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    Les Éblouis
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    Jean-Jacques FERNANDEZ
    Jean-Jacques FERNANDEZ

    26 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2021
    un sujet traité avec sérieux et une réalisation soignée. Des acteurs totalement convaincants et une jeune actrice impressionnante de crédibilité qui a un bel avenir dans le 7ème Art. Une très belle découverte. A voir absolument.
    bug bunny
    bug bunny

    41 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    un film puissant en émotions mais malheureusement montres la réalité qui peut arrivée un film tres prenant
    gigitop
    gigitop

    2 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    Quel film , quelle claque. On est sidéré par l emprise que ce prêtre manipulateur gourou prend petit à Petit sur les parents Les acteurs sont fantastiques. Camille Cottinn, jp dartoussin et les enfants Je n avais pas entendu de parler de ce film jusqu à le voir ce soir en vod. A voir absolument
    CH1218
    CH1218

    189 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    Inspiré de son vécu, le film de Sarah Suco doit beaucoup à son sujet, moins à sa forme. Trop de retenue peut-être car, bien que présent, le sentiment de malaise, d’oppression et de danger lié à l’emprise sectaire qui s’est refermé sur cette famille et plus intimement sur l’adolescence (Céleste Brunnquel, à suivre) ne prend qu’à petites doses homéopathiques. Dommage.
    Guillaume
    Guillaume

    106 abonnés 1 563 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2020
    Ébloui, je ne l'ai pas été. Tout en saluant l'audace du réalisateur à s'attaquer à un sujet aussi complexe, frontière est tenue entre réalité subjective et caricatures.
    Le scénario manque cruellement de profondeur. La psyché des personnages est quasi binaire. Rien n'est surprenant.
    VOSTTL
    VOSTTL

