rapports avec les autres membres de la famille (à part les grands-parents) et le traitement global est trop rapide pour bien montrer l'évolution psychologique des protagonistes. Bon début mais . . .
    Arnaud75016
    Arnaud75016

    7 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    Bravo aux ébloui pour ce très bon film, subtile et très bien joué avec une mention spéciale pour Jean-Pierre Daroussin et pour la jeune Camille. La dérive sectaire est lente mais inexorable. Bravo
    Claire D
    Claire D

    5 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    Un mauvais téléfilm qui est une succession de sctechs plus caricaturaux les uns que autres.
    Très dommage vu la thématique du film, car le sujet est réduit à une grotesque esquisse quand il aurait du être traité avec bien plus de subtilité.
    On a plutôt envie de se marrer tellement Camille Cottin joue à la perfection la caricature.
    Darroussin est parfait dans son rôle.
    Malheureusement l 'adolescente qui joue Camille à encore du travail pour convaincre un public. On la sent pas à l' aise dans son rôle mise à part la scène du commissariat à la fin.
    En résumé encore beaucoup de boulot à la réalisatrice qui, malgré l'horreur de ce qu'elle a à priori vécu, n'arrive pas à convaincre à travers cette parodie.
    Zeitnot33
    Zeitnot33

    4 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2019
    Bien réalisé.
    Scénario hors du commun, quand on sait que c'est sorti d'une histoire vraie, ça fait trembler.
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