AlloCiné
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Votre avis sur Les Éblouis ?
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Sarah Suco nous montre un film sur les sectes religieuses ici catholique , un monde qu ' elle connaît bien , ayant subi ce drame dans sa jeunesse ! le film est très fort , très émouvant , on n' arrive pas à croire que ces errements puissent exister dans la réalité , mais pourtant Sarah Suco les a vécus ! l ' interprétation est formidable , acteurs chevronnés et jeunes inconnus tous ensemble , quant à Céleste Brunnquell , elle est " éblouis "sante !!!!
Un film pas très original, sujet déjà vu pas mal de fois à l'écran. Ça montre tout de même la complexité de la situation dans laquelle les enfants se retrouvent .
superbe film mais vous prenez un sacré coup de poing dans l'estomac en regardant ce film . J'avais regardé des documentaires sur ce sujet mais je n'avais jamais vu de l'intérieur . Bravo aux acteurs surtout aux jeunes
Lorsque l'on a vécu soit même dans une secte, on ressent ce film au plus profond de soi, il est criant de justesse, ça fait mal, ça remue. Céleste Brunnquell crève l'écran, son jeu est mature, ses expressions justes.
La seule chose qui m'a laissé sur ma faim, c'est l'absence de développement des personnages des parents. spoiler: On n'apprend rien sur leur histoire, rien qui puisse nous permettre de comprendre leur besoin de rejoindre une secte. Rien sur les grands parents non plus.
Alors qu'on ne tombe jamais dans une secte par hasard. Les sectes s'attaquent à des personnes brisées, seules, malades, dépressives, des victimes d'abus en tout genre. Le mécanisme de conversion n'est survolé que très rapidement dans le film.
La seule chose qui m'a laissé sur ma faim, c'est l'absence de développement des personnages des parents. spoiler: On n'apprend rien sur leur histoire, rien qui puisse nous permettre de comprendre leur besoin de rejoindre une secte. Rien sur les grands parents non plus.
Alors qu'on ne tombe jamais dans une secte par hasard. Les sectes s'attaquent à des personnes brisées, seules, malades, dépressives, des victimes d'abus en tout genre. Le mécanisme de conversion n'est survolé que très rapidement dans le film.
Camille Cottin est bluffante dans ce rôle à contre-emploi.
L'histoire est captivante, saisissante et révoltante à la fois.
L'histoire est captivante, saisissante et révoltante à la fois.
un film fort, puissant , pour son premier film la réalisatrice et actrice Sarah suco tape fort sûr un sujet délicat sur les dérives des sectes religieuses. mention spéciale à la jeune et brillante actrice céleste brunnquell qui mériterait un césar.
Un film sur une communauté religieuse dont l'histoire et tout ses aspects n'ont pas ou très peu été abordés au cinéma. Une histoire originale mélo-dramatique dont on ne se lasse pas. On plonge dans un univers inconnu pour la plupart des spectateurs, ce qui surprend mais la narration claire nous fait comprendre les intentions de Sarah Suco. Un univers à découvrir.
spoiler: On découvre aussi sous un autre aspect la pédophilie que ce soit dans l'église ou en dehors et son traitement par cette communauté, un thème abordé lui aussi de manière inédite
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spoiler: On découvre aussi sous un autre aspect la pédophilie que ce soit dans l'église ou en dehors et son traitement par cette communauté, un thème abordé lui aussi de manière inédite
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Un film absolument magnifique, une histoire bouleversante.
Superbe interprétation avec de jeunes acteurs prometteurs. Le petit frère Mathieu est extraordinaire dans son rôle. Extrêmement touchant
Superbe interprétation avec de jeunes acteurs prometteurs. Le petit frère Mathieu est extraordinaire dans son rôle. Extrêmement touchant
Comme une claque qui ne laisserait pas de marque sur le visage, mais qui vous laisserait une cicatrice cachée et profonde.