    85 abonnés 1 874 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 décembre 2020
    Film en partie autobiographique. spoiler: Sarah Suco, comédienne qui réalise là son premier film a tenu à expier ce passé de 10 ans dans une communauté religieuse. Son film est « d’après une histoire personnelle » mais c’est avant tout une fiction. Je prends note. Elle déclare dans un magazine : « Ce que j’ai vécu dans cette communauté pendant dix ans a été bien pire et bien plus intense. Si j’ai attendu autant pour le faire, c’est justement pour ne plus être dans la haine. » Cela part d’un bon sentiment, on ne fait rien de bon avec la haine. Pourquoi avoir évité « le pire » et « l’intense » dans son film ? « Croyez-moi, le film est en deçà de la réalité. » C’est bien dommage, et l’impression que j’avais à la fin du film me rassure, à savoir quoi en penser ? Voilà un film qui souligne quoi exactement ? S’il m’était difficile de rester indifférent aux différents discours tenus par le Berger, les parents et par le comportement de Camille, je me suis tenu souvent à distance. Le film a peut-être réussi son pari, me rendre aussi impuissant que Camille, que ses frère et soeur. Impuissant comme ses grands-parents. Impuissant comme Boris. Par contre, je peux vous assurer que j’étais très attentif aux discours insensés de la communauté. Je me pose la question suivante : si Sarah Suco dit que ce n’est pas un film à charge pourquoi rester en dessous de la réalité ? A quoi bon faire un film si c’est pour rester en surface ? La crainte de vexer ? d’amalgamer ? de blesser ? « … j’ai beaucoup lu, notamment sur les nouvelles sectes – les pires aujourd’hui, ce sont les nouvelles thérapies où, sous le couvert du développement personnel, on embrigade les gens. » « Pour moi, les mécanismes d’emprise commencent au sein de la famille. ». Justement, j’en veux plus ! J’aurais aimé en avoir davantage ! L’emprise des parents on la devinait déjà dès le début du film. J’aurais aimé savoir comment le Berger s’y est pris envers la mère de Camille soit-disant victime d’attouchements de son père. Je n’y ai pas cru parce que je ne crois pas en la parole du Berger (Jean-Pierre Darroussin) . Il aurait été intéressant de nous en dévoiler la mécanique du langage, de la manipulation. En terme de manipulation, on apprend que la famille de Camille a vendu son appartement pour alimenter les caisses de la communauté ; en terme de quotidien, la réalisatrice nous invite à rire aux cris de moutons proférés par les partisans pour annoncer l’arrivée du Berger ; quelques remontrances ici ou là ; quelques punitions. Ça reste supportable car Sarah Suco ne manque pas non plus de bienveillance ; ainsi, de nombreuses séquences nous apportent son lot de partage, de repas partagés, de don de soi pour accompagner les miséreux, les balades en forêt, les jeux, tout ça avec des sourires sincères. On a l’impression que Sarah Suco a voulu équilibrer la balance. Jouer l’objectivité. Comme pour l’Eglise catholique. Oui, bien sûr il y a des brebis galeuses, mais dans l’ensemble l’Eglise se comporte très bien. Ce que j’accepte volontiers avec l’Eglise, j’ai du mal à l’accepter avec les sectes ou communautés, peu importe. J’aurais aimé que Sarah Suco apporte plus de soin à l’embrigadement, et encore plus envers une famille qui est par nature, aisée, instruite, éduquée. C’est la raison pour laquelle, j’ai du mal à me situer avec son film. Le fait d’embrigader est une violence, peu importe si les geôliers prônent l’amour. Le fait que des parents entraînent leurs enfants dans une communauté laquelle décide qui voir qui ne pas voir est une violence faite à l’enfant et doit par conséquent être sanctionné par la loi. Au lieu de ça, la réalisatrice nous dit qu’il faut une faute bien plus grave que l’embrigadement : le viol d’un enfant. C’est vrai, l’enfant ne perçoit pas tout ça. Il vit en autarcie avec ses parents, il y a des chants, des jeux, des prières. L’angle de la réalisatrice c’est celui de Camille. A hauteur d’adolescent qui ne maîtrise pas tout. C’est aussi terrifiant. Cependant, ce que me propose Sarah Suco est frustrant.
    Sans être pour autant ébloui, je suis séduit par la prestation de la jeune actrice Céleste Brunnquell qui porte en grande partie le film sur ses épaules. spoiler: Elle n’a pas hésité à se mettre à nue, à jouer une scène délicate et sa séquence au commissariat est poignante.
    C’est une actrice à suivre. J’invite vraiment Sarah Suco a être plus audacieuse. spoiler: (Après quatre refus, j’ai pratiquement tout mis en spoiler ! Allociné et son ticket aléatoire modérateur !)
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    194 abonnés 1 893 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 décembre 2020
    Le thème était intéressant. Malheureusement la réalisatrice n'a fait qu'effleurer son sujet. Par exemple, on ne comprend pas pourquoi cette famille se laisse ainsi phagocyter par cette secte. Les personnages restent très superficiels. En particulier le père. Si on comprend qu'il est faible, on a tout de même du mal à admettre qu'il ne réagisse pas au moins un peu, le film ne nous dit vraiment rien de sa psychologie. Le fonctionnement de la secte est à l'avenant : on n'en voit que quelques aspects sous forme de sketchs mais on ne sait rien des rapports entretenus entre eux par les adeptes. Par exemple, la pédophilie est-elle un acte isolé et dissimulé ou au contraire une pratique admise ou tolérée ? La méthode, vaguement psychanalytique, qui consiste à faire avouer en confession à des femmes qu'elles auraient été violées par leurs pères, alors qu'il n'en est rien, était intéressante, mais elle n'est pas développée. Darroussin aurait pu sauver le film, mais son charisme et son emprise sur ses "brebis" manquent de crédibilité. On comprend que la réalisatrice a voulu faire un collage de ses souvenirs, et les souvenirs sont généralement trompeurs. Ce choix nous donne une sorte de téléfilm à la limite de la reconstitution documentaire. Ca ne décolle jamais. Les comédiens jouent à peu près correctement, mais la mise en scène est particulièrement plate et la photo médiocre. Dommage.
    Choupi C.
    Choupi C.

    22 abonnés 324 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2020
    Sujet assez original et bien traité. Cependant reste assez lent même si les acteurs sont convaincants.
    Komodorr
    Komodorr

    132 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2020
    J'ai beaucoup de mal avec ce film car je déteste tout ce qu'il y a dedans: l'endoctrinement et les déviances religieuses. Tiré de l'expérience réelle de la réalisatrice, j'aimerai bien savoir ce qui est vrai et ce qui a été romancé. On aimerait comprendre comment ça se fait que les parents se soient fait lessiver le cerveau au point de ne presque plus réagir à rien et de croire n'importe quoi ? Et pourquoi ce changement de vie si radicale et borderline entre la religion catholique et une communauté sectaire dirigée par un prêtre?/gourou autoritaire, manipulateur et inquisiteur ? Les arguments sont légers et matérialistes ! Ce qui est vraiment intéressant c'est comment se comportent les enfants et surtout l'adolescente Camille dans cet environnement nouveau rempli de règles et de contraintes qui leur est soudainement imposé spoiler: dont viendra le salut après un choc irréversible
    . Caricatural aussi avec des notes anticléricales, la réalisatrice met les pieds dans le plat mais que c'est lourd et prévisible. Cependant si le but premier de ce film est de nous rendre mal à l'aise et de dénoncer et bien c'est réussi. Ce que je retiens aussi c'est que l'entourage et les non membres de la famille spoiler: sont bien apathiques face à cette situation qu'ils soupçonnent ou pourraient soupçonner avec les indices donnés et les changements de comportements
    spoiler: mais qu'ils ne disent rien, ni les grands-parents, ni l'école; ce qui me fait dire que le réalisme n'est pas poussé à l'extrême. J'aurais également apprécié d'avoir quelques lignes à la fin pour connaitre l'issues juridique et la réaction de l'Eglise mais rien du tout.
    lejojoducoin
    lejojoducoin