Minute par minute, le film s'installe dans une climat oppressant, les sourires laissent la place à des rires nerveux, le malaise est dans chaque séquence. On est plongé avec justesse et sensibilité dans l'intimité de la réalisatrice et de son extraordinaire interprète, Céleste Brunnquell. Elle est magnifiquement épaulée par la force de l'interprétation de Camille Cottin, la finesse et les nuances d'Eric Caravaca et de Jean-Pierre Darroussin.
Pas de repos dans cette histoire habilement écrite, avec une grande justesse.
Sarah Suco signe une film bouleversant, édifiant, intime, sensible, un film important.
Une cinéaste à suivre et un film à aller voir en salles le plus vite possible.
Minute par minute, le film s'installe dans une climat oppressant, les sourires laissent la place à des rires nerveux, le malaise est dans chaque séquence. On est plongé avec justesse et sensibilité dans l'intimité de la réalisatrice et de son extraordinaire interprète, Céleste Brunnquell. Elle est magnifiquement épaulée par la force de l'interprétation de Camille Cottin, la finesse et les nuances d'Eric Caravaca et de Jean-Pierre Darroussin.
Pas de repos dans cette histoire habilement écrite, avec une grande justesse.
Sarah Suco signe une film bouleversant, édifiant, intime, sensible, un film important.
Une cinéaste à suivre et un film à aller voir en salles le plus vite possible.
film bouleversant et magnifiquement interprété
devrait être visionné largement
dans les écoles
à voir absolument
devrait être visionné largement
dans les écoles
à voir absolument
traversay1
Difficile de critiquer Les éblouis, le premier film sincère et largement autobiographique de Sarah Suco. Difficile aussi de ne pas adhérer à cette dénonciation d'un embrigadement tragique d'une famille au sein d'une communauté religieuse à la perversion toxique. Mais il faut bien se placer un tant soit peu du côté cinématographique et là, le film est malheureusement lesté de semelles de plomb qui en limitent singulièrement l'impact. Tout commence pourtant plutôt bien et Les éblouis ne manque pas de subtilité dans sa mise en place en donnant la vision de la fille aînée dans le cheminement progressif de sa famille vers l'obscurantisme, auprès d'un "berger" (Darroussin, étonnant) et de ses ouailles, au pernicieux discours de saint sectaire (qui a le goût d'un fromage moisi). Mais quand le film bascule dans l'horreur quotidienne des techniques d'enrégimentement, il devient pesant et sans plus aucune nuance, démagogique dans sa dénonciation même si la réalisatrice s'en défend en précisant qu'elle a beaucoup "édulcoré les faits." Cette histoire très personnelle ne manque pas de puissance mais elle aurait sans doute gagné à montrer les choses avec davantage de finesse, en suggérant plutôt qu'en utilisant les manières d'un réquisitoire. Cela n'enlève rien cependant à la formidable interprétation de la jeune Céleste Brunnquell qui a obtenu le prix d'interprétation féminine à Sarlat, le film recevant pour sa part la Salamandre d'or.
Ce film est totalement un chef-d’œuvre !
Je l'ai vu à l'occasion du Festival du film de Sarlat (festival principalement pour les lycéens) (festivaldufilmdesarlat.com) et après l'avoir visionné, il est devenu immédiatement le film que j'ai le plus aimer de ma vie, alors que je suis un cinéphile (enfin plutôt sériephile).
Même si cela permet d'envier les personne qui la regarde, je vous conseille de ne pas regarder les bandes-annonces, il y a des scènes que l'on voie dans la bande annonce, qui spoil en quelque sorte...
Je m'explique avec un FAUX exemple : Imaginons, il y a deux personnes qui sont séparés. dans la bande annonce vous les voyez assis sur un banc dans un parc. Mais lorsque vous allez voir le film, vous les voyez ensembles avant qu'il ne se séparent, mais la scène du banc ne s'est pas encore passée. Vous savez donc inévitablement qu'ils vont se retrouver.
C'est "en gros" ce qui se passe avec la bande annonce de ce (merveilleux) film.
Malheureusement pour lui, il ferra polémique. Il y a même 3 sujets sur lequel il pourrait faire polémique… C’est presque impossible d’en parler sans spoiler, alors ce qui suis en sera remplis, néanmoins, d’après une étude très sérieuse de l’Université de Californie, le Spoiler ne gâche pas une expérience, bien au contraire, il la décuple. (http://braindamaged.fr/24/08/2016/dapres-une-etude-le-spoiler-est-bon-pour-vous/) Donc, à vous de voir ;)
Sur ce, nous entrons dans la partie spoiler :
spoiler: La première raison est que bien que ce soit une histoire vécue par la réalisatrice, Sarah Suco, c’est vrai qu’il y a pas mal de modification, par exemple Camille joué par Céleste Brunnquell, à 13-14 ans dans le film (elle y fête son anniversaire) alors que Sarah a vécu 10 ans dans une secte avec ses parents avant de s’enfuir à ses 18 ans. Il y a aussi la mère de Camille dans le film, jouer par Camille Cottin, qui en réalité n’était pas comme ça. (Source : Q/R de Camille Cottin).
spoiler: La deuxièmes est que c’est une secte. Que certaines personnes pourraient penser que Sarah Suco est contre les religions, … Mais Sarah dénonce juste les sectes, car elle sait que ça existe, elle à vécu dans l’une d’elle. De plus désolé de ne pas avoir plus de détail, ce qui suis est dis de mémoire, mais Camille Cottin, a dis lors d’échange avec nous, que (un genre de) comité de la religion Chrétienne avait remercier Sarah, la réalisatrice, de dénoncer les sectes qui utilise leur religion pour manipuler des personne avec un esprits faible.
spoiler: La troisième raison est que Camille, (très bien) joué par Céleste Brunnquell qui à dans le film 13-14 ans, et dans la réalité 16 ans, a une scène de sexualité visible, qui n’est pas nécessairement obliger d’être visible. En effet, à un moment, pendant sa douche (en extérieur), nous la voyons entièrement nue, commencer à se toucher, nous ne voyons que sa poitrine et ses poils pubiens. Cette scène d’après Camille Cottin (lors des Q/R), sert à montrer qu’elle commence à rentrer dans la "vraie" adolescence. Mais, (comme elle le dis) puisqu’elle n’est pas la réalisatrice (qui n’était pas présente à ce Festival), elle ne sait pas pourquoi Sarah, à choisis de montré totalement, au lieu de juste faire sous les draps de son lit, par exemple. Personnellement, je pense que c’est peut-être car Sarah l’as fait elle-même à cette époque de sa vie et de cette manière ou/et pour montrer qu’ils n’ont aucune intimité mis à part pour leurs douches.
Je l'ai vu à l'occasion du Festival du film de Sarlat (festival principalement pour les lycéens) (festivaldufilmdesarlat.com) et après l'avoir visionné, il est devenu immédiatement le film que j'ai le plus aimer de ma vie, alors que je suis un cinéphile (enfin plutôt sériephile).
Même si cela permet d'envier les personne qui la regarde, je vous conseille de ne pas regarder les bandes-annonces, il y a des scènes que l'on voie dans la bande annonce, qui spoil en quelque sorte...
Je m'explique avec un FAUX exemple : Imaginons, il y a deux personnes qui sont séparés. dans la bande annonce vous les voyez assis sur un banc dans un parc. Mais lorsque vous allez voir le film, vous les voyez ensembles avant qu'il ne se séparent, mais la scène du banc ne s'est pas encore passée. Vous savez donc inévitablement qu'ils vont se retrouver.
C'est "en gros" ce qui se passe avec la bande annonce de ce (merveilleux) film.