    22 abonnés 876 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2020
    Tout simplement édifiant de vérité, et tellement bien interprété. La réalisatrice nous livre son histoire avec une clairvoyance étonnante. Un sujet rare en plus dans les films, qui mérité d'être partagé.
    Jean Faduel
    Jean Faduel

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 décembre 2020
    Un film dans la plus pure tradition gauchiste, veritable cancer de notre époque, qui nous explique que le problème c'est la religion catholique.
    L'interview de la réalisatrice à ce sujet est consternante. Nos vrais ennemis ne sont pas ceux que l'on croit.
    Antoine
    Antoine

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    Un film poignant et délicat. Qui montre finement le mécanisme de l'emprise et la force de caractère nécessaire pour y résister. On sent le vécu.
    GéDéon
    GéDéon

    78 abonnés 493 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2022
    Ce premier long-métrage de la réalisatrice Sarah Suco, sorti en 2019, est une vive critique du communautarisme religieux. Au-delà des acteurs principaux très impliqués dans leur rôle (Camille Cottin, Éric Caravaca et Jean-Pierre Darroussin), ce sont surtout les enfants qui apportent une véritable sensibilité à cette histoire. A ce titre, la prestation de Céleste Brunnquell qui refuse cet embrigadement spirituel reste émouvante. Bref, on peut tout de même regretter la charge trop caricaturale contre le monde clérical qui finit par desservir le message recherché.
    djeff17
    djeff17

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2020
    Pour son premier long métrage, la réalisatrice a choisi de conter l’histoire lamentable de sa famille, entrée délibérément dans une secte religieuse de la province française, telles qu’elles fleurissent surtout, pour y défrayer la chronique, aux Etats-Unis. Il s’agissait sans doute pour elle d’exorciser un passé douloureux, ce que l’on peut comprendre, mais qui n’excuse en aucun cas un résultat aussi consternant. Comme elle ne fait preuve d’aucun talent dans l’écriture du scénario, la direction d’acteurs ou simplement la finesse d’observation, on subit un film indigeste du début à la fin, des scènes grotesques comme les bêlements moutonniers (de Panurge ?) des disciples destinés à appeler le gourou (J.P Darroussin, totalement caricatural), les inévitables abus sexuels, l’autocritique obligatoire façon stalinienne etc…On reste stupéfait devant la passivité et l’abandon de tout esprit critique de ce groupe d’adultes totalement infantilisés, et fiers de l’être. S’il est possible que de telles situations existent, que font donc la police et la justice ? De même, les prestations des acteurs adultes laissent pantois : comment des comédiens de talent tels Eric Caravaca, Camille Cottin, ou J.P Darroussin, déjà cité, ont-ils pu accepter de participer à cette pantomime ? Impossible de croire à cette invraisemblable aventure, tant la peinture qui en est faite est particulièrement malhabile. Pour un coup d’essai, c’est un échec magistral. Toutefois, il faut saluer la performance remarquable de la jeune Céleste Brunnquell qui, si elle ne peut sauver le film, lui donne le peu de sincérité qui lui manque si cruellement par ailleurs.
    Say-me
    Say-me

    6 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2020
    Je suis partagé concernant l'émotion ressentie après le visionnage de ce film !
    Certaine scènes me paraissent presque trop exagérées mais sont à la fois parfaites pour faire prendre conscience au spectateur de l'absurdité de ce regroupement sectaire et de la gravité des faits.
    L'absence de certaines scènes violentes livre le spectateur à son imagination ce qui ne cesse d'augmenter progressivement le climat de tension.

    Bref ça fait froid dans le dos !
    Très bon jeu de Celeste brunnquell, qui pour une jeune actrice joue avec brio ce rôle délicat.
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