Malheureusement pour lui, il ferra polémique. Il y a même 3 sujets sur lequel il pourrait faire polémique… C’est presque impossible d’en parler sans spoiler, alors ce qui suis en sera remplis, néanmoins, d’après une étude très sérieuse de l’Université de Californie, le Spoiler ne gâche pas une expérience, bien au contraire, il la décuple. (http://braindamaged.fr/24/08/2016/dapres-une-etude-le-spoiler-est-bon-pour-vous/) Donc, à vous de voir ;)
Sur ce, nous entrons dans la partie spoiler :
spoiler: La première raison est que bien que ce soit une histoire vécue par la réalisatrice, Sarah Suco, c’est vrai qu’il y a pas mal de modification, par exemple Camille joué par Céleste Brunnquell, à 13-14 ans dans le film (elle y fête son anniversaire) alors que Sarah a vécu 10 ans dans une secte avec ses parents avant de s’enfuir à ses 18 ans. Il y a aussi la mère de Camille dans le film, jouer par Camille Cottin, qui en réalité n’était pas comme ça. (Source : Q/R de Camille Cottin).
spoiler: La deuxièmes est que c’est une secte. Que certaines personnes pourraient penser que Sarah Suco est contre les religions, … Mais Sarah dénonce juste les sectes, car elle sait que ça existe, elle à vécu dans l’une d’elle. De plus désolé de ne pas avoir plus de détail, ce qui suis est dis de mémoire, mais Camille Cottin, a dis lors d’échange avec nous, que (un genre de) comité de la religion Chrétienne avait remercier Sarah, la réalisatrice, de dénoncer les sectes qui utilise leur religion pour manipuler des personne avec un esprits faible.
spoiler: La troisième raison est que Camille, (très bien) joué par Céleste Brunnquell qui à dans le film 13-14 ans, et dans la réalité 16 ans, a une scène de sexualité visible, qui n’est pas nécessairement obliger d’être visible. En effet, à un moment, pendant sa douche (en extérieur), nous la voyons entièrement nue, commencer à se toucher, nous ne voyons que sa poitrine et ses poils pubiens. Cette scène d’après Camille Cottin (lors des Q/R), sert à montrer qu’elle commence à rentrer dans la "vraie" adolescence. Mais, (comme elle le dis) puisqu’elle n’est pas la réalisatrice (qui n’était pas présente à ce Festival), elle ne sait pas pourquoi Sarah, à choisis de montré totalement, au lieu de juste faire sous les draps de son lit, par exemple. Personnellement, je pense que c’est peut-être car Sarah l’as fait elle-même à cette époque de sa vie et de cette manière ou/et pour montrer qu’ils n’ont aucune intimité mis à part pour leurs douches.
velocio
C’est d’abord comme actrice que Sarah Suco a atteint une certaine notoriété au cinéma. C’est ainsi que, récemment, on a pu la remarquer dans "Aurore", "Place publique", "Les invisibles", "Guy" et "Comme des garçons". Il y a 2 ans, elle s’est lancée dans la réalisation, avec "Nos enfants", un court-métrage de 11 minutes. "Les éblouis" est son premier long métrage en tant que réalisatrice. Elle en a écrit le scénario en collaboration avec Nicolas Silhol, le réalisateur de "Corporate". Ayant elle-même vécu pendant 10 ans, avec sa famille, alors qu’elle était enfant, puis adolescente, au sein d’une communauté charismatique, elle a senti le besoin, plusieurs années après avoir quitté cet univers très particulier, de réaliser un film de fiction sur ce sujet. On parle peu de ces communautés qui fleurissent dans notre pays au sein de l’église catholique. On ne sait pas grand chose de leur comportement qui s’apparente souvent à celui d’une secte. Sarah Suco a utilisé l'expérience tirée de sa vie personnelle pour nous proposer un film de fiction qui arrive à nous passionner tout en se montrant aussi riche en informations qu’un documentaire.
Film bouleversant vu en avant-première à Paris. Les acteurs sont tous épatants ! Quand à la jeune actrice qui interprète le rôle de Camille, il faut espérer qu'elle bénéficiera au moins d'une nominations aux Césars ! Une récompense qu'elle mériterait ! Bravo à Sarah Suco pour ce premier film et vivement les suivants ! Important, le film comporte aussi des moments très drôles ! :)
Camille P.
Ce film hallucinant est inspiré de la jeunesse de la réalisatrice, Sarah Suco, et cette information est essentielle, tellement on a parfois du mal à croire ce que l’on voit.
Il raconte l’histoire de Camille, 12 ans au début du film et aînée d’une fratrie de 4 enfants dans une famille catholique pratiquante.
Si, à première vue, on a l’impression de revoir les Lequesnois dans « La Vie est un Long Fleuve Tranquille », on comprend rapidement que la tonalité du film sera loin d’être comique.
En effet, les parents de Camille, de plus en plus religieux, rejoignent progressivement « La Communauté de la Colombe », groupe de catholiques qui vivent ensemble et s’en remettent à Dieu pour tout, guidés par un prêtre appelé « le berger ».
spoiler: Le bêlement des membres de la communauté pour acclamer le berger, les enfants abandonnés plusieurs jours car les parents partent faire une retraite, la fièvre de Camille soignée par la prière au lieu du paracétamol, les séances d’exorcisme … tels sont, entre autres, les effets de la manipulation psychologique dont sont victimes les membres de cette communauté.
Un sujet extrêmement intéressant qui n’est pas une caricature de la communauté catholique mais la description pure et simple du fonctionnement d’une secte, dans l’œil d’une jeune adolescente spoiler: qui garde son bon sens pour pallier les carences de ses parents et protéger sa fratrie.
Le casting de ce film est parfait : Jean Pierre Darroussin, dans le rôle du berger charismatique, Camille Cottin que l’on découvre dans le rôle dramatique d’une maman déséquilibrée, et Eric Caravaca, un papa prêt à accepter n’importe quoi, pourvu que sa femme soit contente.
On soulignera enfin la découverte dans ce film de la jeune et très talentueuse Céleste Brunnquell (Camille) ; elle a un jeu très juste et les expressions de son visage donnent autant d’informations au spectateur que son texte.
Un film qui met en lumière un thème, celui des sectes, qui n’a pas ou peu été abordé au cinéma jusqu’à présent ; à voir absolument.
Il raconte l’histoire de Camille, 12 ans au début du film et aînée d’une fratrie de 4 enfants dans une famille catholique pratiquante.
Si, à première vue, on a l’impression de revoir les Lequesnois dans « La Vie est un Long Fleuve Tranquille », on comprend rapidement que la tonalité du film sera loin d’être comique.
En effet, les parents de Camille, de plus en plus religieux, rejoignent progressivement « La Communauté de la Colombe », groupe de catholiques qui vivent ensemble et s’en remettent à Dieu pour tout, guidés par un prêtre appelé « le berger ».
spoiler: Le bêlement des membres de la communauté pour acclamer le berger, les enfants abandonnés plusieurs jours car les parents partent faire une retraite, la fièvre de Camille soignée par la prière au lieu du paracétamol, les séances d’exorcisme … tels sont, entre autres, les effets de la manipulation psychologique dont sont victimes les membres de cette communauté.
Un sujet extrêmement intéressant qui n’est pas une caricature de la communauté catholique mais la description pure et simple du fonctionnement d’une secte, dans l’œil d’une jeune adolescente spoiler: qui garde son bon sens pour pallier les carences de ses parents et protéger sa fratrie.
Le casting de ce film est parfait : Jean Pierre Darroussin, dans le rôle du berger charismatique, Camille Cottin que l’on découvre dans le rôle dramatique d’une maman déséquilibrée, et Eric Caravaca, un papa prêt à accepter n’importe quoi, pourvu que sa femme soit contente.
On soulignera enfin la découverte dans ce film de la jeune et très talentueuse Céleste Brunnquell (Camille) ; elle a un jeu très juste et les expressions de son visage donnent autant d’informations au spectateur que son texte.
Un film qui met en lumière un thème, celui des sectes, qui n’a pas ou peu été abordé au cinéma jusqu’à présent ; à voir absolument.
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